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CHAPITRE SOISANTE-QUATRIEME
LE WORISJULE REVIENT
La douce fumée de feu enfume gentiment le lieu, en cette fumée git une douce mélodie parlante qui dis ; voici le lieu de Potlotempko, par des répétitions pratiquement imperceptible. Au fond du site, en avale de l’anus accueillant, surgit d’entre les arbres une ombre, cet ombre est celle, d’un homme, habillé de pantalon de couleur kaki argumenté de patte d’éléphant, retombant sur ces pieds nus.
L’homme est habillé au haut, d’un gros pull d’origine Norvégienne en grosse laine, il porte autour du cou trois amulettes ornée de rune, sur ça tête, il porte un petit chapeau en laine, portant de magnifique dessin de bœufs, ceux-ci, tricoté dans la parure. Cette magnifique parure, couvre ça chevelure de longs cheveux blonds, c’est le Worisjule premier. La femme en rut, ne peut voir à ce moment, ce qui se passe dans son dos, mais de part ça soumission, elle qui attend de se faire enfiler le cul comme celui d’une vierge, par son maitre, car ça soumission est celle d’une femelle offrant son corps et son âme en l’éternité au Worisjule premier, qui lui n’est plus ombre, mais homme qui marche pas à pas, enfouré son sexe dans ce jolis petit trou du cul accueillant. Pas à pas le Worisjule premier avance et arrive vers le fruit de ça quête, au fond de lui, il se dit ; belle salope que je vais alors enculer. Il ouvre ça braguette, et en sort son pénis tendu, son sexe à la vertu magique, son champignon d’hallucination et de merveille, qui sans se vanter est de bonne taille. Son sexe qui comme celui de beaucoup d’homme travers de longs périples et de longues palabres interne en son être et son membre à part. A genoux, il enfourche lentement le cul de cette femelle qui de ça soumission lui destine le fruit de son plaisir, dans la tête de cette tendre garce, une chose est alors en tête, son vœux de faire jouir son maitre, de lui faire prendre son pied par l’unique faveur des atouts de son corps. Le Worisjule face à cette créature lui appartenant de ce jour, où il l’a transperce de son dard, lui accorde par ce geste d’accepter le plaisir qu’elle a soif de lui offrir, lui accorde alors la pénitence d’appartenir en l’éternité au Worisjule premier, car l’énergie doctrino-spirituel que dégage le sexe gonflé du Worisjule premier, n’a pas d’égale en honneur à ce jour, à des chmillions d’années lumière en l’éternité. Au fond d’elle, elle sait maintenant que la grâce et l’honneur que lui fait le Worisjule premier, lui offre l’ouverture de la délivrance de chacun de ces maux, de chacune de ces frustrations, la fin de ces problèmes, car le Worisjule premier seras toujours là pour en profiter, son poison de guérison, dont à tous jamais, elle ressentira le besoin de se sentir à proximité.
Ces choses, avant de lui offrir son corps et son âme en l’éternité, sont celle qui lui a fait se sentir bien, l’avant de venir lui offrir du bien, au milieu de cette forêt pour prendre un premier orgasme en guise de récompense, de son acte de bravoure, vis-à-vis du Worisjule premier. Le Worisjule premier, la sodomise longuement, appréciant fortement les femelles de son acabit, lui montrant alors ces remerciements, en lui prenant fortement ça tignasse velue entre ces mains, qui lui augmente par une douce douleur, le bruit de son premier orgasme, l’orgasme du Worisjule premier, la femelle jouis et jouis encor, mais le Worisjule premier ne cesse de l’enfoncer, le site est toujours enfumé, au haut des arbres, les oiseaux gazouillent et l’homme à tête de cerf, lui, continue à méditer au bord du feu, une douce danse de vent, se faufile entre les arbres de cette forêt, l’âme de ce lieu renferme alors un nouveau secret, celui d’un orgasme du Worisjule premier, la joie et le bonheur se fait sentir dés lieu à la ronde,
un bonheur si intense se dégage alors dans cette impulsion que même le renard, gardien du lieu « Goupil » et la buse gardienne « Innocent » en ressente les vibrations. L’arme du bonheur, alors vient s’inscrire dans cet Eldorado helvétique, une nouvelle larme de connaissance vient s’inscrire dans la mémoire de Potlotempko, le centre de l’univers trouve un nouveau chemin et l’homme coiffé de la tête de cerf, continue longuement ça méditation, trouvant alors la voie de l’illumination, en cette élan, alors il inscrit cet instant en ça mémoire, que même à ça mort, il perpétuera en son esprit, en l’éternité par la force des choses.
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CHAPITRE SOIXSANT-CINQUIEME
LE CONFIN DE L’INFINIE
Le Worisjule premier, laisse la belle femelle à la merci des bois de la forêt, il lève le bras vers le ciel et d’un coup, entonne les syllabes d’Odin en chant phonétique. Le haut du ciel, alors se met à s’obscurcir,
le ciel tonne, mais la pluie, elle, ne vient pas, l’homme à tête de cerf, épris d’une lumière des cieux, lumière comme celle de l’imagerie de la venue des extra-terrestres, monte aux cieux au travers de cette lumière, comme la montée aux cieux de l’as de la lévitation. Son comportement lors de cette montée aux cieux, se trouve étrange, non pas de par ça gestuelle, mais de par son expression. Le Worisjule premier, lui, ressent au profond de son être, les énergies de la terre lui transmettre les danses shamaniques de la préhistoire à aujourd’hui. Le ciel reste sombre, mais l’homme à tête de cerf, lui traverse le tréfonds de cette obscurité, par un cercle de lumière au milieu de cet obscurcissement.
Pour le Worisjule premier qui gardant les pieds sur terre, assiste à cette scène, la tête à l’aire, tournant le dos à cette princesse soumise au totem de Frey, chantant à tue tête une incantation au père des runes, ne pouvant plus percevoir ce moment, ou le lévite traverse l’obscurité au centre de lumière, l’homme à tête de cerf, étant à cet instant trop haut dans les cieux. Mais le Worisjule premier, l’as des as de la transe shamanique, le fils de l’ésotérisme, le père de la spiritualité Worisjulienne de demain, chantant le nom d’Odin, au loin de la perception visuelle que totalité à bien voulus lui accorder, perçoit par état de connexion métapsychique, chaque onde de l’homme à tête de cerf, il le sait déjà du confiné d’un premier pas vers l’éternité, un grain de poussière face à la cathédrale du Lausanna, face à l’infinie.
Car il présente que l’homme, c’est dématérialisé, que dans ça méditation, il a vaincu la vitesse ou la matière n’est plus que lumière, qu’il a atteint le concevable de la mesure de la vitesse, que ça substance n’est plus concevable, le fait de cette coexistence métaphysique entre le Worisjule premier et l’homme à tête de cerf, ordonne alors par le même procédé logique mais inconcevable au Worisjule premier, une phase lumineuse autours de lui, changeant le point cosmique du lévite au point quelques mètres plus loin en le Worisjule premier comme centre du cercle de ça montée aux cieux.
Le Worisjule premier suit les imageries du lévite comme si il est son suivant, toute en gardant les pieds sur terre, en son être il sent en lui l’humanité par une sensation douce et confiante, mais il ne peut l’exprimer, car en lui, face aux différentes perceptions du réel que son concevable lui permet, en même temps d’apprécier cet instant comme une réalité, en même temps ces connaissances et ça philosophie contredit cet envisageable. Cet instant bouleversé par cette contradiction déconnecte son élan métapsychique avec l’homme à tête de cerf, devant se trouver à quelques Tétra-chmilliard d’année lumière du système solaire. Dans ce bouleversement, en son regard, le temps s’accélère, les nuages se dissipent et le ciel tombe la nuit, les étoiles, elles, illuminent le ciel, et viennent à lui, se transformant en fée, la lune, elle, les suit, se transformant en Ixel, déesse portant un bâton parsemé d’osselet. les fées lui tournent autour, et Ixel, elle apparait par l’image fantomatique à une vitesse ne laissant percevoir que de brève apparition derrière chaque arbres de la forêt, la belle, elle ne bouge toujours pas, bien que le froid fait frémir ces fesses, ça soumission aux désires du Worisjule premier, la fait se tenir à ce qui lui a été ordonné. Toutefois, tête baissée devant le totem, elle ne perçoit rien de cet instant, mais son esprit, lui, se trouve par la magie du lieu et de la puissance du Worisjule premier, être exempté des morsures du froid et des blessures psychiques qu’incombe ce jeux du vaudou de l’imagerie , son esprit chauffe ces sensations dans un état de confiance sans égale comme l’instant venant juste après la relation sexuelle, dans cet instant elle perçois un rêve, celui d’une jeune femme aux cheveux blonds, son instinct féminin, lui présagent alors, que en le ventre rond de cette matrice Padma, naitra le fils du soleil, qui elle, le sait , cet enfant sera aussi un Worisjule de son temps, car se rêve reste celui de la prémonition d’un autre temps.
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CHAPITRE SOISANT-SIXIEME
L’ESPACE TEMPS
Le Worisjule premier ne perçoit plus les fées et Ixchel, un immense big-bang lumineux, l’a mené à arrêter son chant. suite à se big-bang, il se trouve nu sur cette plage feuillue, Potlotempko, est tel que la déesse soumise est toujours là, à lui offrir son petit anus devant le totem de Frey, l’instinct du Worisjule premier, le laisse comprendre, comme la voie du souffle de dieu, qu’il se trouve être à un second niveau de son être détaché de lui-même, qui est à son temps les bras levé au cieux, fixant la lune les yeux grand ouvert, immobile comme endormis. Son corps est fait de chaire, il le sait, il avance vers la femelle soumise et lui tends la main, lui ordonnant de se levé. La belle alors s’exécute, prends ça main, se lève et vient poser tendre baisser sur le contournement de la bouche du Worisjule premier en guise de remerciement. Le Worisjule premier lui fait un geste de bénédiction, façon de lui signifier son contentement , il lui prend la main dans l’autre sens, et l’attire d’un petit pas à le suivre, ce que en un instant de contentement et de bonheur, le jeune et la belle femelle éprise sous le feu de l’annonciation de bon jour pour elle, le suit se laissant guider jusqu’à la rivière, source de la branche de Potlotempko de la Veveyse. Le Worisjule premier, alors désignant une baignoire naturel, lui fait signe de si baigner afin de recevoir à tous jamais la purification Worisjulienne. La belle femelle s’exécute et le Worisjule la laissant seul à son instant, monte un peu en amont, prendre le même bain de pureté de Lagu, gardant le bon œil sur le fruit de son désir. Le Worisjule premier, reste de longues minutes ainsi à admirer cette belle conquête, qui restant le dos tourner, laisse percevoir les contournements de ça douce personnalité, ces longues minutes passent, un quart d’heure de satisfaction intense pour le Worisjule premier, il se dit au fond de lui « pourrais-je un jour l’écrire, ce profond mot de mon estime ». Cet instant ne peut s’expliquer, ne peut se conter, par le maître du mot qui écrit le livre du pâtre des patres, né du Worisjule premier, ce quart d’heur reste à l’appréciation du lecteur. Ce quart d’heur continuant, se fait alors interrompre par des bruits au fond des bois. Le Worisjule percevant alors ces bruits, tourne la tête en direction de ces provenances auditives. Il perçoit au fond de l’obscurité des bois, de grandes formes poilues. Il crie en leurs directions, « Huée », les formes l’entende et viennent en la direction du Worisjule premier, probablement attirée par la tonalité accueillante du Worisjule premier. La belle, elle, ressent un instant l’envie de savoir la provenance de ces bruits, ainsi que le pourquoi du cri de son maitre, le Worisjule premier, mais la puissance psychiquo-télépathique qu’elle ressent au fond d’elle, soit l’émanation divine du centre de l’humanité nouvellement née, elle préfère ne rien faire et rester le dos tourné au commandement de son maitre, soumise à l’ordonnance en adéquation avec ça soumission, restant ainsi à son occupation. Les formes poilues maintenant à cinq mètre du Worisjule premier, armé de buches grossièrement taillées, argumentées de silex, aussi grossièrement taillés que les buches. Ces hommes très poilus, au dos recourbé ayant une forme entre le singe et l’homme, se mettent à genoux, un genou à terre, ainsi que une jambe recourbée devant le Worisjule premier, baissant la tête.
L’appréciation du Worisjule premier face à ces êtres, reste celle de « sont-ils des trolles, des yétis helvétiques ou une forme humaine de goret ». Le Worisjule premier, qui n’était pas très convaincus d’avoir traversé les âges de par ça métamorphose shamanique avec le lévite, ceci de par son précédent conflit interne philosophique entre les connaissances de son percevable, doit alors se résoudre à ça réussite, soit le fait de revenir au point de l’originel par un acte de sadomasochie avec ça soumise. se faite, fait de ces bêtes poilues poussant des cris disharmonieux en l’encontre du centre de l’humanité, sont par déduction des hommes préhistoriques, essayant de communiquer avec le Worisjule premier, qui de par ça constitution physique le prennent probablement comme une sorte d’identité surnaturelle, une divinité primitive, au lieu de simplement comprendre que ils sont en face du Worisjule premier, le centre de l’humanité. Le Worisjule premier prends cette controverse avec respect face à l’inculture de ces ancêtres, se lève vers eux, tendant les mains vers les cieux, leurs dits ; « Mes enfants et père à la fois, vous les saints d’esprits, prenez pour argent comptant le fruit de ma bénédiction, il
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pose ça main mouillée sur chacune de leurs têtes poilues et leurs dit ; -soyez bénis, ces créatures alors qui ne communiquais que par simple grognement disent alors ;-merci Vec Balou Taf Uria W.