Entreprise le pâtre le Worisjule 1

chapitre 65-66-67-68

 

 

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CHAPITRE SOISANTIEME

 

Comme une phase métaphysique, dans ce monde de l’au-delà, entre les lignes du maitre du mot, le pâtre des patres, le Worisjule premier, le nain rouge s’arrête sur le sentier lumineux. il prends les ces deux compères prêt de lui, l’un à ça gauche, l’autre à ça droite, il trace un cercle, et dit alors aux deux autres ; regarder là, le Worisjule premier qui pioche au milieux des vignes de cette homme, au loin dans ce cercle, les trois nains remarque Rabhachien, Mescalito, l’homme à tête de chien, qui vole comme un nuage, au dessus du vignoble. Il accompagne le père d’Olga, le propriétaire du vignoble.

Le Worisjule premier est dans les vignes, il pioche des terrasses, au fond Olga taille les sarments que

le Worisjule premier a enlevé les attaches aux souches dont les sarments ont été séché par l’hivers.

Alors que le Worisjule premier pioche, au loin Olga, au fond crie de ces parjures, regardes dit il, regarde, là haut c’est Rabhachien. Le Worisjule premier lui réponds, oui, c’est lui, c’est Rabhachien,

c’est lui il est le guide de jean louis au pays des cieux, c’est lui qui m’a parler de toi, de moi à toi, c’est lui qui nous a amené à nous rencontrer. Les trois nains, eux sont là, assis autours du cercle, il regarde ensemble dans ce cercle, toutes l’affaire qui se passe. Le nain rouge, dit alors a ces deux amis ; -« vous allez chanter ce chant que je vais vous chantez, ensuite, vous le réciterez ensembles, moi je plongerais dans le cercle afin d’aller trouver le Worisjule premier là au bas ; je vous le récite ; Ogma ya, ya, yaaaaa, ya . Maintenant chantez ! » Les deux nains, s’exécute, alors dans leurs chants, le nain aux habits de couleur rouge saute dans le cercle et s’évapore… Il arrive dans l’espace temps ou pioche le Worisjule premier, il arrive au haut du lopin de vigne qui s’appelle les Pedances, le nain prends un petit sentier raide au travers des vignes et se dirige vers le Worisjule premier, il lui demande « est ce que je peux aller acheter une bouteille de vin un Olga », le Worisjule premier lui réponds –Oui vas y.

Le nain aux habits de couleur rouge, alors se déplace dans les vignes, jusque vers Olga, qui taille les jeunes. Le petit nain crie a Olga, « je veux t’acheter du vin, Olga ne le vois pas de suite, mais il baisse les yeux et vois alors cet être miniature. Olga est surpris de voir ce petit homme haut comme trois pommes, qui lui tends un billet de banque, mais il est heureux de l’intérêt que ce petit homme porte a son vin, Olga répond au nain qu’il est d’accord de faire commerce avec lui, toutefois il lui demande comment il compte porter une quantité de vin, égale à un billet de mille francs, le nain lui répond de ne pas s’inquiéter, que ces secrets sont immense, de juste lui vendre son vin.

Olga- D’accord alors allons ensemble à le Picolette faire notre affaire, ensemble ils descendent vers l’auto de Olga, une grosse voiture tous terrain de couleur noir, le nain aux habits de couleurs rouges, prends place sur le siège passager et Olga prends le volant et l’amène a travers une petites routes au travers du vignoble, jusqu'à la Picolette. L’auto se parque sur une place de parking, ils descendent de l’auto, descendent le chemin qui les mènent sur une terrasse, ou se trouve la porte du local de la Picolette, Olga ouvre la porte avec ces clefs, fait assoir le nain sur un banc, Olga lui sert un verre de vin, le Worisjule premier, lui est resté pioché dans les vignes.

 

Olga- alors gentille petit nain qui fait la ronde au levé du matin, j’ai du blanc chasselas Chardonne a treize francs la bouteille et du blanc chasselas St-saphorin a treize francs cinquante la bouteille, ainsi que du rouge pinot gamay St-saphorin, a quatorze francs cinquante la bouteille.

 

Le nain aux habits de couleurs rouges- bon ben je prends un tiers de chaque de mon billets de milles francs.

 

Olga- ça fait 30 bouteilles de chaque.

 

Le nain aux habits de couleurs rouges- d’accord ça marche, affaire conclue.

 

Ensemble ils boivent un verre de blancs afin de sellé leur affaire, ensuite Olga se lève, il décent les nonante bouteilles au nains, qui lui remet un billet de milles francs. Le nain alors chante une chanson

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inaudible pour Olga, et disparait avec les bouteilles. Le nain alors arrive sur le nuage dans l’au delà prêt de Rabhachien et de Jean Louis, le père de Olga, il lui tend une bouteille et lui dis, là voilà, c’est une de la grâce de la prière du Worisjule premier, Jean Louis le remercie il l’ouvre et la boit avec Rabhathé, au bas dans les vignes Olga est retourné à ça taille et le Worisjule premier est toujours entrain de piocher, Jean Louis veut tendre un verre au nain aux habits de couleurs rouge, mais il a disparut avec les bouteilles. Il est partis rejoindre ces compères, qui ensemble boivent le vin acheté à Olga.

 

 

 

 

 

CHAPITRE SOISANTE-ET-UNIEME

 

L’HOMME EST PRISONIER

 

Les trois nains sont partis dans une immense bulle lumineuse, sur leur chemin, ils ne voient plus la lumière. Mais revenons à l’homme à tête d’oiseau, celui-ci assis en lévitation, vois une scène, peut-être est il prisonnier de quelques choses, pour rester toujours en méditation ?

La scène ; Quand les nains sont partis sur le sentier lumineux, le lecteur a vus le paysage ce métamorphoser, le paysage devenir lumière, lumière qui a finis par se revenir en une boule de lumière si et posée. Une phrase de Cocteau alors résonne dans les landes « L’homme est prisonnier entre trois murs. Peut être le quatrième est-il comme celui du théâtre, plein de regards qui nous jugent. » Cette phrase alors se répète quelques fois en la tête de l’homme à tête d’oiseau, et celle du savoir du trop de connaissance. Peut être que ça prison à cet homme à tête d’oiseau en un temps intersidérale, dans une métaphysique d’espace-temps, en un temps unique, cet homme à tête d’oiseau, dans ça longue méditation lévitique, à vécu l’heure de la genèse et la fin des temps, connus le big-bang, et toutes les choses explorables ou vivables à vivre tous le concevable, comme tous l’inconcevable, avant de vivre son maintenant en le livre du pâtre des patres, son maintenant poussière de temps en la peut-être prison de son éternité. Peut-être que l’homme est prisonnier en son éternité, me perçois, moi, le Worisjule premier, au moment ou j’écris ces mots ou te perçois à ce moment ou tu lis « je suis ».

Dés lors, peut être qu’il me comprend, moi, le Worisjule premier dans ma prison, vivant un voyage à la Datura, un nouveau voyage qui me berce et me fait du bien. Ce voyage en adéquation avec la philosophie des charmeurs de Selmeks, celle du poison qui guérit les mauvais maux. Peut être que l’homme à tête d’oiseau veille au premier voyage du seigneur de l’humblesse napolitaine, dans son premier voyage à la Datura. Lui qui a mangé le fruit défendu des mains du Worisjule premier, le suivant en ce voyage, du centre de cette prison. A-t-il compris le Worisjule premier, la Datura l’a-t-il fait valser dans un psychisme nouveau qu’il ne peut comprendre, c’est il suicidé, à t’il perçu le Divin, l’a-t-il emmené aux portes de Hel, les portes de la morts. Peut importe, je sais que l’homme à tête d’oiseau veille sur lui, car il a compris que ce seigneur est prisonnier et elle le comprend dans son emprisonnement, car l’homme à tête d’oiseau est prisonnier en l’éternité, comme le Napolitain, lui est

prisonnier durant ces prochaines années qui lui paraisse longue, mais qui pour l’homme à tête d’oiseau est un instant court dans son éternité. Je ne sais pas si l’homme à tête d’oiseau existe bien, ou si il traverse bien les temps, les âges et les dimensions afin de venir vers moi son actuel créateur, car peut être est il né au maintenant de l’écris de ce mot ou alors lorsque tu lis maintenant. Cet alors que moi qui l’emprisonne en l’éternité, je lui demande sans en attendre la réponse-« sommes nous nés du mal fruit de Eve et d’Adam »-Charon est il un bon vivant ». Bien qu’entre prisonnier il faut s’aider, je me fous pas mal de telle réponse. J’écris ces mots pour que peut-être, l’homme a la chaise, trouve dans l’un des recoins du monde, se cachant à l’autre face du livre du pâtre des pâtres, dans son long chemin d’homme debout partis sur le sentier lumineux, puisse trouver le livre du pâtre des patres sur une borne de chmillion d’année et lire ce passage. Dés lors par la grâce des milliards de secrets que renferme le

 

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livre du pâtre des patres, livre ésotérique de ce nouveau millénaire, don du Worisjule premier au monde de demain, étude d’une philosophie d’aujourd’hui pour faire naitre les doctrines Worisjulienne de demain, l’enfant des mots est nés, le maitre du mot est celui qui les écris, le lecteur alors lis « je suis ».

 

CHAPITRE SOISANT-DEUXIEME

 

PEUT ETRE

 

Prisonnier, oui, prisonnier, oui, le prisonnier n’est il pas juste pris dans les griffes des sortilèges du saint lascarus ou la prison du sortilège est-elle la prison éternelle de l’homme à tête d’oiseau, celui-ci prisonnier en le sortilège de l’éternité. Peut être, dés lors que la délivrance de l’homme à tête d’oiseau puisse trouver ça délivrance sur le chemin de Hel, peut-être trouveras t’il le bonheur de la délivrance les deux pieds dans l’Hadès, ou peut être à t’il été sur la barque du passeur Charron qui le frappant sur la tête de ça rame, lui a dit ; je ne peux rien faire pour toi, homme à tête d’oiseau. Peut être que en son espace cérébral méditatif, garde t’il le monde de la fée Marie-Jeanne, peut-être est il le gardien du royaume de Radneil, peut être a-t-il vécu le jour où le saint lascarus a dit ce jour de beau temps ;-Il est peut-être que ce prisonnier de l’éternité, est tous bêtement par la force de la recherche d’occupation tous comme l’homme assis qui se leva et devint l’homme qui marche sur le sentier lumineux, l’homme à tête d’oiseau devient un ange Worisjulien gardant au profond de ça méditation les portes et les clefs des profondeurs et espaces spirituel infinie du devenir des disciples du livre du pâtre des pâtres, peut être est il l’épis centre des plaines psychiquo-spirituel de l’infinie de la connaissance et de l’imagination créatrice des philosophies Worisjulienne de demain. Peut-être que l’emprisonnement en l’éternité de l’homme à tête d’oiseau est, quand elle se met en la grâce du livre du pâtre des pâtres en symbiose avec la pièce, rends l’espace de la pièce, soit du juste, soit du franc, soit du prisonnier, l’aire de l’espace mystique du devenir, rends la pièce comme celle de l’initiation d’une nouvelle philosophie. Peut-être est peut-être le premier pas du philosophe Worisjulien, comme peut-être n’est pas le mot de la philosophie Worisjulienne de demain, peut être que le demain du Worisjulianisme de demain seras fait de haine, ou peut être seras t’il fait d’amour, ou encor seras t’il emplit de peut-être ? Peut-être que les anges du livre du pâtre des pâtres sont-ils venu à toi à chaque fois que tu as lu « je suis ». Peut être que moi le Worisjule premier ai des questions et des réponses, peut être que au fond de ton être, toi le lecteur, tu as des questions et des réponses, peut êtres que l’homme à tête d’oiseau à t’il de nombreuses questions et de nombreuses réponses. Peut être que un chat ou un chien, ou encor un simple scorpion à t’il des questions et des réponses, peut être que aussi toutes ces questions ou toutes ces réponses, personnes n’en a rien a foutre, ou peut être que moi le Worisjule premier ainsi que le saint lascarus n’ont en rien à faire de toutes ces questions et de ces réponses, peut être que Jilvsngkweg le huit milles trois cents septante quatrième ange de la légion numéro dix milles neuf cent huitante quatre soit la légion angélique Sweglug des anges Worisjulien, à lui aussi dit un jour de soleil « il est ». Peut être que l’ordre de la croix de l’os n’est que le vertueux de mon imagination ou peut-être qu’il existe vraiment, peut être que ces confrères n’ont que pour ambition de couper la tête à chaque lecteurs ayant lu le livre

du pâtre des patres avant de les mangers, ou peut-être sont ils là pour aider le disciple à son accomplissement, Peut-être que eux aussi se disent que peut-être…

Peut-être aussi que Jilvsngkweg n’existe pas, ou peut être qu’il existe, peut être que moi le Worisjule premier me contredis ou peut être pas. Peut-être que j’écris n’importe quoi, ou peut être que tu ne me comprends pas. Peut-être que ce chapitre est là juste pour mettre un nouveau chapitre en le livre du pâtre des patres, peut-être aussi que celui-ci est l’épi centre de la philosophie doctrinale Worisjulienne, née du Worisjule premier. Peut être que la réponse de ces peut être, est elle dans la numérotation de la page de ou tu lis ce « Je suis » ou peut être que « dei servus nullam » ou que « nullum tibi in animan ejus restare imperium ». Peut-être que peut-être puisse être aussi la définition du divin ou peut être que peut être…

 

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CHAPITRE SOISANTANTE-TROISIEME

 

LE COURE DE L’HISTOIRE REPREND

 

Le cour de l’histoire pour le lecteur inexpérimenté peut paraitre à chaque fois interrompus, mais en fait, tout est le contraire, le chapitre précédent cité comme exemple est juste une pause méditative afin de se poser les bonnes questions, qui par ce biais affirme l’émergence de la graine doctrinale Worisjulienne. En chaque disciple, ou plus tôt en chaque lecteur qui lis « je suis ». Je suis devenu grâce aux accents répétitifs du maitre du mot, je dois alors me poser les questions suivantes ;

-Vais-je revenir en l’histoire ?, Ou les nains ont-ils bien pus passé ? , Dans le coure de l’histoire ceux-ci vont-ils revenir ? La légion angélique dix milles neuf cents huitante quatre, est elle constituée d’ange chinois ? Chanter des chansons sur un pied est il possible ? A chacune de ces questions, tu es le seul à pouvoir en trouver les réponses, mais une chose qui puisse être assez sur, c’est que pour ma part à chaque questions, la réponse que je te donnerais, seras peut être. Soudain le lecteur lis « Knelkveg »

C’est alors que reprends le cours de l’histoire du livre du pâtre des pâtres. Une douce odeur encensée, alors encense les mots du livre du pâtre des pâtres, peut à peut dans la fumée dissipée apparait gentiment un paysage, des arbres et une rivière, ä chaque instant le lecteur en perçoit l’imagerie, tu sent alors que l’histoire se trouve au fond d’une gorge, cette rivière qui coule incessamment est celle de la Veveyse, le paysage que tu croyais percevoir est quasi inexistant, bien que dans le fond, en aval de la rivière, derrière les nuages, se trouvent très probablement un horizon sous forme de paysage, sur le flanc droite regardant cet horizon, se trouve une ruine, probablement celle d’une maison forte ancienne, au bas de cette ruine sur une petite terrasse bordant la rivière, se trouve un foyer ou les flammes jaïssent, de ces flammes nait un immense nuage fumeux, dans ce nuage qui peut ä peut prends le dessus sur l’odeur encensé des mots du Worisjule premier, par une forte odeur de feu boisé, dans ce nuage viens gentiment des formes qui apparaissent une à une. Devant ce feu, en position méditative se trouve un homme, celui-ci porte sur la tête un squelette de tête de cerf, celui-ci regarde les formes dans la fumée. Les formes dans la fumée, alors par flashs consécutifs, se forment en images, des images qui petit à petit sont des images de forme que l’ont peut retrouver dans la réalité, soit des faits, des actions du quotidien. Ces formes, alors, deviennent perceptibles, et par flashs consécutifs viens en mémoire un tracé du livre du pâtre des patres, les chants des nouvelles perceptions du Worisjule premier, ceux-ci perçue de son troisième œil, viennent un à un au travers de cette fumée, chaque instant du vécu du huit milles trois cents septante quatrième fils de Yobha, viennent au travers de cette fumée. Ces flashs consécutifs raconte les différents actes du livre du pâtre des patres, ceci jusqu’au moment fatidique ou l’homme à tête d’oiseau finis par se répéter la phrase de Cocteau. Une chose reste incertaine pour le lecteur, qui est maintenant plus qu’un simple regard en l’histoire du livre du pâtre des patres. L’homme à tête de cerf dans cet océan fumeux d’imagerie, perçois t’il la fin du livre du pâtre des patres, de par ces flashs consécutif. La seule réponse est « peut être », car moi le maitre du mot, je préfère laisser le mystère dominé à cette question, mais comme je te l’ai écris auparavant ; les réponses des questions du livre du pâtre des patres, se trouve au fond de toi-même. Au dessus de cette terrasse, se trouve une seconde terrasse, au dessus du muret de la ruine, sur ce second pallier, coter amont de la rivière, se trouve un totem, ce totem, est celui de Frey, un grand homme de bois, avec pour phallus un gros clou rouillé, argumenté de deux pives comme glandes. Devant ce totem, se trouve, fesse à l’aire, une très belle femme, du moins possédant un bien joli trou accueillant en guise d’anus, ainsi que une chatte douce et mignonne, ces cheveux brun, retombe parterre devant le totem. Elle est prosternée devant le totem, laissant ces belles et douces fesses à l’aire, l’anus accueillant ne demandant que à se faire doucement pénétrer, autour d’elle, vis la vie de centaine et de millier d’arbres phallique, en cette humide forêt, cette belle femelle est prosternée devant le totem Freyien, attendant de ce faire percer l’anus avec douceur.

 

 

 



22/07/2010
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