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CHAPITRE SOIXSANT-SEPTIEME
LA REVELATION DU DESTIN
Le centre de l’humanité, regarde de par le savoir cosmique de la lecture de leurs devenirs, il dit au trois premiers, trois qui sont en avant des autres, au premier, « l’un de tes descendants prochain, sera nommé Odin », au second, » l’un de tes descendant prochain seras nommer Lugh » au troisième « l’un de tes descendant prochain seras nommé Adam, celui- ci auras une côte en moins dit à tes fils de transmettre à leurs fils de faire attention aux morsures de serpent, leurs poisons peuvent causer de nombreuses hallucination, voir la mort ». Vous êtes les descendants de Naye et vous avez régressé en homme singe, vos pères portais déjà ces noms quand Naye les as fait naitre depuis ça soucoupe spatiale. Maintenant par ma grâce seigneuriale vos descendants vont à nouveau progresser en intelligence, c’est pourquoi ils devront à nouveau porter ces noms. Le Worisjule, vois une femelle parmi eux, et lisant à travers elle, lui dis ; « un jour, tu partiras, toi, ou l’une de tes filles de ton clan et son enfant femelle, se perdras au tréfonds d’une terre que l’ont appelle Afrique, je ne peux te dire si ta descendance survivras, mais peut-être, le Worisjule premier repart à ça place, juste au dessous d’une petite cascade d’eau, là il reprend son spectacle, celui de ça conquête, jouant aux flots de l’embouchure de la Veveyse, celle de Potlotempko. Il sent son énergie vitale, soit ce cercle imperceptible relancé les créatures poilues au loin des bois et les sais perdre que peut de temps, en cette instant de palabre, le Worisjule premier avais accordé au homme singe de par ça grâce seigneuriale le pouvoir de perception, maintenant leurs cerveaux est à nouveau retourné à l’état de simple singe, sur le chemin de l’homme.
Le Worisjule premier, en un regain d’empathie, afin de garder un bon souvenir de son spectacle, celui de cette princesse de dos, jouant aux grés des flots de la rivière, se lève, prends de la paille et prends un bon morceau de ficelle qui pour toujours seras là, au lieu mystique de Potlotempko, l’ayant suivis aux grés des âges, assis sur un rocher fabrique une étrange poupée de paille, celle-ci en forme de bonhomme. Il regarde à ça droite et vois les créatures homme préhistorique jouer dans l’eau, d’un geste, il jette en leurs directions ça création. L’objet étant entre lui et les créatures, celle-ci attirée par cette gestuelle, notamment la femelle, qui se lève et vient en la direction afin de se l’approprier. Elle retourne un peut craintive, vers son petit groupe et leurs montres l’objet en criant de nombreux cris de singe. Les autres membres du groupe, viennent tous vers elle et cherche à lui prendre l’objet en question. La femelle alors les repousses de tous son fort afin de garder l’objet en ça possession. Les autres après de mainte tentative de l’acquérir, abandonne chacun leurs tours, mais le Worisjule premier qui regarde le spectacle toute en gardant un œil sur ça femelle, remarque ceux du groupe qu’il avait il y à peut bénis, aller chacun leurs tours sur un petit plan d’herbes en bordure de la rivière, chacun d’eux prends un petit peut de paille. Le premier enlève un bout de ficelle sur l’arme primitive de la femelle, qui elle ne bouge pas, afin de ne pas se faire voler son bonhomme de ficelle, cet objet, ce fétiche, qu’elle tient en ça possession, alors il se fabrique un objet identique, un fétiche de bonhomme de paille identique. Le second qui n’arrive pas à fabriquer l’objet ne comprenant le comment du pouvoir du premier, d’un regard triste, tend la paille au premier, qui alors le regard généreux, lui montre le comment de ça réussite, ainsi le second reprend ça paille, et fabrique un troisième objet similaire, un fétiche de bonhomme de paille. Le troisième élu bénis par le Worisjule premier, suivant la scène, et ayant enregistré le processus de fabrication, se lève à son tour et fabrique par lui-même l’objet laissant l’aire ébahit des deux autres. Au moment où il à finis ça propre création, la femelle qui du haut du rocher guète la scène, ainsi que le Worisjule premier, qui pour peut à peut, se dissipe au loin de l’imagerie fantomatique, transfère alors cette image du centre de l’humanité sur ça poupée, en un sentiment primitif qui se lirais « un jour naitra de ma lignée ». Le Worisjule n’est plus là, au gré des âges, mais les êtres préhistoriques, eux, reste là, continuant leurs vies. Chacun de ceux-ci garde avec eux, cet objet,
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cette poupée de paille, sans pour autant montré aux autres le processus. Dans l’histoire du livre du pâtre des patres, il transmet ce savoir, ainsi que cette poupée jusqu’à ça destruction, leurs descendants, devront la ressusciter, par le secret du procédé de fabrication, chacun allant aux grés de leurs destins, et chacun de ces descendants comprendront comme ces premiers êtres poilus, que en la grâce du Worisjule premier, ils sont en quelques sortes des Eons de la religions originel, ainsi fut en cet instant du livre du pâtre des patres, celui de la première révélation du destin au grés des âges.
CHAPITRE SOISANTE-HUITIEME
LE WORISJULE AU RETOUR DU MAINTENANT
Rien ne laisse présager au Worisjule premier, qu’il est de retour au maintenant, sauf la disparition des hommes préhistorique. Le Worisjule est là, les yeux au haut vers les cieux, les mains levée vers les cieux. Petit à petit, il ressent en lui, que ça vision de lumière, n’est autre que lui-même fixant la lune, la belle est toujours là offrant son anus, prosternée devant le totem Freyien, le Worisjule ayant repris conscience, vas vers la belle, pas à pas, et lui tends ainsi la main, lui demande alors de se lever. Cette belle femme soumise, de ça volonté soumise, lui prends la main sous le claire de lune, et suit le maitre du mot jusque au bord de la rivière, le Worisjule premier lui met la tête dans l’eau en guise de bénédiction, lui dis « femelle, te voici bénie en ma grâce de la bénédiction des ancêtres, Amen, Osana, Ka, Ginesto, Vec Balou Taf Uria W…
Par la main, il tire la belle jusque au foyer ou se trouve encor quelques braises, il prend des buches de bois et les mets sur le feu, afin de le rallumer, fessant signe à la belle de se rhabiller afin de ne pas prendre froid, dés lors la belle s’exécute. Le Worisjule premier lui aussi s’habille et se place en face d’elle de l’autre coté du feu, les fées ne sont plus là et l’image fantomatique de Ixel non plus, ce qui laisse pensé au Worisjule premier, que ce long rêve n’est pour lui qu’une hallucination de plus dans ça collection shamaniquo-ethniquo-religieuse, d’expérience dans l’autre monde, cette chose mystique qui pousse le Worisjule premier à empoisonné son corps, à défié les portes de la perception, à danser avec le diable au claire de lune, avant de tous bêtement le soumettre au bien, par la force du sanctum regum, ces séries incommensurables qui n’est peut-être que cette conscience morbide née en lui au grés de ça haine contre l’humanité, ce Worisjule premier qui n’aime et aimeras probablement jamais rien ni personne, ni même lui-même, n’a jamais su aimer ni son père, ni ces amis, ni ça mère, cette haine qui le ronge dont par ça mission pour le grand « je suis » celle de promulgué le message doctrinal pour le bien de demain, un message d’amour nés de la haine la plus nocive qu’il puisse exister, le paradoxe narcissique du Worisjule premier, l’être suprême se nourrissant que de ça haine pour autrui, passant le message de la paix dans son royaume, le divin univers infinie, le Worisjule s’étant autoproclamé maître unique de l’Univers. Le Worisjule premier, alors assis devant ce feu, regardant cette belle femelle qui lui est vouée et soumise, celui-ci cherchant même pas à savoir si celle-ci à vécu avec lui ce voyage métaphorique dans le passé via le monde des esprits, lui dit alors sur un ton fort et masculiste, « je suis ». Celle-ci ne comprend mot du pourquoi et du comment, mais sait au fond de lui-même qui il est vraiment. Alors le Worisjule premier dit à la belle, la voyant alors comme le fruit du divin, l’âme au cœur, belle, belle femelle tu es maintenant devenus un ange du Worisjule premier, tu es l’âme et le cœur, ta vie m’est maintenant vouée, jouis de la vie, mais ne me trahis donc jamais, car une femelle qui trahis ne mérite que de se faire couper la tête. Je t’accorde le pardon d’être nés femme, tes cheveux ne sont pas blond et tu n’as strictement rien à voir avec le Aryanisme, mais je te pardonne cela également, car tu es la femme de la second moitié de mon sang, je ne t’aime pas et je ne t’aimerais probablement jamais, mais je te supporte de par ta soumission, tu as dés lors gagné le maximum de ce que l’on pourrais nommer amour que je suis capable de donner, dés lors j’userais de toi pour décharger ma haine sexuellement et ainsi transformer celle-ci en mon poison, soit de l’énergie sexuelle, car grâce à toi, je puisse espérer vivre hors de l’un de mes temples, sans pour autant tuer ces êtres ignares et irresponsables qui peuple notre terre, car je suis l’élu, je suis le Worisjule premier, le Worisjule des
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Worisjules, l’éon suprême du nouveau millénaire, l’image de la sagesse même, le maitre de hier à aujourd’hui, femelle accepte le message du Worisjule premier dans ta vie, non pas de part ta soumission, mais de part ton amour profond, car je te répète femelle, ô oui « je suis ».
CHAPITRE SOISANTE-NEUVIEME
BEITHE
Ecoutes belle femelle, je vais te parler des Ogams celtiques, le bon Ogma grava sept fois Beith sur un bouleau et ainsi est nés l’écriture quelques part dans les montagnes Suisse. les nôtres ne comprenant pas cet effet magique avec lequel le prophète Ogma a pus communiquer avec ces semblables, le prirent et sept d’entre eux l’enchainèrent comme procédé de l’une des premières inquisitions, l’homme face à l’incompréhension, ou le réflexe du mécréant face à la culture qu’il ne comprend pas.
Beith est l’Ogam du commencement, l’Ogam de Brigitte au sens Worisjulien, Ogam maternelle, prénom de la mère du Worisjule premier. Brigitte est une déesse celte renommée et christianisée, son culte est celui de la triple Brigitte. Beith est l’expression de la vision archétypale de l’autre monde, car comme le Bouleau, le blanc traverse le vert, imagerie de cette émotion. La femme de l’autre monde, celle aux vêtements blancs, comme la dame blanche est l’un des signaux distinctif de Beith commencement d’un cycle ogamique. Avant quand j’incantais Odin, et que toi, femelle tu te trouvais à accomplir ton rituel de soumission, je sais bien que tu ne pouvais voir, mais je le sais, tu les as ressenties, tu as ressentis les fées, ressentis Ixchel en image fantomatique, dés lors se chant m’a été répondu par Wodan, comme étant celui cité en le livre du pâtre des patres, au nom de ça doctrine, ce cycle que je t’explique, moi le Worisjule avec toi en l’histoire et dualité avec moi-même, le maitre du mot, dont ainsi nous formons l’unité parfaite. Brigitte, fille de Dagda, apparait sous trois formes, celui de la poétesse, celui de la guerrière et celui de la mère. Brau, peut aussi être une des divinités de l’Ogams de Beith, comme la langue-poison, celle qui sort souvent de la bouche des femelles, langue qui incite à la rivalité et aux conflits. Beith est le nouveau départ, ta soumission, ce rite que tu as subit, t’offre dés lors la bénédiction pour se nouveau départ, nouveau monde sous ma bénédiction, femelle te voilà devenue l’instrument de nos ancêtres, l’instrument du Worisjule premier, un ange Worisjulien, ceci en l’éternité.
Beith à ce nouveau départ, donne à l’être et au tient, l’effet vitalisant et énergisant que je t’ai offert dans l’énergie sexuelle de mon sexe, dés lors que je t’ai pénétré. Tu es l’ange Worisjulien, ta mission pour moi seras de combattre par Beith, le mal et de corrompre les influences à mon profit, un jour lorsque tu seras prêtes, tu recevras de ma part la flagellation au bouleau est seulement commenceras ta véritable soumission à mon saint être. Le bouleau est l’arbre du devin, son bois sert à la fabrication des baguettes ogamiques, l’arbre de l’entre la tête et la queux du serpent Ouroboros, le moment de la grâce Worisjulienne, celui du signe de bonne fortune, celui de la chance du bon moment, dés lors de ta soumission, tu me dois l’entière confiance, afin que, à tous jamais, tu perdes la peur de l’inconnu, le bouleau du devin et le protecteur des Folks, par ce biais de l’éternité du livre du pâtre des patres, les mots de ce dons Worisjulien, ce don des Ogams et celui du tous jamais des Ogams à la grâce Worisjulienne, le hier est fait du demain, maintenant le livre du pâtre des patres donneras le demain aux Ogams, car les disciples du livre du pâtre des patres seront en perpétuer les mots en ma grâce. Toi femelle, tu te dois dés lors de perpétuer mon cycle comme les femelles ou la femelle des disciples devront le faire pour elle est leurs hommes, ainsi que le mien, moi le Worisjule premier, et la doctrine des Worisjules prochain. Femelle, je te dicte la flagellation en ton chemin, comme je te dicterais ton chemin de demain, femelle, corps et âme tu m’appartient, Ixchel est venue à moi, entourée de milles fées, ce signe est celui que tu es gardienne des Ogams, femelle tu es l’élue du Worisjule premier, accepte ton destin aujourd’hui, le maintenant t’es venus, la grâce de Beith t’es accordée, car comprend que tu es comme moi face aux ancêtres, tu ne peux échapper au profond de ton destin, moi j’ai essayé d’y échapper, de le faire face à son poids, et toi faible femelle, même si tu l’aurais voulus tu n’aurais
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même pas pus essayer ce geste, cette pensée, je suis là pour t’aider à l’accepter, pour t’aider à garder le bon chemin, je suis le Worisjule premier.