chapitre 64-65-66-67
117
CHAPITRE CINQUANT-SIXIEME
LAGU
Dans le silence les nains forment toujours le cercle, ce long silence ou chacun se retrouve en osmose avec ces deux compères, osmose du temps psalmique, fait apparaitre en le centre de leurs cercles la figure du pentagramme, au dessus de cette figure pantagrammique, vient de nulle part un homme, les genoux croisé sous forme de méditation, cet homme a une tête d’oiseau. Il apparait dans le silence d’Osmose et d’immobilité des trois nains, d’abord sous forme de mirage, qui peut a peut se matérialise, cette fois, paradoxalement avec les précédentes apparitions, ce mirage prends gentiment forme matérielle en adéquation avec le reste de cette autre monde, loin du concevable de ta conception de lecteur qui lis « je suis ». Un temps spécifique de ce différent espace temps du tient, est l’homme en position méditatif, jambes croisée, cet homme à tête d’oiseaux, finis alors par devenir corps et esprit,
du contexte de ce monde doué de l’étendue de champs de haricots, de ce chemin étrange ce perdant
dans l’horizon des champs ou sont précisément assis ces trois nains autours d’un cercle ou de son centre se trouve le pentagramme. Au dessus cet homme à tête d’oiseau, lâche alors de son bec ces mots « relève ma tête », le poing fermé, alors il le tend à ça gauche en direction du champ de haricot
et alors jette une graine en prononçant « Tetragrammaton ». Cet étrange gestuelle alors sort les trois nains de leurs états silencieux. Celui aux habits de couleurs rouge alors dit sur un ton exclamatif laissant transparaitre que les deux autres savent déjà ce qu’il va dire, soit je crois qu’il s’agit d’un grain
de haricot. Celui aux habits de couleur verte alors reprend, de toute manière celle-ci ne pousse pas et
chercher entre chaque feuille ne m’intéresse pas, sur l’instant il est venu à nous le temps de parler de la rune Lagu. Le nain aux habits de couleur noir alors dit ; commentons mes frères.
Nain vert-la mer ou navigue le Drakkar, le Drakkar mystique du prince de hel, réincarnation en l’incarnation du maitre du mot, le Worisjule premier, en chaque vagues de cet océan, l’indomptable, le fluide rebelle à l’homme mais soumis aux forces du cosmos et du soleil des sorcières, ainsi est la rune
Lagu. Lagu, Lagu, Lagu, viens en mon travers le Worisjule premier t’incante et en appel à ta force. Sur le temps de ces mots, en ce monde de haricot et de nain de haricotiez, de longues vagues de pluies alors tombent digne d’une pluie d’orgie sodomique. La pluie ne venant que de commencer de par ça violence, le nain aux habits de couleurs rouges qui reprends le mot, et lui aussi comme les deux compères trempé jusque à l’os mais dit ; comme toutes choses, la pluie peut être vue de trois manières,
soit je peux dire, merde je suis complètement trempé, soit je peux dire juste ; il pleut ou encor je peux dire ; grâce à cette pluie qui dans l’ordre de la continuité, continuera dans le futur à arroser ces champs,
comme elle les arrosent depuis l’éternité, dés lors nous avons pour toujours des haricots à déguster. Cette pluie alors continue et continue, mais n’empêche pas, bien que celui-ci soient trempé. Le nain aux habits de couleurs noir à repris les phrases du nain aux habits de couleur rouge, trempé comme les habits des deux autres. Le nain aux habits de couleur noir dit alors- toutes fluidités ou tout liquide est la symbolique de la rune de Lagu. Bien qu’en temps normal, le nain aux habits aux couleurs noirs porte la poisse, cette fois ci, bizarrement ce fut le contraire, la pluie cesse alors, comme ci ce fut le miracle des paroles du nain qui en est alors la souche. Dés lors le ciel, laisse alors transparaitre la lumière du soleil des sorcières éclairant les champs de haricots de son cycle de pleine lune dénombrée alors au nombre de trois pour chacun des nains. L’homme à tête d’oiseau, lui est toujours là, en méditation, juste au dessus du pentagramme, a ça gauche, sur le sol, pousse gentiment un arbre, qui est poursuivit par les haricots, alors qui gentiment grandissent à vue d’œil.
118
CHAPITRE CINQUANT-SEPTIEME
ING
Le silence alors est revenu, les trois nains toujours assis en tailleur en position de yogis, regardant au haut du pentagramme, l’homme à tête d’oiseau voguant immobile, pile au centre du pentagramme, mais cinq bons mètres au dessus de leurs petites têtes. L’arbre derrière le nain aux habits de couleur noir, qui lui est seul à lui tourner le dos, pousse à vue d’œil, cet arbre qui n’échappe pas à l’attention des deux autres nains, qui maintenant le perçoivent de son bout à la hauteur de l’homme à tête d’oiseau, à première vue le nain aux habits de couleur verte, qui a une connaissance certaine en botanique, constate en son fond, laissant perplexe le subconscient des deux autres, de par leurs osmose télépathique, celui-ci jugeant l’arbre comme étant un if, qui sous la pleine triade lunaire, se présente les éléments d’un grand drame cosmique apocalyptique, comme le moment venus de la fin des temps, le crépuscule des dieux en symphonie ou le destin des puissances, cataclysme de l’ultime
apparition du monstre phallique, sodomiaque gomorus, dans le lac Léman du monde ou se lis ces mots
du lecteur qui lis « je suis » gardant les deux pieds sur terre, sur la terre notre mère, comme la tendance
du meurtre de Baldr. a ce moment, alors le nain aux habits de couleur noir, se lève et fait d’un coup, mine de vouloir tuer ces deux frères, comme épris sur cet instant d’une envie irrésistible de le faire, comme le réveil de son instinct maléfique, le réveil de son anima profond. Mais une profonde transcendance lui vient alors un élan d’énergie de positivisme venu alors, jugeant de son propre pressentiment de la part de l’homme à tête d’oiseau. Une forte puissance d’harmonie cosmique de contemplation et de beauté chassant d’un coup de négativisme, réveillé en l’anima du nain aux habits de couleurs noir, qui d’un coup, réfréna cette pulsion que les deux autres nains n’ont pus remarqué, du fait que cela se passe en le centre émotif du nain aux habits de couleur noir. Celui-ci, dés lors se rassies au bord du cercle pantaclique, sans que aucun des deux n’aie rien remarqué. Maintenant, l’arbre et haut dans le ciel, une branche passe sous l’homme d’appuis, les haricots eux, ont poussé jusque à une hauteur pouvant laisser présager que ceux-ci soie des haricots magiques, bien qu’il n’arrive même pas à la hauteur des premières branches de l’If, qui maintenant fait bien une vingtaine de mètre de hauteur et qui maintenant que les trois lunes se sont couchée et que le premier des trois soleils, montre son nez, au fond de l’horizon, qui maintenant par ce lever de soleil, cesse d’un coup de grandir, tous comme les millions de plantes de haricots de ce grand champ à perte de vue. Les trois nains de nouveau assis autour de ce pentagramme venu de nulle part, qui au dessus de leurs têtes, passe la première branche de l’if, où médite en lévitation l’homme à tête d’oiseau. L’homme à tête d’oiseau alors lève les mains et dit avant de frappé des mains ; -Flambeau de Ing. Cette phrase alors fait jaillir d’une forte lumière puissante un nœud de pendu ayant neufs tours et trois nœuds, attaché à la première branche et pendant juste au dessus du pentagramme, juste au centre. Alors comme une fête d’échange et de liberté donnes alors au nain aux habits de couleur noir, le repentis de l’emprise de ça pulsion, car un peut plus, il allait casser ça solide et forte amitié des seules créatures du contexte Worisjulien , avec lesquels il puisse partager ça conception des choses en étant compris. Peut-être alors dans ce silence, qui l’était déjà, mais qui par métaphysique t’a rendu le contexte de Ing sous forme de mot à toi, lecteur, qui lis « je suis » mais qui reste un moment de silence autour d’une forme d’étoile pantagrammique, avec un homme à tête d’oiseau digne de l’imagerie d’un maitre chanteur à cinq mètre de cette forme, pour les trois nains, voyant dans leurs sillages des haricots poussé à perte de vue, laissant perplexe deux des trois faces à la rapidité de cet arbre qui pousse, ce silence pour eux, coupé d’une interruption vocale de la part du maitre chanteur, qui en mots t’explique la rune de Ing, te laissant dés lors un silence psychique, afin que toi aussi, tu puisses partager ce silence d’osmose et de paix, mettant terme à l’expression Worisjulienne de la rune de Ing.
119
CHAPITRE CINQUANT HUITIEME
ODAL
Dans ce silence continue ou alors l’immobilité règne en maitre, brisée par une douce brise fessant bouger les feuilles des haricotiez, fessant bouger les branches de l’If et son feuillage étrange, perturbant ainsi le règne de l’immobilité. Dans ce silence, se pèse alors une force divine forte influence paternelle, et l’osmose des trois nains assis en tailleur, en cercle autour du cercle pantagrammique vive de par cette influence paternelle, une transe shamanique leurs donnant les émotions du lecteur dans le parcours de ce sentier initiatique runique, caché en le livre du pâtre des pâtres, en l’histoire dont même toi, lecteur qui lis « je suis », par biais interactif, tu as alors eu l’honneur de participer en lisant comme tu lis à ce moment ce simple « je suis ». Cette transe d’émotion alors révèle à la trinité nanique, le courant patrimonial, le hier des runes en adéquation avec le aujourd’hui runique écrit en le livre du pâtre des pâtres, clef élémentaire de la doctrine de la science runique de demain. Le nain aux habits de couleurs rouge, prends à nouveau le mot et dis ;-bientôt je posséderais le patrimoine, je le sais », le nain aux habits de couleur vert, toujours en osmose shamaniquo-transcendantale suit ces mots par la même phrase entonnée de ça voix un peut plus claire, suivie à son tour du nain noir, lui aussi par la même phrase, mais entonnée par une voix un peu plus grave que celle du nain aux habits de couleur rouge.
maintenant que les trois soleils sont au haut dans le ciel, chacun des habits des nains, se trouvent alors séché par la chaleur. L’homme oiseau, le maitre chanteur, lui n’a pas bougé, tous comme l’If et les plants de haricots, qui se trouvent argumenté de deux mouvements venus de cette douces brise.
Le nain aux habits de couleur noirs, alors reprends la parole en le cercle pantaclique de la trinité nanique, trinitus, trinitus, trinitus, par la force des runes, le Worisjule premier les as tous maudits, pour et par l’éternité. Le nain aux habits de couleur rouge, alors reprends ;-Je ne sais si ce qu’a fait le Worisjule premier est bien, mais cet acte réfléchis et un acte guerrier, celui-ci dois avant tous penser à perpétuer ça race, plus tôt que de penser aux sentiments d’amitié, cette décision qu’il a pris, a dus être difficile pour lui. Le nain aux habits de couleur vert, alors reprends les mots comme à leurs habitudes et dit ;-Odal d’Edil d’Ethel, le Worisjule premier avant d’être un Worisjule est un homme lui aussi a dus mourir de son enfance pour devenir un homme, une influence paternel qui de par son catévarisme, c’est développé jusque au stade Worisjulien, cet éonisme suprême, n’est pas plus haut que celui du prophète, n’est pas plus haut que celui du messie, n’est pas plus haut que celui du simple prisonnier, car l’état même du Worisjulianisme, l’état même de la conscience Worisjulienne, c’est tous d’abord de reconnaitre ça petitesse, même quand on est le maitre incontesté de l’univers tous entier, Odin moderne de l’espace infinie, le fils de l’ésotérisme, le nouveau père du sacré, le résurécté en Worisjule premier, le grain de poussière face au néant, l’expression divine de ce néant infinie et Worisjule de cette espace, d’être l’Odal de l’infinie en étant que poussière et moins encor, face à l’infinie à son infinie superficie, reconnaissez cher frère de la trinité nanique que la chose doit être difficile pour lui, d’être en soit le bien et le mal de par ça maitrise, le petit et le grand, le tous et le rien, le Worisjule premier.
Le nain noir alors dit prenant son tour ; -Maudire les siens n’est pas choses facile, surtout si le bute de l’opération et de se préserver soit même, mais est-ce blâmable, si « les siens » sont négative à la survie de l’espèce du maudisseur en question.
Nain rouge ;- seul la justice divine, peut juger les termes du Worisjule premier, et seul le temps et l’acre de la majorité peut dans la longues année, dire si le Worisjule premier, aurais été un bon Worisjule ou un mauvais Worisjule.
Nain vert ;- Peut être que le 8374, le saint chiffre du Yodenpotisme, signifie que la véritable réponse se trouve la 8374 éme année après Jésus Christum, car le Worisjule premier, vis à ce jour, sous l’égide de ce calendrier, ensemble alors, ils disent ;-gloire au Worisjule premier, gloria Worisjule premier…
120
CHAPITRE CINQUANTE-NEUVIEME
DAEG
Un long temps placide de silence est alors revenu autour du cercle pantaclique de la trinité nanique, chacun après avoir vécu la transe runique, ont été ensemencé par les vertus incantatoires universelle des shamans, des prêtres, des hommes du mondes, des créatures de l’univers, du Worisjule premier et des Worisjules prochains des humbles, des sages et des philosophes, cette semence spirituelle, ou se trouve les clefs de chaque points philosophiques ne trouvant fin dans l’infinie. Dés lors, ils savent que ce placide silence et celui de la venue de Daeg, la venue de l’expression de son influence, qui eux sous l’arbre qui sur la première branche lévite cet homme à tête d’oiseau, le nom de Hel, Baldr et Hodr, sans raison apparente viennent à l’esprit de chacun des nains. Le chant des milles muses aux chants lyriques du haricotiez qui longtemps en arrière dans le texte que tu lis au lecteur qui lis « je suis », au moment ou en ma grâce de Worisjule premier, je t’ai plongé en l’histoire du livre du pâtre des pâtres, recommence en la continuité textuelle du livre du pâtre des pâtres. Le chant alors reprends ; Daeg, Daeg, Daeg, le fils du soleil est né, le son de Daeg résonne vie et vivace, l’harmonie de la fin du sentier du Futhark, épopée du sentier lumineux. la fin de ce bout de chemin est arrivé, l’homme nouveau peut enfin lire « je suis », le lecteur qui lis « je suis » est alors l’homme nouveau sur le nouveau chemin, l’instincts perpétuel de l’Ouroboros, donne alors vie au nouvel homme.
L’union des contraires est née, matérialisée en le Worisjule prochain, les bénis du Worisjule premier et des Worisjules prochains peut dés lors vivre en accord et en harmonie avec le sacré. Le foyer de lumière de l’éternelle fin et de l’éternel recommencement est né en la semence spirituelle du lecteur.
O bon nain en trinité, o homme Lévitan à tête d’oiseau, entendez que vous, en le livre du pâtre des patres, êtes bénis par le livre du pâtre des pâtres et par les mots du Worisjule premier.
L’équilibre psychique viendra alors à ceux qui liront ces mots, car par la force du livre du pâtre des pâtres, j’ai possédé ton esprit, et comme jésus l’a fait en disant, lèves toi et marche à celui qui ne pouvais plus marcher, je te dis à toi, homme, par la force et la puissance supérieur du maitre du mot, par Daeg, aimez vous les un les autres. La dernière rune est là, pour vous, braves nains, de quitter à votre tour ce lieu, de partir sur le chemin qu’a suivis dans l’horizon l’homme à la chaise qui devant l’homme debout, avant de devenir l’homme qui marche. Partez dans l’éternel recommencement et laissez l’homme à tête d’oiseau en lévitation, ainsi que son arbre derrière vous. Les trois nains, alors se lèvent ensembles, quittant le cercle, le sentier de l’initiation runique au sens psychique est alors finie, maintenant, ils marchent ensembles sur ce chemin et ce peut, qu’il leurs restes d’Osmose en commun,
qui s’évapore peu à peu à chaque pas, laissant derrière leurs pas, cet homme à tête d’oiseau. Chaque pas, est celui d’un nouveau sur ce sentier des runes une fois matérialisé en ce chemin, au milieu des champs de haricots. Ils partent gentiment, loin dans l’horizon, mais ils ne savent pas que l’homme à tête d’oiseau, les vois disparaitre petit à petit dans un océan lumineux, tous comme eux avais vus disparaitre l’homme qui marche, et petit à petit dans leurs marches ne reste plus que le sentier lumineux, ce sentier qui pour eux, est celui de l’application au sens perpétuel de cette initiation aux runes, ce sentier entouré alors de cet océan de lumière qui avait entouré l’homme debout, dans le ciel ne se trouvais pourtant pas d’oiseau lumineux, mais leurs marches, la voie lyrique dis alors ; - Ne vous retournez pas humble nains, ne vous retournez pas…