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CHAPITRE VINGT-SIXIEME
LE RETOUR DANS L’HISTOIRE
Moi le Worisjule qui t’ai plongé dans le maintenant, qui est l’avant pour toi, et étais, il y a peut,
et encor un peu maintenant, le maintenant que l’on peu nommer dés lors le maintenant, moi
le Worisjule, je vais te replonger dans l’histoire, dans cette histoire qui est un peu tantôt la mienne,
tantôt pas. Dans cette histoire, que toi, o lecteur qui lis « je suis à nouveau dans l’histoire » dans cette
histoire que j’ai écris pour toi, dans cette suite de symbole, que je t’offre par soucis pure d’assouvir ma
passion celle de t’écrire. Avant que tu puisses vraiment redire en toi, cette phrase que je t’ai fais lire,
celle de « je suis à nouveau dans l’histoire », il faut que tu lises ceci, et t’en rappelle. Lis donc ce passage à voix hautes, tourné vers le Nord, en commençant par rendre grâce à Odin et Lugh.
Dans ce monde, ou je me plonge, moi o lecteur qui est celui qui est le nain Nordi qui garde le Nord,
le Nain Austri qui garde l’Est, le nain Sudri qui garde le sud, le nain Vestri qui garde l’Ouest, devant
moi, se tiens Eriu en Fal, sur ma droite, se tiens Nuada en Gor, sur ma gauche se tient Lugh en Fin.
Que chacun me bénisse et me guide dans l’histoire, car je suis à nouveau dans l’histoire.
Mon Mégin est le tient et moi O lecteur, deviens le Megin du liseur, je suis le lecteur et je suis dans
l’histoire, Woy, Woy, Woy, comme cela est magique dans ce maintenant de ma vie de lecteur.
Dans ce maintenant Intertemporel dont je me plonge somatiquement, le Berger de paille, celui
dont je lis les mots à l’instant, n’y est plus, car je le pense, il est suicidé, car il en as eu marre de
moi. O lecteur et de toute mes questions et idéologie, moi o lecteur, je le pense que dans le
maintenant de ces mots, il est revenu d’entre les morts pour écrire ces mots, que dans son plus tard
qui est mon maintenant, je puisse lire et vivre cette histoire de saint-lascar qui vas vraiment m’arriver.
Dans mon maintenant, moi o lecteur, vivant à ce jour en l’an de grâce du maintenant, je lis le livre
spirituel que je n’ai jamais pus lire, l’histoire, je suis le lecteur du livre du pâtre des pâtres.
J’ai vaguement le souvenir d’avoir lu un jour une histoire vraisemblable, reflétant un passage de la
vie du Worisjule, c’est un homme bien, bien que cela puisse paraître vraisemblable pour mon esprit
primitif, ce n’étais qu’un homme. Comment à t’il fais pour revenir, d’entre les morts pour écrire ces mots
que je lis donc je suis. Miracle du saint-lascarus ou miracle d’un sadique annal, ayant le gout de vivre,
ou encor miracle d’un cathévaris ayant le sixième sens développer à manipuler la cervelle d’autrui.
Tant de question que je me pose, pour comprendre et remercier l’écrivain, le Worisjule premier, d’ouvrir
ma conscience à une vision nouvelle, à une perception philosophique nouvelle et digne de sens, le
Worisjule est mon sauveur, il m’a délivré des pêchers du monde par ces mots, et l’âme christique,
comme toutes autres prières de l’ésotérisme l’ont guidé comme un fils, afin qu’il puisse murir en
prophète, ainsi elles me guident dans le bon sens, au travers de la lecture de l’histoire.
Je suis le lecteur et je lis les mots d’un sadique annal, qui se prends pour le fils du Christ et ensuite
se prends pour mon père, la question que je dois me poser, est, est-ce que ce livre est une pure fantaisie érudique ou est-ce vraiment le véritable livre du pâtre des pâtres, le livre du nouveau prophète,
le livre du Worisjule premier. En bon lecteur, j’ai arrêté de me poser ces questions et vus ma soumission totale au bien fait du Worisjule, je continue savamment ma réflexion sur les dis du Worisjule, car il est celui qui est, c’est le Worisjule premier. Une tel suite de mots ne peut que lui venir
du très haut et encor, je suis presque certain que plus haut encore ou encore mieux, ce que l’on ne peut
nommer, ni donner imagerie à guider la plume du Worisjule premier, revenu d’entre les morts pour me faire lire ces mots, son plus grand miracle est le livre du pâtre des pâtres. Je suis l’honorification même
de lire tous de mots, je suis le lecteur qui me plonge somatiquement dans l’histoire, le Worisjule est le
poète du mot, le Worisjule est la manipulation du mot, le Worisjule est le Worisjule, il est le Prophète
haricotiez, celui qui maitrise le coure de la légende. Le Worisjule est le créateur, le créateur du monde
Worisjulien, le Worisjule est nés de la création du Berger de paille du nouveau temps, le Berger de paille est la création du Roi Soleil, Le Roi Soleil de ce nouveau millénaire est la création du Juste W, qui
lui est la création de celui qui me fait lire ces mots, l’écrivain roi, un Yobha pour moi qui ne suis que o lecteur emprisonner dans l’histoire, l’écrivain n’est plus que fantaisie, je suis créature de l’histoire que
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Yobha me fait lire, car le Worisjule est vecteur de Yobha, le Worisjule est une infime partie de Yobha,
je suis la créature lecteur qui vis maintenant dans l’histoire.
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CHAPITRE VINGT-SEPTIEME
LE CHANT DE HARRICOT
Un lourd chant de douceur venue de milles muses au chant lyrique, me chante à moi o lecteur
« Ecoutes le chant du Haricot, écoutes le chant du haricot, écoutes le chant du haricot, écoutes
le chant du haricotiez, viens dans la danse du gang du haricot, viens dans le chant de haricot,
planter des haricots ». Je suis o lecteur, au milieu d’un champ de haricot. Au centre de ce chant
de haricot est une pièce sans mure où je suis, un fer mince bonhomme aux allures de haricotiez,
bonhomme aux allures de haricotiez, ponce des pièces en bois, assis sur un tabouret devant un
établis de menuisier. Rien indique qu’il soie vraiment un haricotiez, mais son regard songeur laisse
présager qu’il rêve de la fortune du champ de haricot qui nous entoure dans cette pièce sans mure,
ou règne les haricots à portée de vue, sur cette pièce, dalle sans mure, où moi, « je suis o lecteur »
me suis fait charmer par un chant de haricotiez qui m’a plongé dans un somma de l’histoire dont le
créateur, l’humble Berger est venu d’entre les morts pour me raconter. Me raconter quoi ? Mon histoire
de o lecteur dans cette univers de haricotiez. De l’autre côté de la pièce sans mure, au devant d’une mer d’horizon de haricot, un grand et beau mage blond, a l’allure de haricotiez, ponce une pièce en
forme d’escargot, sur une chaise et une table plus basse que le premier haricotiez, rien ne laisse
présager, qu’il soie vraiment un haricotiez, mais la fascination qu’il semble avoir, pour le large bonhomme fort mince, qui rêve de vacance de haricotiez, de croire encor à la fortune du haricotiez.
En face de ce grand, fort et beau, musclé et sensuel, romantique et intelligent, cultivé et haricotiez
mage blond. Un jeune homme, au teint suisse qui a tous d’un haricotiez, mais que rien de son être
peut laisser présager qu’un jour, il aie planter des haricots. Toutefois cette fascination qu’il a pour intelligence et le romantisme de l’haricotiez et mage blond, est si impressionnant que cela laisse
penser qu’il soie bien un haricotiez. Alors moi, o lecteur, je me demande au gros bonhomme, le premier
haricotiez, qui en fait n’a rien de fort mince « que fais-je au milieux de cette pièce sans mur, au milieu
de ce champ de haricot ?».
Le premier haricotiez, me répond à moi le lecteur- O nom, pas cela lecteur, pas des histoires de haricotiez, je pense que question de haricot j’en sais assez, demande donc à ce belle être intelligent,
fort, musclé et romantique, car je le pense, pour toi, il est l’imagerie du Berger, le créateur venus d’entre
les morts, pour écrire cette histoire que tu vis, au sens de o lecteur. ainsi quelle est le nom de mes haricots.
O lecteur- je me tourne vers le second haricotiez, est lui repose cette même question qui me secoue à
l’instant l’esprit « que fais je au milieu de cette pièce sans mur, au milieu de ce chant de haricot ? »
le second haricotiez- o lecteur, je le sais, tu penses que je suis imagerie du Berger, notre créateur,
le maître du mot, celui qui est revenu d’entre les morts pour écrire ce grand livre, l’histoire, qui dés lors
que tu as lus « je suis » est aussi ton histoire, tu as surement raison, mais avant tous, je suis haricotiez,
ainsi quelle est le nom de mes haricots ?
Je ne suis plus dans la pièce, cela me parait étrange que je suis au loin de la pièce enfoncé en l’histoire, maintenant loin de cette pièce sans mur, ou règne autour de moi ces étendues de haricot.
Je repense à cette phrase que ma dis, quelques temps de cette espace temps, ou o mon Yobha, le
créateur écrivain, le paupé universalis, m’a plongé dans l’univers de l’histoire, ou quelques temps
auparavant, je suis arrivé au milieu de cette pièce sans mure. Je repense sur ce long chemin ou
règne ces étendues de haricot, à cette phrase que le haricotiez, m’a dis-« si tu fais de la salade de
haricot, plante le haricot jaune toi-même, mais avant, apprend le nom de mes haricots.
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Cette phrase qui veut tous dire, me mène sur ce chemin ou règne les haricots, longtemps j’y repense
longtemps, je la comprend comme phrase de la compréhension infinie. Cet phrase me mène alors sur
mon chemin, jusque à la croisée, ou maintenant, il me faut choisir, d’aller, au milieu de ces haricots
à droite à gauche ou au centre. Comme si chaque chemin me parle de doux mots, l’un me dis, « je
Suis la vie », l’autre me dis, « je suis la mort » et le dernier, celui du centre me dis « je suis l’inconnu ».
Je hais le monde d’où je viens, c’est pourquoi, je choisirais bien celui de la mort, mais en même temps
j’aime ce que je suis, c’est pourquoi, je choisirais volontiers le chemin de la vie, reste que le mystère
et l’inconnu ont leurs attraits. je continuerais bien dés lors, la droiture de mon chemin, peut-être comprendrais-je, à quel point, je ne suis rien.
Je suis le lecteur et le maître du mot, qui m’a mis en cette histoire, bénis soit-il, de ça pénitence et de ça
glorification, il m’offre la liberté en cette histoire, celle du choix de mon chemin, que je prend alors sur
du bon choix.
Ai-je pris le premier, le second ou le dernier, je suis le seul à le savoir. Le maître du mot, me met alors
sur le chemin de la délivrance et m’offre à nouveau un pas de plus vers la liberté, celle de garder mon
secret pour moi. Le secret de mon chemin. je marche alors sur mon chemin, je me sent seul sur mon
chemin. Je me dis, au fond de moi, que je n’aurais pas dus partir de chez les haricotiez, je me dis au
fond de moi, ces gens sont ors de sens, mais il me porte un réconfort, celui de ne pas être seul dans
l’histoire, à la mercie du maître du mot, qui de ça plume, maintenant me possède, au fond de cette
histoire, sur le secret de mon chemin, je me demande au fond de moi-même « suis-je encor lecteur »
« mon âme n’est-elle pas dans l’histoire et c’est ainsi métamorphosé en chaire, entre les lignes des
mots, du maître du mot. Le maître du mot, ne m’as t’il pas tuer de ces mots, pour me rendre la vie,
la vie dans laquelle je ressuscite chaque fois un peu plus. a chaque pas, je me devient moi-même,
sur le chemin que j’ai choisis, dans la solitude de ce monde plein de haricot, sur ce chemin qui est
dés lors le mien, car le maître du mot, m’a laissé la liberté de choisir mon chemin, celui dés lors qui
en mon secret est le mien, la phrase du haricotiez, est peut-être la réponse au questionnement universel, sur mon chemin, je me le demande.
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CHAPITRE VINGT-HUITIEME
LE CHAPITRE MYSTERIEUX
Je suis sur le chemin, ce chemin est continue, du ciel tombe une pluie de haricot, je trouve cela
étrange, qu’il puisse pleuvoir des haricots. Il y a des haricots jaune, des rouges et des verts.
Chaque haricots est pourvu d’une rune qui est gravé sur chacun d’eux. Ces haricots me parlent
chacun leur tour il répètent la même phrases, « Veux tu savoirs le devenir prochain du Worisjule ?
Veux tu savoir comment ce concrétisera l’histoire ? Veux tu en savoir plus sur les runes ? Sais tu qui
est la Gregen imperialis pour les runes ? Penses tu que les runes vont te dévoilé leurs mystères ?
Sais tu qui est la Mangoustine pour les runes ? Aimes tu les gens ? Crois tu que Rabathé sais danser
la prière de runes ? Penses tu que en lisant l’histoire, tu puisses acquérir la délivrance des pêchers
du monde ? Yobha est-il significatif pour toi ? Sais-tu comment graver les runes ? Sais-tu comment
donner les runes ? Sais-tu comment prier les runes ? Sais-tu comment il faut interpréter les runes ?
Sais-tu comment expliquer les runes ? Sais-tu comment offrir les runes ? sais tu comment dépeindre les runes ? Sais-tu comment prouver les runes ? Sais-tu comment envoyer les runes ? Sais-tu comment
consumer les runes ? Sais-tu comment et quand il faut traire les runes ? »
Je suis le lecteur, est je deviens fou d’être harceler de question par des haricots avec des runes gravée,
« Je ne suis que lecteur, je ne suis pas le maître du mot, je ne peux que interpréter les mots et comprendre à ma manière de simple aspirant du Worisjulianisme, Haaaa, Haaaa, HAAAA… »
Je suis au milieux du chant de haricot, bien que j’aye demandé au haricot de cesser de me harceler de
question il continue à pleuvoir de leurs questions, et comme pour réponse à mes mots, je vois venir du
ciel un Haricot géant, il a l’aire de peser une tonne, celui-ci vole dans le ciel en un arc circulaire devant
moi. C’est un haricot jaune, il est graver de la rune de Odal. Les autres haricots ne cessent de pleuvoir, le grand haricot lui commence, accompagné d’un chant de muses, et des questions des multiples haricots pleuvant à réciter un chant sous forme de prière. « Je suis envoyé à toi, par la générosité du
paupé universalis, le propriétaire de l’univers. Je suis le haricot salvateur, je suis le fils du haricotiez
éternel. Ecoutes ma prière que je fais pour toi depuis l’histoire, celle-ci à pour but d’envoyer un oracle
au maître du mot, qui au delà du verbes, donne naissance à l’histoire, cette oracle aura pour le maître
du mot la forme de trois femmes, la gregen imperialis, la mangoustine et la schnitzel gertroilas.
Ces trois femmes auront pour but de corriger le verbe du maître du mot, afin que toi o lecteur, tu
ne sombre dans la folie. Chacune d’elle font maintenant partie de l’histoire du Worisjule premier.
Je suis le haricot salvateur, je suis le fils du haricotiez eternel, prend l’un de ces haricots jaune par
terre est mange en en souvenir de moi, car ceci est mon corps, transforme les haricots rouge en
liqueur est bois en en souvenir de moi, car ceci est mon sang, le sang de la nouvel alliance du haricotiez. Je suis le fils du haricotiez eternel, Hari, Hari, Hari, co, co, co, spiritum gloriaris paupé universalis ». Le haricots géant alors disparaît à moi, dans un brouillard de chant de muse, je suis
là perplexe à contempler le ciel, alors que les haricots continue à pleuvoir, ils me harcelle toujours
de question. « Mais qui est la schnitzel gertroilas ? Qui est la mangoustine ? Qui est la Gregen imperialis ? Sommes-nous des haricots ou des runes pour toi ? La glorification du Worisjule premier
est elle acquise dans ton cerveau de lecteur maintenant ? As-tu déjà entendu parler de la voyante Hedi ? Yobha est-il signifiant pour toi ? comprends tu la délivrance au pêcher du monde ? Combien
de porte compte la Valhalle ? Quelle est le dragon qui tourmente le cadavre des trépassés ? Dans
quel bois Lif et Leif-thrasir vont ce cacher ? De quel ordre est la Gregen imperialis ? La mangoustine
est elle comme Hedi ? La Gregen imperialis est-elle comme Erda ? La schnitzel gertoilas est-elle comme Freya ? Quel sont les runes de la compassion universel ? O lecteur, lis-tu le livre ?
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Les haricots ne cessent de tomber, leurs questions ne cessent de me harceler, arrêtes de m’envoyer
ces haricots Worisjule premier, laisse moi vivre l’histoire au sens de ça beauté paupé universalis.
Fais de moi un lecteur heureux, je t’en supplie arrête de faire tomber ces haricots Worisjule premier,
pourquoi cette pluie de haricots questionneur qui tombe du ciel, pourquoi, pourquoi, pourquoi…
Une voix vient alors des cieux, c’est celle du maître du mots, elle me dis à moi o lecteur ;
Je suis le maître du mots, je viens t’apporter les mots de la délivrance, si je t’ai mis dans cette situation,
afin que tu puisses apprécier en l’histoire les bons côtés. Tu as ainsi connu une mauvaise sensation,
celle de la pluie de haricots, ainsi maintenant tu as les valeurs de la folie en l’histoire, qui te feront
connaître le bonheur en l’histoire. Si tu es lectrice, cette sensation de folie est pour toi le signe de la
flagellation de la fertilité. Je suis la grâce et la vérité, je suis le maître du mot, je suis celui qui ordonne
le verbe, pour toi qui est dans l’histoire, je suis digne de Yobha, sachant que Yobha est plus haut encor que le très haut. maintenant cette pluie de haricots questionneur, t’on fait apprendre ma puissance, cette pluie seras pour toi dés lors, mon châtiment divin quand tu seras dans l’histoire.
Cet un honneur pour toi que mes mots propre de son dédié, en ton histoire de lecteur, car je suis
la voix céleste de l’histoire, mes mots sont la consolation à la torture de pluie de haricots que je t’ai
envoyé. Spiritual, sanctus haricot sanctus sanctifie.
La voix du Worisjule premier c’est éteinte, je suis là à genoux au milieux de ce champ de haricots,
là consolation du paupé universalis, m’a sauvé du sombre de la folie, je suis sauvé maintenant.
Cette consolation m’apporte maintenant un sentiment d’invulnérabilité, je suis le lecteur qui est délivré
des pêchers du monde. Je me relève timidement au milieu de ce champ de haricot, et le chant de muse
recommence à chanter, devant moi le grand haricot jaune reviens des cieux, ce place devant moi
et ce remet à ce déplacer en arc circulaire, j’ai peur que la pluie de haricot ce remette à tomber, mais
par la grâce du Worisjule premier ce n’est pas le cas. toutefois le haricot jaune géant, ce remet à chanter ça prière ; Je suis le haricot ressuscité, mon père, le grand haricotiez, m’a envoyé pour te délivré encor des pêchers du monde, par mes mots, je le fais. Ainsi mes mots sont aussi destinés
à tous les haricots qui pousseront un jour dans ce chant de haricots qui est autours de toi, ce sont
tous de gentil haricots, regardes les murirent quand ils viendront, ce jour ce sera à toi de leurs délivré
le message du haricotiez. Le Worisjule premier de part ça sagesse t’a initié à la théorie de la doctrine
du haricot. Maintenant toi, o lecteur, qui as lut « je suis », un jour, tu auras peut être aussi l’opportunité
de planter des haricots, ainsi tu pourras devenir toi aussi un haricotiez. Je suis le fils du grand haricotiez, mon père m’a permis de ressuscitez, au milieu de ce chant de haricots qui as pour nom
de lieu dis « Haricotgota », te voilà sauvez, te voilà délivré des pêchers du monde, je suis le fils du
grand haricotiez. Je suis là debout au milieu de ce champ de haricot, les muses se sont mises à chanter un chant de haricots, et le haricot géant disparaît dans les cieux, les voix s’éteigne, et je suis
là, lasse des histoires du Worisjule premier, je n’ai pas de réponse au comment et au pourquoi de ce
chapitre mystérieux, mais je sais au fond de moi, que je suis délivrer des pêchers du monde.
La grâce du Worisjule premier, m’a été donnée, maintenant du milieu du chant de haricot j’ai envie de
vivre l’histoire et de derrière les verbes du Worisjule premier j’ai envie de continuer à lire l’histoire.
Je suis le lecteur, qui as lus les mots du paupé universalis, je suis le lecteur du verbes, je suis le lecteur
qui as été sauvé et délivré des pêchers du monde. Maintenant je suis celui qui à l’opportunité de planter
des haricots, de devenir haricotiez. La consolation du paupé universalis, m’a aider à vivre, et je le sais elle m’aidera dans l’avenir, à vivre dans l’avenir au loin des pêchers du monde, je suis le lecteur salvateur, le disciple du grand haricot jaune, le fils du haricotiez, le lecteur qui vas donner la parole du haricot géant jaune, au monde et à l’univers, le lecteur qui vas porter le message et la parole du grand
haricot jaune au monde et à l’univers. Je part sur le chemin, marcher sur le chemin, sur le chemin je
marche, je marche, je marche…