Chapitre 68-75
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CHAPITRE SOISANTIEME
Comme une phase métaphysique, dans ce monde de l’au-delà, entre les lignes du maitre du mot, le pâtre des patres, le Worisjule premier, le nain rouge s’arrête sur le sentier lumineux. il prends les ces deux compères prêt de lui, l’un à ça gauche, l’autre à ça droite, il trace un cercle, et dit alors aux deux autres ; regarder là, le Worisjule premier qui pioche au milieux des vignes de cette homme, au loin dans ce cercle, les trois nains remarque Rabhachien, Mescalito, l’homme à tête de chien, qui vole comme un nuage, au dessus du vignoble. Il accompagne le père d’Olga, le propriétaire du vignoble.
Le Worisjule premier est dans les vignes, il pioche des terrasses, au fond Olga taille les sarments que
le Worisjule premier a enlevé les attaches aux souches dont les sarments ont été séché par l’hivers.
Alors que le Worisjule premier pioche, au loin Olga, au fond crie de ces parjures, regardes dit il, regarde, là haut c’est Rabhachien. Le Worisjule premier lui réponds, oui, c’est lui, c’est Rabhachien,
c’est lui il est le guide de jean louis au pays des cieux, c’est lui qui m’a parler de toi, de moi à toi, c’est lui qui nous a amené à nous rencontrer. Les trois nains, eux sont là, assis autours du cercle, il regarde ensemble dans ce cercle, toutes l’affaire qui se passe. Le nain rouge, dit alors a ces deux amis ; -« vous allez chanter ce chant que je vais vous chantez, ensuite, vous le réciterez ensembles, moi je plongerais dans le cercle afin d’aller trouver le Worisjule premier là au bas ; je vous le récite ; Ogma ya, ya, yaaaaa, ya . Maintenant chantez ! » Les deux nains, s’exécute, alors dans leurs chants, le nain aux habits de couleur rouge saute dans le cercle et s’évapore… Il arrive dans l’espace temps ou pioche le Worisjule premier, il arrive au haut du lopin de vigne qui s’appelle les Pedances, le nain prends un petit sentier raide au travers des vignes et se dirige vers le Worisjule premier, il lui demande « est ce que je peux aller acheter une bouteille de vin un Olga », le Worisjule premier lui réponds –Oui vas y.
Le nain aux habits de couleur rouge, alors se déplace dans les vignes, jusque vers Olga, qui taille les jeunes. Le petit nain crie a Olga, « je veux t’acheter du vin, Olga ne le vois pas de suite, mais il baisse les yeux et vois alors cet être miniature. Olga est surpris de voir ce petit homme haut comme trois pommes, qui lui tends un billet de banque, mais il est heureux de l’intérêt que ce petit homme porte a son vin, Olga répond au nain qu’il est d’accord de faire commerce avec lui, toutefois il lui demande comment il compte porter une quantité de vin, égale à un billet de mille francs, le nain lui répond de ne pas s’inquiéter, que ces secrets sont immense, de juste lui vendre son vin.
Olga- D’accord alors allons ensemble à le Picolette faire notre affaire, ensemble ils descendent vers l’auto de Olga, une grosse voiture tous terrain de couleur noir, le nain aux habits de couleurs rouges, prends place sur le siège passager et Olga prends le volant et l’amène a travers une petites routes au travers du vignoble, jusqu'à la Picolette. L’auto se parque sur une place de parking, ils descendent de l’auto, descendent le chemin qui les mènent sur une terrasse, ou se trouve la porte du local de la Picolette, Olga ouvre la porte avec ces clefs, fait assoir le nain sur un banc, Olga lui sert un verre de vin, le Worisjule premier, lui est resté pioché dans les vignes.
Olga- alors gentille petit nain qui fait la ronde au levé du matin, j’ai du blanc chasselas Chardonne a treize francs la bouteille et du blanc chasselas St-saphorin a treize francs cinquante la bouteille, ainsi que du rouge pinot gamay St-saphorin, a quatorze francs cinquante la bouteille.
Le nain aux habits de couleurs rouges- bon ben je prends un tiers de chaque de mon billets de milles francs.
Olga- ça fait 30 bouteilles de chaque.
Le nain aux habits de couleurs rouges- d’accord ça marche, affaire conclue.
Ensemble ils boivent un verre de blancs afin de sellé leur affaire, ensuite Olga se lève, il décent les nonante bouteilles au nains, qui lui remet un billet de milles francs. Le nain alors chante une chanson
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inaudible pour Olga, et disparait avec les bouteilles. Le nain alors arrive sur le nuage dans l’au delà prêt de Rabhachien et de Jean Louis, le père de Olga, il lui tend une bouteille et lui dis, là voilà, c’est une de la grâce de la prière du Worisjule premier, Jean Louis le remercie il l’ouvre et la boit avec Rabhathé, au bas dans les vignes Olga est retourné à ça taille et le Worisjule premier est toujours entrain de piocher, Jean Louis veut tendre un verre au nain aux habits de couleurs rouge, mais il a disparut avec les bouteilles. Il est partis rejoindre ces compères, qui ensemble boivent le vin acheté à Olga.
CHAPITRE SOISANTE-ET-UNIEME
L’HOMME EST PRISONIER
Les trois nains sont partis dans une immense bulle lumineuse, sur leur chemin, ils ne voient plus la lumière. Mais revenons à l’homme à tête d’oiseau, celui-ci assis en lévitation, vois une scène, peut-être est il prisonnier de quelques choses, pour rester toujours en méditation ?
La scène ; Quand les nains sont partis sur le sentier lumineux, le lecteur a vus le paysage ce métamorphoser, le paysage devenir lumière, lumière qui a finis par se revenir en une boule de lumière si et posée. Une phrase de Cocteau alors résonne dans les landes « L’homme est prisonnier entre trois murs. Peut être le quatrième est-il comme celui du théâtre, plein de regards qui nous jugent. » Cette phrase alors se répète quelques fois en la tête de l’homme à tête d’oiseau, et celle du savoir du trop de connaissance. Peut être que ça prison à cet homme à tête d’oiseau en un temps intersidérale, dans une métaphysique d’espace-temps, en un temps unique, cet homme à tête d’oiseau, dans ça longue méditation lévitique, à vécu l’heure de la genèse et la fin des temps, connus le big-bang, et toutes les choses explorables ou vivables à vivre tous le concevable, comme tous l’inconcevable, avant de vivre son maintenant en le livre du pâtre des patres, son maintenant poussière de temps en la peut-être prison de son éternité. Peut-être que l’homme est prisonnier en son éternité, me perçois, moi, le Worisjule premier, au moment ou j’écris ces mots ou te perçois à ce moment ou tu lis « je suis ».
Dés lors, peut être qu’il me comprend, moi, le Worisjule premier dans ma prison, vivant un voyage à la Datura, un nouveau voyage qui me berce et me fait du bien. Ce voyage en adéquation avec la philosophie des charmeurs de Selmeks, celle du poison qui guérit les mauvais maux. Peut être que l’homme à tête d’oiseau veille au premier voyage du seigneur de l’humblesse napolitaine, dans son premier voyage à la Datura. Lui qui a mangé le fruit défendu des mains du Worisjule premier, le suivant en ce voyage, du centre de cette prison. A-t-il compris le Worisjule premier, la Datura l’a-t-il fait valser dans un psychisme nouveau qu’il ne peut comprendre, c’est il suicidé, à t’il perçu le Divin, l’a-t-il emmené aux portes de Hel, les portes de la morts. Peut importe, je sais que l’homme à tête d’oiseau veille sur lui, car il a compris que ce seigneur est prisonnier et elle le comprend dans son emprisonnement, car l’homme à tête d’oiseau est prisonnier en l’éternité, comme le Napolitain, lui est
prisonnier durant ces prochaines années qui lui paraisse longue, mais qui pour l’homme à tête d’oiseau est un instant court dans son éternité. Je ne sais pas si l’homme à tête d’oiseau existe bien, ou si il traverse bien les temps, les âges et les dimensions afin de venir vers moi son actuel créateur, car peut être est il né au maintenant de l’écris de ce mot ou alors lorsque tu lis maintenant. Cet alors que moi qui l’emprisonne en l’éternité, je lui demande sans en attendre la réponse-« sommes nous nés du mal fruit de Eve et d’Adam »-Charon est il un bon vivant ». Bien qu’entre prisonnier il faut s’aider, je me fous pas mal de telle réponse. J’écris ces mots pour que peut-être, l’homme a la chaise, trouve dans l’un des recoins du monde, se cachant à l’autre face du livre du pâtre des pâtres, dans son long chemin d’homme debout partis sur le sentier lumineux, puisse trouver le livre du pâtre des patres sur une borne de chmillion d’année et lire ce passage. Dés lors par la grâce des milliards de secrets que renferme le
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livre du pâtre des patres, livre ésotérique de ce nouveau millénaire, don du Worisjule premier au monde de demain, étude d’une philosophie d’aujourd’hui pour faire naitre les doctrines Worisjulienne de demain, l’enfant des mots est nés, le maitre du mot est celui qui les écris, le lecteur alors lis « je suis ».
CHAPITRE SOISANT-DEUXIEME
PEUT ETRE
Prisonnier, oui, prisonnier, oui, le prisonnier n’est il pas juste pris dans les griffes des sortilèges du saint lascarus ou la prison du sortilège est-elle la prison éternelle de l’homme à tête d’oiseau, celui-ci prisonnier en le sortilège de l’éternité. Peut être, dés lors que la délivrance de l’homme à tête d’oiseau puisse trouver ça délivrance sur le chemin de Hel, peut-être trouveras t’il le bonheur de la délivrance les deux pieds dans l’Hadès, ou peut être à t’il été sur la barque du passeur Charron qui le frappant sur la tête de ça rame, lui a dit ; je ne peux rien faire pour toi, homme à tête d’oiseau. Peut être que en son espace cérébral méditatif, garde t’il le monde de la fée Marie-Jeanne, peut-être est il le gardien du royaume de Radneil, peut être a-t-il vécu le jour où le saint lascarus a dit ce jour de beau temps ;-Il est peut-être que ce prisonnier de l’éternité, est tous bêtement par la force de la recherche d’occupation tous comme l’homme assis qui se leva et devint l’homme qui marche sur le sentier lumineux, l’homme à tête d’oiseau devient un ange Worisjulien gardant au profond de ça méditation les portes et les clefs des profondeurs et espaces spirituel infinie du devenir des disciples du livre du pâtre des pâtres, peut être est il l’épis centre des plaines psychiquo-spirituel de l’infinie de la connaissance et de l’imagination créatrice des philosophies Worisjulienne de demain. Peut-être que l’emprisonnement en l’éternité de l’homme à tête d’oiseau est, quand elle se met en la grâce du livre du pâtre des pâtres en symbiose avec la pièce, rends l’espace de la pièce, soit du juste, soit du franc, soit du prisonnier, l’aire de l’espace mystique du devenir, rends la pièce comme celle de l’initiation d’une nouvelle philosophie. Peut-être est peut-être le premier pas du philosophe Worisjulien, comme peut-être n’est pas le mot de la philosophie Worisjulienne de demain, peut être que le demain du Worisjulianisme de demain seras fait de haine, ou peut être seras t’il fait d’amour, ou encor seras t’il emplit de peut-être ? Peut-être que les anges du livre du pâtre des pâtres sont-ils venu à toi à chaque fois que tu as lu « je suis ». Peut être que moi le Worisjule premier ai des questions et des réponses, peut être que au fond de ton être, toi le lecteur, tu as des questions et des réponses, peut êtres que l’homme à tête d’oiseau à t’il de nombreuses questions et de nombreuses réponses. Peut être que un chat ou un chien, ou encor un simple scorpion à t’il des questions et des réponses, peut être que aussi toutes ces questions ou toutes ces réponses, personnes n’en a rien a foutre, ou peut être que moi le Worisjule premier ainsi que le saint lascarus n’ont en rien à faire de toutes ces questions et de ces réponses, peut être que Jilvsngkweg le huit milles trois cents septante quatrième ange de la légion numéro dix milles neuf cent huitante quatre soit la légion angélique Sweglug des anges Worisjulien, à lui aussi dit un jour de soleil « il est ». Peut être que l’ordre de la croix de l’os n’est que le vertueux de mon imagination ou peut-être qu’il existe vraiment, peut être que ces confrères n’ont que pour ambition de couper la tête à chaque lecteurs ayant lu le livre
du pâtre des patres avant de les mangers, ou peut-être sont ils là pour aider le disciple à son accomplissement, Peut-être que eux aussi se disent que peut-être…
Peut-être aussi que Jilvsngkweg n’existe pas, ou peut être qu’il existe, peut être que moi le Worisjule premier me contredis ou peut être pas. Peut-être que j’écris n’importe quoi, ou peut être que tu ne me comprends pas. Peut-être que ce chapitre est là juste pour mettre un nouveau chapitre en le livre du pâtre des patres, peut-être aussi que celui-ci est l’épi centre de la philosophie doctrinale Worisjulienne, née du Worisjule premier. Peut être que la réponse de ces peut être, est elle dans la numérotation de la page de ou tu lis ce « Je suis » ou peut être que « dei servus nullam » ou que « nullum tibi in animan ejus restare imperium ». Peut-être que peut-être puisse être aussi la définition du divin ou peut être que peut être…
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CHAPITRE SOISANTANTE-TROISIEME
LE COURE DE L’HISTOIRE REPREND
Le cour de l’histoire pour le lecteur inexpérimenté peut paraitre à chaque fois interrompus, mais en fait, tout est le contraire, le chapitre précédent cité comme exemple est juste une pause méditative afin de se poser les bonnes questions, qui par ce biais affirme l’émergence de la graine doctrinale Worisjulienne. En chaque disciple, ou plus tôt en chaque lecteur qui lis « je suis ». Je suis devenu grâce aux accents répétitifs du maitre du mot, je dois alors me poser les questions suivantes ;
-Vais-je revenir en l’histoire ?, Ou les nains ont-ils bien pus passé ? , Dans le coure de l’histoire ceux-ci vont-ils revenir ? La légion angélique dix milles neuf cents huitante quatre, est elle constituée d’ange chinois ? Chanter des chansons sur un pied est il possible ? A chacune de ces questions, tu es le seul à pouvoir en trouver les réponses, mais une chose qui puisse être assez sur, c’est que pour ma part à chaque questions, la réponse que je te donnerais, seras peut être. Soudain le lecteur lis « Knelkveg »
C’est alors que reprends le cours de l’histoire du livre du pâtre des pâtres. Une douce odeur encensée, alors encense les mots du livre du pâtre des pâtres, peut à peut dans la fumée dissipée apparait gentiment un paysage, des arbres et une rivière, ä chaque instant le lecteur en perçoit l’imagerie, tu sent alors que l’histoire se trouve au fond d’une gorge, cette rivière qui coule incessamment est celle de la Veveyse, le paysage que tu croyais percevoir est quasi inexistant, bien que dans le fond, en aval de la rivière, derrière les nuages, se trouvent très probablement un horizon sous forme de paysage, sur le flanc droite regardant cet horizon, se trouve une ruine, probablement celle d’une maison forte ancienne, au bas de cette ruine sur une petite terrasse bordant la rivière, se trouve un foyer ou les flammes jaïssent, de ces flammes nait un immense nuage fumeux, dans ce nuage qui peut ä peut prends le dessus sur l’odeur encensé des mots du Worisjule premier, par une forte odeur de feu boisé, dans ce nuage viens gentiment des formes qui apparaissent une à une. Devant ce feu, en position méditative se trouve un homme, celui-ci porte sur la tête un squelette de tête de cerf, celui-ci regarde les formes dans la fumée. Les formes dans la fumée, alors par flashs consécutifs, se forment en images, des images qui petit à petit sont des images de forme que l’ont peut retrouver dans la réalité, soit des faits, des actions du quotidien. Ces formes, alors, deviennent perceptibles, et par flashs consécutifs viens en mémoire un tracé du livre du pâtre des patres, les chants des nouvelles perceptions du Worisjule premier, ceux-ci perçue de son troisième œil, viennent un à un au travers de cette fumée, chaque instant du vécu du huit milles trois cents septante quatrième fils de Yobha, viennent au travers de cette fumée. Ces flashs consécutifs raconte les différents actes du livre du pâtre des patres, ceci jusqu’au moment fatidique ou l’homme à tête d’oiseau finis par se répéter la phrase de Cocteau. Une chose reste incertaine pour le lecteur, qui est maintenant plus qu’un simple regard en l’histoire du livre du pâtre des patres. L’homme à tête de cerf dans cet océan fumeux d’imagerie, perçois t’il la fin du livre du pâtre des patres, de par ces flashs consécutif. La seule réponse est « peut être », car moi le maitre du mot, je préfère laisser le mystère dominé à cette question, mais comme je te l’ai écris auparavant ; les réponses des questions du livre du pâtre des patres, se trouve au fond de toi-même. Au dessus de cette terrasse, se trouve une seconde terrasse, au dessus du muret de la ruine, sur ce second pallier, coter amont de la rivière, se trouve un totem, ce totem, est celui de Frey, un grand homme de bois, avec pour phallus un gros clou rouillé, argumenté de deux pives comme glandes. Devant ce totem, se trouve, fesse à l’aire, une très belle femme, du moins possédant un bien joli trou accueillant en guise d’anus, ainsi que une chatte douce et mignonne, ces cheveux brun, retombe parterre devant le totem. Elle est prosternée devant le totem, laissant ces belles et douces fesses à l’aire, l’anus accueillant ne demandant que à se faire doucement pénétrer, autour d’elle, vis la vie de centaine et de millier d’arbres phallique, en cette humide forêt, cette belle femelle est prosternée devant le totem Freyien, attendant de ce faire percer l’anus avec douceur.
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CHAPITRE SOISANTE-QUATRIEME
LE WORISJULE REVIENT
La douce fumée de feu enfume gentiment le lieu, en cette fumée git une douce mélodie parlante qui dis ; voici le lieu de Potlotempko, par des répétitions pratiquement imperceptible. Au fond du site, en avale de l’anus accueillant, surgit d’entre les arbres une ombre, cet ombre est celle, d’un homme, habillé de pantalon de couleur kaki argumenté de patte d’éléphant, retombant sur ces pieds nus.
L’homme est habillé au haut, d’un gros pull d’origine Norvégienne en grosse laine, il porte autour du cou trois amulettes ornée de rune, sur ça tête, il porte un petit chapeau en laine, portant de magnifique dessin de bœufs, ceux-ci, tricoté dans la parure. Cette magnifique parure, couvre ça chevelure de longs cheveux blonds, c’est le Worisjule premier. La femme en rut, ne peut voir à ce moment, ce qui se passe dans son dos, mais de part ça soumission, elle qui attend de se faire enfiler le cul comme celui d’une vierge, par son maitre, car ça soumission est celle d’une femelle offrant son corps et son âme en l’éternité au Worisjule premier, qui lui n’est plus ombre, mais homme qui marche pas à pas, enfouré son sexe dans ce jolis petit trou du cul accueillant. Pas à pas le Worisjule premier avance et arrive vers le fruit de ça quête, au fond de lui, il se dit ; belle salope que je vais alors enculer. Il ouvre ça braguette, et en sort son pénis tendu, son sexe à la vertu magique, son champignon d’hallucination et de merveille, qui sans se vanter est de bonne taille. Son sexe qui comme celui de beaucoup d’homme travers de longs périples et de longues palabres interne en son être et son membre à part. A genoux, il enfourche lentement le cul de cette femelle qui de ça soumission lui destine le fruit de son plaisir, dans la tête de cette tendre garce, une chose est alors en tête, son vœux de faire jouir son maitre, de lui faire prendre son pied par l’unique faveur des atouts de son corps. Le Worisjule face à cette créature lui appartenant de ce jour, où il l’a transperce de son dard, lui accorde par ce geste d’accepter le plaisir qu’elle a soif de lui offrir, lui accorde alors la pénitence d’appartenir en l’éternité au Worisjule premier, car l’énergie doctrino-spirituel que dégage le sexe gonflé du Worisjule premier, n’a pas d’égale en honneur à ce jour, à des chmillions d’années lumière en l’éternité. Au fond d’elle, elle sait maintenant que la grâce et l’honneur que lui fait le Worisjule premier, lui offre l’ouverture de la délivrance de chacun de ces maux, de chacune de ces frustrations, la fin de ces problèmes, car le Worisjule premier seras toujours là pour en profiter, son poison de guérison, dont à tous jamais, elle ressentira le besoin de se sentir à proximité.
Ces choses, avant de lui offrir son corps et son âme en l’éternité, sont celle qui lui a fait se sentir bien, l’avant de venir lui offrir du bien, au milieu de cette forêt pour prendre un premier orgasme en guise de récompense, de son acte de bravoure, vis-à-vis du Worisjule premier. Le Worisjule premier, la sodomise longuement, appréciant fortement les femelles de son acabit, lui montrant alors ces remerciements, en lui prenant fortement ça tignasse velue entre ces mains, qui lui augmente par une douce douleur, le bruit de son premier orgasme, l’orgasme du Worisjule premier, la femelle jouis et jouis encor, mais le Worisjule premier ne cesse de l’enfoncer, le site est toujours enfumé, au haut des arbres, les oiseaux gazouillent et l’homme à tête de cerf, lui, continue à méditer au bord du feu, une douce danse de vent, se faufile entre les arbres de cette forêt, l’âme de ce lieu renferme alors un nouveau secret, celui d’un orgasme du Worisjule premier, la joie et le bonheur se fait sentir dés lieu à la ronde,
un bonheur si intense se dégage alors dans cette impulsion que même le renard, gardien du lieu « Goupil » et la buse gardienne « Innocent » en ressente les vibrations. L’arme du bonheur, alors vient s’inscrire dans cet Eldorado helvétique, une nouvelle larme de connaissance vient s’inscrire dans la mémoire de Potlotempko, le centre de l’univers trouve un nouveau chemin et l’homme coiffé de la tête de cerf, continue longuement ça méditation, trouvant alors la voie de l’illumination, en cette élan, alors il inscrit cet instant en ça mémoire, que même à ça mort, il perpétuera en son esprit, en l’éternité par la force des choses.
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CHAPITRE SOIXSANT-CINQUIEME
LE CONFIN DE L’INFINIE
Le Worisjule premier, laisse la belle femelle à la merci des bois de la forêt, il lève le bras vers le ciel et d’un coup, entonne les syllabes d’Odin en chant phonétique. Le haut du ciel, alors se met à s’obscurcir,
le ciel tonne, mais la pluie, elle, ne vient pas, l’homme à tête de cerf, épris d’une lumière des cieux, lumière comme celle de l’imagerie de la venue des extra-terrestres, monte aux cieux au travers de cette lumière, comme la montée aux cieux de l’as de la lévitation. Son comportement lors de cette montée aux cieux, se trouve étrange, non pas de par ça gestuelle, mais de par son expression. Le Worisjule premier, lui, ressent au profond de son être, les énergies de la terre lui transmettre les danses shamaniques de la préhistoire à aujourd’hui. Le ciel reste sombre, mais l’homme à tête de cerf, lui traverse le tréfonds de cette obscurité, par un cercle de lumière au milieu de cet obscurcissement.
Pour le Worisjule premier qui gardant les pieds sur terre, assiste à cette scène, la tête à l’aire, tournant le dos à cette princesse soumise au totem de Frey, chantant à tue tête une incantation au père des runes, ne pouvant plus percevoir ce moment, ou le lévite traverse l’obscurité au centre de lumière, l’homme à tête de cerf, étant à cet instant trop haut dans les cieux. Mais le Worisjule premier, l’as des as de la transe shamanique, le fils de l’ésotérisme, le père de la spiritualité Worisjulienne de demain, chantant le nom d’Odin, au loin de la perception visuelle que totalité à bien voulus lui accorder, perçoit par état de connexion métapsychique, chaque onde de l’homme à tête de cerf, il le sait déjà du confiné d’un premier pas vers l’éternité, un grain de poussière face à la cathédrale du Lausanna, face à l’infinie.
Car il présente que l’homme, c’est dématérialisé, que dans ça méditation, il a vaincu la vitesse ou la matière n’est plus que lumière, qu’il a atteint le concevable de la mesure de la vitesse, que ça substance n’est plus concevable, le fait de cette coexistence métaphysique entre le Worisjule premier et l’homme à tête de cerf, ordonne alors par le même procédé logique mais inconcevable au Worisjule premier, une phase lumineuse autours de lui, changeant le point cosmique du lévite au point quelques mètres plus loin en le Worisjule premier comme centre du cercle de ça montée aux cieux.
Le Worisjule premier suit les imageries du lévite comme si il est son suivant, toute en gardant les pieds sur terre, en son être il sent en lui l’humanité par une sensation douce et confiante, mais il ne peut l’exprimer, car en lui, face aux différentes perceptions du réel que son concevable lui permet, en même temps d’apprécier cet instant comme une réalité, en même temps ces connaissances et ça philosophie contredit cet envisageable. Cet instant bouleversé par cette contradiction déconnecte son élan métapsychique avec l’homme à tête de cerf, devant se trouver à quelques Tétra-chmilliard d’année lumière du système solaire. Dans ce bouleversement, en son regard, le temps s’accélère, les nuages se dissipent et le ciel tombe la nuit, les étoiles, elles, illuminent le ciel, et viennent à lui, se transformant en fée, la lune, elle, les suit, se transformant en Ixel, déesse portant un bâton parsemé d’osselet. les fées lui tournent autour, et Ixel, elle apparait par l’image fantomatique à une vitesse ne laissant percevoir que de brève apparition derrière chaque arbres de la forêt, la belle, elle ne bouge toujours pas, bien que le froid fait frémir ces fesses, ça soumission aux désires du Worisjule premier, la fait se tenir à ce qui lui a été ordonné. Toutefois, tête baissée devant le totem, elle ne perçoit rien de cet instant, mais son esprit, lui, se trouve par la magie du lieu et de la puissance du Worisjule premier, être exempté des morsures du froid et des blessures psychiques qu’incombe ce jeux du vaudou de l’imagerie , son esprit chauffe ces sensations dans un état de confiance sans égale comme l’instant venant juste après la relation sexuelle, dans cet instant elle perçois un rêve, celui d’une jeune femme aux cheveux blonds, son instinct féminin, lui présagent alors, que en le ventre rond de cette matrice Padma, naitra le fils du soleil, qui elle, le sait , cet enfant sera aussi un Worisjule de son temps, car se rêve reste celui de la prémonition d’un autre temps.
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CHAPITRE SOISANT-SIXIEME
L’ESPACE TEMPS
Le Worisjule premier ne perçoit plus les fées et Ixchel, un immense big-bang lumineux, l’a mené à arrêter son chant. suite à se big-bang, il se trouve nu sur cette plage feuillue, Potlotempko, est tel que la déesse soumise est toujours là, à lui offrir son petit anus devant le totem de Frey, l’instinct du Worisjule premier, le laisse comprendre, comme la voie du souffle de dieu, qu’il se trouve être à un second niveau de son être détaché de lui-même, qui est à son temps les bras levé au cieux, fixant la lune les yeux grand ouvert, immobile comme endormis. Son corps est fait de chaire, il le sait, il avance vers la femelle soumise et lui tends la main, lui ordonnant de se levé. La belle alors s’exécute, prends ça main, se lève et vient poser tendre baisser sur le contournement de la bouche du Worisjule premier en guise de remerciement. Le Worisjule premier lui fait un geste de bénédiction, façon de lui signifier son contentement , il lui prend la main dans l’autre sens, et l’attire d’un petit pas à le suivre, ce que en un instant de contentement et de bonheur, le jeune et la belle femelle éprise sous le feu de l’annonciation de bon jour pour elle, le suit se laissant guider jusqu’à la rivière, source de la branche de Potlotempko de la Veveyse. Le Worisjule premier, alors désignant une baignoire naturel, lui fait signe de si baigner afin de recevoir à tous jamais la purification Worisjulienne. La belle femelle s’exécute et le Worisjule la laissant seul à son instant, monte un peu en amont, prendre le même bain de pureté de Lagu, gardant le bon œil sur le fruit de son désir. Le Worisjule premier, reste de longues minutes ainsi à admirer cette belle conquête, qui restant le dos tourner, laisse percevoir les contournements de ça douce personnalité, ces longues minutes passent, un quart d’heure de satisfaction intense pour le Worisjule premier, il se dit au fond de lui « pourrais-je un jour l’écrire, ce profond mot de mon estime ». Cet instant ne peut s’expliquer, ne peut se conter, par le maître du mot qui écrit le livre du pâtre des patres, né du Worisjule premier, ce quart d’heur reste à l’appréciation du lecteur. Ce quart d’heur continuant, se fait alors interrompre par des bruits au fond des bois. Le Worisjule percevant alors ces bruits, tourne la tête en direction de ces provenances auditives. Il perçoit au fond de l’obscurité des bois, de grandes formes poilues. Il crie en leurs directions, « Huée », les formes l’entende et viennent en la direction du Worisjule premier, probablement attirée par la tonalité accueillante du Worisjule premier. La belle, elle, ressent un instant l’envie de savoir la provenance de ces bruits, ainsi que le pourquoi du cri de son maitre, le Worisjule premier, mais la puissance psychiquo-télépathique qu’elle ressent au fond d’elle, soit l’émanation divine du centre de l’humanité nouvellement née, elle préfère ne rien faire et rester le dos tourné au commandement de son maitre, soumise à l’ordonnance en adéquation avec ça soumission, restant ainsi à son occupation. Les formes poilues maintenant à cinq mètre du Worisjule premier, armé de buches grossièrement taillées, argumentées de silex, aussi grossièrement taillés que les buches. Ces hommes très poilus, au dos recourbé ayant une forme entre le singe et l’homme, se mettent à genoux, un genou à terre, ainsi que une jambe recourbée devant le Worisjule premier, baissant la tête.
L’appréciation du Worisjule premier face à ces êtres, reste celle de « sont-ils des trolles, des yétis helvétiques ou une forme humaine de goret ». Le Worisjule premier, qui n’était pas très convaincus d’avoir traversé les âges de par ça métamorphose shamanique avec le lévite, ceci de par son précédent conflit interne philosophique entre les connaissances de son percevable, doit alors se résoudre à ça réussite, soit le fait de revenir au point de l’originel par un acte de sadomasochie avec ça soumise. se faite, fait de ces bêtes poilues poussant des cris disharmonieux en l’encontre du centre de l’humanité, sont par déduction des hommes préhistoriques, essayant de communiquer avec le Worisjule premier, qui de par ça constitution physique le prennent probablement comme une sorte d’identité surnaturelle, une divinité primitive, au lieu de simplement comprendre que ils sont en face du Worisjule premier, le centre de l’humanité. Le Worisjule premier prends cette controverse avec respect face à l’inculture de ces ancêtres, se lève vers eux, tendant les mains vers les cieux, leurs dits ; « Mes enfants et père à la fois, vous les saints d’esprits, prenez pour argent comptant le fruit de ma bénédiction, il
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pose ça main mouillée sur chacune de leurs têtes poilues et leurs dit ; -soyez bénis, ces créatures alors qui ne communiquais que par simple grognement disent alors ;-merci Vec Balou Taf Uria W.
CHAPITRE SOIXSANT-SEPTIEME
LA REVELATION DU DESTIN
Le centre de l’humanité, regarde de par le savoir cosmique de la lecture de leurs devenirs, il dit au trois premiers, trois qui sont en avant des autres, au premier, « l’un de tes descendants prochain, sera nommé Odin », au second, » l’un de tes descendant prochain seras nommer Lugh » au troisième « l’un de tes descendant prochain seras nommé Adam, celui- ci auras une côte en moins dit à tes fils de transmettre à leurs fils de faire attention aux morsures de serpent, leurs poisons peuvent causer de nombreuses hallucination, voir la mort ». Vous êtes les descendants de Naye et vous avez régressé en homme singe, vos pères portais déjà ces noms quand Naye les as fait naitre depuis ça soucoupe spatiale. Maintenant par ma grâce seigneuriale vos descendants vont à nouveau progresser en intelligence, c’est pourquoi ils devront à nouveau porter ces noms. Le Worisjule, vois une femelle parmi eux, et lisant à travers elle, lui dis ; « un jour, tu partiras, toi, ou l’une de tes filles de ton clan et son enfant femelle, se perdras au tréfonds d’une terre que l’ont appelle Afrique, je ne peux te dire si ta descendance survivras, mais peut-être, le Worisjule premier repart à ça place, juste au dessous d’une petite cascade d’eau, là il reprend son spectacle, celui de ça conquête, jouant aux flots de l’embouchure de la Veveyse, celle de Potlotempko. Il sent son énergie vitale, soit ce cercle imperceptible relancé les créatures poilues au loin des bois et les sais perdre que peut de temps, en cette instant de palabre, le Worisjule premier avais accordé au homme singe de par ça grâce seigneuriale le pouvoir de perception, maintenant leurs cerveaux est à nouveau retourné à l’état de simple singe, sur le chemin de l’homme.
Le Worisjule premier, en un regain d’empathie, afin de garder un bon souvenir de son spectacle, celui de cette princesse de dos, jouant aux grés des flots de la rivière, se lève, prends de la paille et prends un bon morceau de ficelle qui pour toujours seras là, au lieu mystique de Potlotempko, l’ayant suivis aux grés des âges, assis sur un rocher fabrique une étrange poupée de paille, celle-ci en forme de bonhomme. Il regarde à ça droite et vois les créatures homme préhistorique jouer dans l’eau, d’un geste, il jette en leurs directions ça création. L’objet étant entre lui et les créatures, celle-ci attirée par cette gestuelle, notamment la femelle, qui se lève et vient en la direction afin de se l’approprier. Elle retourne un peut craintive, vers son petit groupe et leurs montres l’objet en criant de nombreux cris de singe. Les autres membres du groupe, viennent tous vers elle et cherche à lui prendre l’objet en question. La femelle alors les repousses de tous son fort afin de garder l’objet en ça possession. Les autres après de mainte tentative de l’acquérir, abandonne chacun leurs tours, mais le Worisjule premier qui regarde le spectacle toute en gardant un œil sur ça femelle, remarque ceux du groupe qu’il avait il y à peut bénis, aller chacun leurs tours sur un petit plan d’herbes en bordure de la rivière, chacun d’eux prends un petit peut de paille. Le premier enlève un bout de ficelle sur l’arme primitive de la femelle, qui elle ne bouge pas, afin de ne pas se faire voler son bonhomme de ficelle, cet objet, ce fétiche, qu’elle tient en ça possession, alors il se fabrique un objet identique, un fétiche de bonhomme de paille identique. Le second qui n’arrive pas à fabriquer l’objet ne comprenant le comment du pouvoir du premier, d’un regard triste, tend la paille au premier, qui alors le regard généreux, lui montre le comment de ça réussite, ainsi le second reprend ça paille, et fabrique un troisième objet similaire, un fétiche de bonhomme de paille. Le troisième élu bénis par le Worisjule premier, suivant la scène, et ayant enregistré le processus de fabrication, se lève à son tour et fabrique par lui-même l’objet laissant l’aire ébahit des deux autres. Au moment où il à finis ça propre création, la femelle qui du haut du rocher guète la scène, ainsi que le Worisjule premier, qui pour peut à peut, se dissipe au loin de l’imagerie fantomatique, transfère alors cette image du centre de l’humanité sur ça poupée, en un sentiment primitif qui se lirais « un jour naitra de ma lignée ». Le Worisjule n’est plus là, au gré des âges, mais les êtres préhistoriques, eux, reste là, continuant leurs vies. Chacun de ceux-ci garde avec eux, cet objet,
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cette poupée de paille, sans pour autant montré aux autres le processus. Dans l’histoire du livre du pâtre des patres, il transmet ce savoir, ainsi que cette poupée jusqu’à ça destruction, leurs descendants, devront la ressusciter, par le secret du procédé de fabrication, chacun allant aux grés de leurs destins, et chacun de ces descendants comprendront comme ces premiers êtres poilus, que en la grâce du Worisjule premier, ils sont en quelques sortes des Eons de la religions originel, ainsi fut en cet instant du livre du pâtre des patres, celui de la première révélation du destin au grés des âges.