chapitre 7-8-9
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CHAPITRE SEPTIEME
LA RENCONTRE AVEC LA DEESSE D’AUTOMNE
Quelques jours ont passé en l’histoire, j’ai arrêté de me torturer la conscience avec les indignités
D’autrui, je me suis levé ce matin, afin de passer la journée chez mon compatriote Rûpoy Potenrig,
Rûpoy est un grand philosophe lausannois, c’est un grand maître Yoden, Rûpoy, est d’allure
Physique très moche, Rupoy fait env. 1m 50 pour 148 kg, mais Rûpoy avant d’être petit et gros,
Rupoy est un grand maître de l’art du Yoden.
Bien que cette description de Rûpoy soie totalement inventée, afin de préservé son identité religieuse
En l’art de l’ésotérisme, il te faut là prendre comme une vérité.
Rupoy préfère la discrétion, car quand il se promène à Lausanne, il a peur de ce faire masturber par
Un troupeau de femme en furie, qui lui ferait éclater les couilles à force de lui traire la bite, tellement
Il est séduisant.
Mais, mais, en bon berger, revenons à nos moutons. (Toi)
J’ai alors passé la journée chez Rûpoy, nous avons fumé ensemble des joints et avons bu de la bière
Ensemble, en discutant de philosophie, je suis rentré le soir avec le train en direction de vevey, j’ai
Faim et je veux rentrer chez moi manger.
Dans le train, je rencontre pour la première fois, une belle et gentille fille, celle qui allais devenir pour
Moi, la mangue rousse Eve du cœur d’automne. Elle est assise là, devant moi, elle me demande très
Bas, si je peux lui faire fumer un joint ou lui en vendre un peut.
Le problème, c’est que je n’ai que du poisson suprême du scorpion de paille, la chose parait lui convenir, de retour à la maison avec, je lui en fais fumer et lui en vend.
On passe une chouette soirée ensemble, je l’ai invité à manger, elle repart chez elle, pour être en forme
Pour le lendemain. Avant de partir, elle a accepté de venir quelques jours avec moi, à la montagne avec Moi. Le vendredi elle vient chez moi, je vérifie son sac à dos, nous allons ensemble prendre le train pour aller au col de Jaman.
Le train nous a déposé à la station du col de Jaman, la nuit est en train d’arriver, je lui montre le chemin, celui qui nous mène au cercle D’edenwirr, la nuit arrive petit à petit, c’est la plaine lune.
Je prépare un feu, et lui dis que nous allons passer la nuit ici, nous mangeons ensemble,
La déesse de l’automne est une fille, à ce moment là, elle est une femme, peut être vierge,
Avec la plaine lune, je n’ai jamais sut si son sang était celui de la lune ou de la virginité.
Nous mangeons un bon repas, celui que j’ai préparé sur le feu de bois, nous sommes au
Milieu du cercle de pierre, à coté de la gouille de Jaman.
Le soir, nous sommes couché dans ma tente, je me couche tendrement prêt d’elle, je là caresse,
Et pour finir, je la pénètre goulûment.
Le sexe en rogne, je lui sommes de sortir de la tente, je la mène dans la nuit, jusqu'à un gros rocher,
Je la pose sur le rocher, j’attends d’elle son assentiment, ainsi je la pénètre lentement dans la nuit.
Je fixe la lune plaine de mon regard, j’ai des champignons hallucinogènes avec moi, je suis sous
Leurs influences, la lune, le sexe, les hallucinogènes, le lieu, ce mélange m’amène un orgasme
Transcendantal, mon émotion est à son comble.
Elle est comme une créature fragile, soumise à l’ordre suprême universel.
Cet acte soie en désaccord avec ma déontologie, la fille étant rousse, je me reproche quelques parts
D’être intervenu dans l’éco système de ça race, qui souffre beaucoup plus que la race Arienne, toutes fois, je pense que l’ancêtre en as voulu ainsi, afin que ça vie puisse devenir, un élément de ma prière.
En même temps, cet acte m’apporte les éléments doctrinaux pour que ma prière éternelle puisse redoubler de puissance. La pensée originel, veut que le male puisse avoir plein pouvoir sur son
Cheptel, la pensée originelle, n’est plus, l’action de la doctrine erronée à l’emprise sur l’humanité,
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Du moment que je dois être en guerre, il vaut mieux savoir l’ennemi que l’ami, je suis l’ennemi des
Siens, pour apprendre les comportements de mes ennemis, afin de vaincre leurs prières destructrices,
En ce sens mes ennemis sont aussi les siens, elle est plus faible, je suis son ami.
Qui plus est que l’obsession de niquer des blondes, est une influence qui touche aussi des rouquins,
Dés lors je pense que l’ancêtre, l’a poussé à moi, afin que ma haine lui apporte le pardon à son
Espèce, ceux-ci étant touché par une détresse supérieure.
Ainsi par cet acte, elle a sortis les siens de mon cheptel de bâtard, que je voue à l’échec leurs
Doctrines étant erronées.
Oui je suis le bon berger, j’ai pour mission de vous mener à Hel, à la délivrance à la vie, quand nous
Serons sur le pont, l’arc en ciel Bifrost, Heimdall m’aidera à vous jeter au bas de Bifrost, afin que
Vous ne meniez la doctrine erronée polluer la Wahall, je parlerais à Odin, ainsi ceux qui auront
Contribuer à la cause universel pourrons ainsi échapper à Iormungand, et recevoir la compassion
Universel du paupé universalis.
Nous nous sommes endormis ensemble, la nuit est belle, les esprits, l’ancêtre, nous a bénis de leurs prières. Le matin est là, le soleil commence à montrer ces premiers rayons, une bonne couche de rosée
Est sur la région, qui rend humide tous la plaine.
Nous nous levons, et nous déjeunons d’une miche de pain et d’un peut de lait, nous marchons ensemble, le long des chemins, dans ma doctrines les chemins qui partent d’Edenwirr sont les
Chemin tortueux de la vie, sur chacun de ceux-ci, la nature peut changer les destins sous la
Prière de ceux qui les pratiquent, là est la magie d’Edenyle.
Nous marchons, marchons, il est au alentour des 15 heures, et je lui dis que nous allons nous arrêter
Ici, prêt d’une grange à foin. Il pleuvine, je place une bâche que j’ai avec moi, en guise d’abris,
Elle, elle s’installe dessous, je fait du feu et lui prépare une soupe à la courge dans une gamelle.
La soupe à la courge que j’ai préparé est âpre, elle as la même couleur que ces cheveux, la soupe
Est chaude, je la verse dans la carcasse du légume, nous la mangeons ensemble, comme un
Beuvrages sacré. Nous sommes les deux sous cette bâche, nous ne fessons rien, nous restons là jusqu'à la nuit, le soir, nous dormons, le lendemain nous nous réveillons.
Le matin, nous réveilles, à nouveau comme touts les matins en montagne, la rosée est là, nous
Déjeunons. Nous sommes alors restés là, pendant deux jours, à attendre que la pluie cesse,
Suite à ces deux jours le matin, il fait plus au moins beau, je lui dis que nous partons, que maintenant
Il est temps de continuer notre chemin, ce que nous fessons après avoir mangé.
Nous marchons sans butes précis, sur le chemin il y a des forêts, des pâturages, le chemin lui nous
Mène à un petit alpage, où un gentil monsieur nous reçois, il est avec son fils, il nous invite à prendre
Les quatre heures avec lui, il roule un petit joint que nous fumons ensemble. Je lui donne un peu de
Poisson suprême de scorpion de paille, je lui en fais fumer un petit peu.
Nous le quittons, en le remerciant de son hospitalité, nous continuons le chemin, il y a du soleil, avec
Quelques nuages, sur le chemin, nous traversons des forêts et des pâturages.
La nuit tombe, le chemin nous à mener jusqu’au Moléson, là, il y a un refuge, nous entrons, dans le refuge, il y a un couple qui discute et il y a un homme qui consomme.
L’homme du couple, dis qu’il est le gardien, nous lui disons que nous aimerions manger une fondue,
Que nous sommes en détention d’une somme de 50 frs, que celle-ci ne peut nous suffire pour manger
Et dormir. Il nous propose, de lui remettre la somme, ainsi de lui payer le reste par poste une autre fois.
Nous mangeons ensemble la fondue, ensuite nous allons nous coucher, nous dormons.
Le matin on ce réveille vers les 8 heures, nous allons dans la salle à manger, ou le monsieur nous
Donne un déjeuner et nous prépare des sandwichs pour la route.
Nous partons, nous continuons le chemin, cette fois ci avec un but, celui de retourner à Vevey, nous
Suivons les panneaux d’indications du tourisme pédestre, nous arrivons à Vevey par le haut de la ville.
Je la ramène chez elle, ou je la laisse au bas de l’escalier. Elle, elle remonte dans son appartement,
Elle me dit qu’elle serait heureux que l’ont ce revoie, je lui réponds alors que cela ne me pose aucun
Problème, se que nous allons faire les jours suivant, nous revoir.
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CHAPITRE HUITIEME
PENSEE DU PASSE
A la Tour de Peilz, se trouve une plage nommée la Bec, au fond de cette plage, il y a une grosse
Pierre, cette pierre se nomme, selon les légendes ancestrales, le trône du roi soleil.
Après cette pierre, se trouve trois petites plages, parfois le lac, les ensevelis sous les eaux,
D’autres fois, elle veut bien les laisser transparaître de ces flots.
Comme le dis la légende, ces trois plages forment la plage du roi soleil, la première, représente le passé, la second est celle du présent, la troisième celle du futur.
Aujourd’hui est un jour merveilleux, je m’écrie sur la plage du roi soleil, le chant de la prière d’Odin,
Je suis assis sur le trône et je regarde les mouettes au fond du lac, je décent de la pierre royale,
Pour aller sur la première plage, je me mets en position de Yogin, ainsi je m’évanouis dans le passé !
Je redescends dans l’enfance, quand je suis tous petit, je suis haut comme trois pommes de hauteur,
A cette époque, je suis très proche du prophète, le prophète des Yayaites, le grand Yaya guépard
1 er, il me mène sur la plage du roi soleil, afin que je puisse siéger, sur le trône qui m’est dus, de là
Je regarde le soleil couchant, je suis tous petit. En bon roi, là je suis retourné, car là, est mon destin,
Là mon destin de Worisjule premier à commencer, là Wotan m’a béni de ça prière pour la première
Fois afin de me donner l’univers, tous à commencer sur cette pierre, sur cette plage.
C’est là, que le prophète, m’a donné la bénédiction teutonique, qui est due à chaque chevalier
Teutonique, c’est là qu’il m’a révéler que je suis l’ultime incarnation du roi soleil, le roi du système
Solaire, qui alors encor petit, cette fonction était alors suffisante. Une chose est claire, personne ne
Vendra ou s’appropriera des parcelles de mon astre père, pour comme la lune y habiter un jour.
Je pense être la seul créature terrestre à vouloir devenir un jour, lors de ma prochaine incarnation,
Roi des Soleriens.
Assis ici, je me remémore le passé, quand j’étais un petit peu plus grand, que ma maman, m’amène
Au Avant pour y habiter, elle, pour y vivre son troisième mariage.
Je revois ces chants de nombreux narcisses, je joue avec les filles du village au coin-coin, sur mon
Coin-coin, c’est marqué qu’elles doivent se déshabiller. A cette époque je vais à l’école à chernex,
Là, je rencontre de temps à autre la princesse aux yeux d’émeraude.
Je me remémore ces amours d’enfance, cela me fait un grand bien. La princesse aux yeux d’émeraude
Et la déesse de l’hiver, j’en avais d’autre, que le système à gâcher ma vie sous des prétextes moribond. Sans ce système, je serais heureux avec ces filles aujourd’hui, au lieu de cela, je vis
Comme un immigré clandestin dans mon pays, le système m’a retiré de ma vie, pour la donné à
D’autre, j’étais petit et pas de tailles pour lutter.
Un jour j’ai lâché les filles, pour aller jouer au petites voitures, j’étais jaloux du jeu des autres garçons du village, ma vie à flancher ce jour là. Je pense que c’est ce jour là que je suis devenu fou, le jour, ou,
J’ai commencé à fréquenter d’autres garçons, ceux-ci n’étais pas blond, c’étais mes faux frères, le
Faites de les fréquenter m’as rendu fou, me rends toujours aussi fou, c’est pourquoi j’évite de
Les rencontrer plus que nécessaire, une moitié de moi-même n’a rien à voir avec, l’autre moitié,
Celle de mes poiles brun m’invite à vivre avec. Comme il n’y a plus que des bruns, ceux-ci
Ne m’accepte pas en tant que individu, et moi je n’arrive pas à m’identifier à eux. Ils ne sont pas
Méchant avec moi pour ce battre un morceau de viande, mais il ne me supporte pas plus longtemps
Que moi je les supporte. Je ne mets la faute sur personne, ni fait du prosélytisme racial, mais au
Profond de moi, étant victime de l’érudisme et de la bâtardise, je pense être en mesure de voir,
Qu’une pensée clanique, une vision d’apartheid des races de l’occident est peut être la meilleur
Solution de paix. Ainsi si l’occident arrive un jour à vivre en harmonie d’apartheid, les gens seraient
Alors enfin doué de bon sens.
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Dans le fond, je suis né avec l’étincelle de Yobha en moi, c’est cette étincelle qui m’a donné le chemin
Des runes, c’est cette étincelle qui me guide sur les chemins d’Edenyle, c’est cette même étincelle
Qui donne libère le lecteur des pêchers du monde.
Cette étincelle de Yobha, j’y tiens énormément, c’est elle qui m’a mené à Théodor Skorlati afin
D’aller avec lui répondre à l’appel incantatoire de Yodenpo, la créature ésotérique, celle qui donna
Naissance au premier cercle de la doctrine sainte, le clan du saint Yoden.
Sur ma plage, alors je me dis que grâce à ce trône, Odin me permet de voir dans la méditation,
Le passé, le présent et le futur, ainsi je peux palabrer avec mes pensées, avec le Yoden.
Cette plage reste à tous jamais un lieu sacré, un sanctuaire du Yodenpotisme, sur la plage du
Présent je le sais, sur celle du passé elle l’était, et sur celle du futur, elle le sera. Toutes ces
Choses ordonnée par les esprits, par l’ancêtre, pour la religion, pour l’élément doctrinal nouveau
De ce début du nouveau millénaire, pour l’alliance du saint Yoden, pour le worisjulianisme naissant.
Le Worisjulianisme est né sur cette plage, car c’est ici que les prières d’Odin m’ont bénis pour la
Première fois, c’est ici que Yobha, l’océan d’infini m’a bénis des prières du prophète Wotan,
C’est ici que Yaya guépard premier m’a amené pour me donner le Teutonéa de roi du soleil.
Pour un profane il est probablement difficile, de comprendre l’importance et le sens religieux
Des trois plages sacrées, sur la plage du roi soleil un jour, je le sais, je l’ai toujours su,
Que j’écriais le livre de la vérité, le livre de la doctrine nouvel, le livre du pâtre des pâtres,
Celui que tu as sous les yeux, le livre du Worisjule 1.
Bien qu’un regard nostalgique du passé, se trouve péjoratif de sens, il est un exercice important
Dans la vie d’un homme. Car cela Oô mon frère, te permet de te remettre en question, te permet
De ne pas porter préjudice à moi ou alors à autrui, quand autrui à compris ça mécréance est travail
Le sujet. Toi, moi, comme tout homme sur terre, somme des mécréants sur la voie de la sagesse,
Cette exercice, doit ce faire en la vie de chaque homme, tous les 6 mois, que c’est il passé ces
Derniers temps, comment puis je m’amélioré.
Mon passé étant déjà passé, je me lève de la première plage, pour aller sur la second, celle du milieu
Je m’assois en position de Yogin, sur celle-ci se trouve celle ou on construit ce qui demain se trouvera,
Sur les deux autres plages,la plage du passé est Tyr Andemain la plage du présent ou je médite actuellement est Bith, la plage du futur est Magh Mor. Ces sciences et philosophie vienne du second
Prophète de l’occident, Ogma, le prophète des Ogams, il est fait à chaque être le conseille de ne pas
Rester trop longtemps dans le Tyr Andemain, car en tous liens il coule en le Bith, de la est né le
Proverbe Worisjulien, « ne reste pas dans le Tyr Andemain de tes pensées, car demain deviendra
Un jour, hier le Bith ne viens pas en ces profondeurs, alors gardes toi ! »
Ce proverbe venu des cieux, est la preuve que je suis le vecteur universel de la délivrance du verbe
Venu de Yobha, que je suis l’interprète de Odin, d’Ogma, des esprits.
Il me donne la force de recommencer l’ascension à mon Bith, celui d’une personnalité nouvelle,
Celui du vœu de mes désirs, celui de la sagesse supérieur, celui que Odin, Ogma, les chants incantatoires de mes ancêtres me mènent obligatoirement dans un désir, qui est obligatoirement le
Mien !
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CHAPITRE NEUVIEME
LE RENOUVEAU
Je suis de retour dans la pièce, je suis assis en position, « Celtica Yogin », je me pose la question suivante, les siècles de l’histoire sont plein de renouveau, de renaissance, de nouveau cycle de l’histoire, qui soit disant permet à l’humanité d’évoluer. Hier nous étions des attardés pour le monde
De aujourd’hui, je cherche une raison logique à une pareille philosophie, je ne vois pas ce que nous
Avons de supérieur à ceux de hier, ma vie est plus bousculée, peut-être que en celui de hier, mais le
Monde qui m’entoure, me fait penser à une fosse à mécréance, si je vivais demain, je pense que je dirais la même chose de aujourd’hui.
Alors le renouveau, quel renouveau, celui d’un nouveau cycle de logique, d’une vision nouvel, que
Hier était celle de demain pour certain.
Avant de continuer cette méditation, je prononce la syllabe Om, et je chante à Ogma et Wotan,
Le chant sacré du Yoden, Om, Ogma, Om, Wotan, Om, Yoden, Om, Yoden, Om, Yoden, Om,
Om, Om, Om, Woy, Woy, Woy, je suis le fils du tsempoï, je mets ma concentration sur ma croix-
D’os, je ferme les yeux.
Au loin dans ma vision méditative, je vois la lumière claire comme le jour, celle-ci me transperce,
Celle-ci blanchit mes organes, celle-ci blanchit mon esprit, je retrouve une sensation de pureté,
Je retrouve une sensation de pureté dans tous mon être, dans la lumière, au loin apparait un homme,
Que l’ont ne peut distinguer, il s’approche de moi, sans que jamais je ne puisse le distingué les traits
De son visage ou ça personnalité, il me met la main sur la tête, restant ors de mon champ de vision.
Une voix que je pense, dois être la sienne me dis ; Je suis le juste, fils du Yoden que tu es, suit mon
Chemin, je suis le juste, il enlève ça main et je le sens s’en aller, la présence, l’esprit est venu et est
Repartie.
Je reste comme cela, la présence de mon esprit tenant la clarté, au loin dans la lumière blanche,
Une nouvelle présence apparait, comme celle du juste, sans que je n’arrive à la distingué vraiment,
Elle vient se poser ors de mon champs de vision, une nouvelle main, se pose sur ma tête, la voix
Est différente, elle me dit ; je suis le Franc, suit mon chemin, fils de Yoden, la présence alors s’en vas
Comme celle du Juste.
Deux minutes sont passées et au fond de la lumière blanche une troisième présence, viens comme
Les deux premières sans que je puisse les distingués, cette troisième main sur ma tête me pose ou
Plus tôt m’appose une douce chaleur me caressant les pensées, une nouvelle voix que l’on sent
Nouvellement calme, me dis alors ; « Je suis le prisonnier, mon chemin prends le, il est meilleurs
Que celui du franc et du juste, filius, sanctus spiritus, fils de Yoden que la trinité du franc, du juste,
Et du prisonnier soie perpétuée à tous jamais, par toi, le worisjule premier, inscrit le dans l’histoire,
Je suis peut être, moi, le saint-lascar, mais cela tu ne pourras jamais le savoir, Vec Balou Taf Uria W,
Et la troisième présence part à nouveau.
Je me mets alors à réfléchir sur cette troisième présence, car elle m’a révélé quel était différente
Que les deux premières, je me là remémore à nouveau, cette phrase suite à cette courte réflexion.
Cela me semble alors être l’expression même du renouveau, le saint-lascar est belle et bien peut
Etre le renouveau, voilà la révélation que je viens alors de me poser, si je suis alors ma logique
De cette phrase.
Peut-être que le prisonnier n’est que l’un des nombreux visages de Agios le lascarus, en tous les
Cas, même si ce n’étais pas lui que je viens alors de voir, une chose reste claire, c’est en tous les
Cas, la logique de l’apparition de l’expression du renouveau.
C’est pourquoi maintenant en temps et honneur que je décide, les yeux fermé avec l’attention sur
Ma croix-de-l’os, perdu dans les fleurs de ma vision méditative, de choisir le chemin du renouveau,
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Celui qui pour le Worisjule premier, me permet de construire le monde de demain, moi le
Visionnaire de ce nouveau millénaire, moi le Worisjule premier, moi le Worisjule premier
Qui est 25 ans et qui est vécu déjà 2 millénaires, je veux que mon héritage spirituel,
Celui du bonhomme de paille, me permette de laisser ma trace dans les mémoires
Achkasick, pour que l’âme du Worisjulianisme puisse vivre à tous jamais au file
Des millénaires à venir, pour que la voix Arienne conservatrice se face entendre au
Files des siècles nouveaux, des siècles du renouveau Arien, des siècles d’un arianisme
A évolution multiracial, mais conservateur de l’hygiène génétique.
Car moi le Worisjule premier, je suis l’éon suprême du renouveau, qu’il soie Celtique,
Runique, ou autre. Mon chant raga, à moi le Worisjule premier, sera dans les millénaires
A venir au nom de l’ordre de la croix-de-l’os, ainsi je conserverais en mon sein chaque
Eons racial ou autre religion, groupement, à vision positive, pour ce prochain millénaire,
Car comme ceux qui comprenne le message de l’éon Jesus, moi le worisjule premier,
Je te le retransmets ; Aide ton prochain et ton prochain t’aidera, ainsi le respect de tes ancêtres
Est d’une importance capitale, ne les renies jamais, pour ceux d’autrui », n’est il pas marquer dans
La bible « N’utilise pas les pierres que tes ancêtres ont posé autrefois pour délimiter tes propres champs.