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CHAPITRE CINQUANTE-TROISIEME
BERKANA
Le nain aux habits de couleur verte prend maintenant la parole devant le congrès du cercle du triangle
Nanique mescalien. Commence alors en ce terme, mes frères nain, grâce a Berkana nous voguons en notre méditation sur les seins de la terre notre mère. Celui aux habits de couleur rouge dit a ces deux compères, Beorc est la rune du Bouleau, l’arbre des shamans ou l’un des premiers ancêtres des helvètes, le vénéré Ogma, grava les sept premiers B ogamique, cela étant, fait du bouleau, l’arbre du shaman, sept B ogamique sur les seins de la terre mère de la vision Odiniste.
Le nain aux habits de couleur noir, prends alors son tour de parole et dit ; Loki, Loki, Loki, le gui sur le bouleau, l’être incruste que si on l’arrache de l’arbre puisse le tuer, Loki, Loki, Loki, sens caché de la sentence de Berkana. Alors des cieux, comme d’une voie venue de nulle part, une vision apparait au haut du cheminement, la chance est alors avec les trois nains, car cette vision digne de l’ombre blanche
que promulguerais la dame blanche, une vision de l’apparition du Worisjule premier, les trois nains se dissent alors que le maître du mots a plongé entre les lignes du livre du pâtre des patres afin de venir a eux. Cette apparition au haut du cheminement entouré de champ de haricot, peut être décrite comme cela, un homme grand beau et fort, avec de longs cheveux blond de couleur, derrière lui une immense croix de type celtique, toujours dans le même aire d’imagerie fantasmagorique. a ça gauche un oiseau vole de bas en haut, a ça droite un oiseau vole de haut en bas, cette vision métaphysique laisse les trois nains perplexe et bouche-bé, laisse le nain aux habits de couleur noir encor plus perplexe que les deux autres, de par cette vision détruisant ça thèse sur l’impossibilité de la disparition de l’homme debout en océan de lumière. L’imagerie digne de l’ombre blanche du Worisjule premier, dit alors de par cette voix, qui sur le moment de l’apparition chantais des chants de louange des cieux de la gloire Worisjulienne, l’imagerie fantomatique reprenant le chant de ça louange à son compte, celui-ci dans un état méditatif en position runiquo-yoguiste, parle de par cette voix au trois petits nains, par cette voix, il leurs dit ;- Ô humbles petits nains, vous qui menez a bien la mission que je vous ordonne de ma plume,
vous les créatures nanique que j’ai créé par le même biais, vous les enfants de mes mots, vous qui en ma grâce cherchez la compréhension de la rune Berkana, du haut des cieux en la grâce d’un processus
métapsychique ors de la compréhension de toute à chacun, j’ai traversé les lignes que moi, le maître du mot écris, afin de, par ce processus, vous livré le secret de Berkana, écoutez créatures nées de mes mots ; l’influence des seins de la terre mère sont l’équilibre entre le monde d’où je vous est créé en le livre du pâtre des patres et l’autre monde, un jour, croyez le, un homme viendra à vous, car par Berkana, il auras trouvé la clef afin de rentrer au profond du livre du pâtre des patres, ainsi il deviendra
votre frère nain, celui-ci s’habillera en bleu. Comprenez créature née de mes mots, comprenez l’équilibre, comprenez l’être en demi ton, comprenez la ligne du juste milieu, comprenez la ligne Yodenpotiste du Ich bine. Comme je l’ai fait dire a l’un d’entre vous, il y a peu, la métaphysique de Berkana peut s’exprimer de la façon d’ont Ogma a écris les sept B ogamique sur la vision odinique de la terre notre mère, comprenez que Berkana, comme l’intérêt pour les arts et l’esthétique, l’amour, la grâce et l’intuition. Le danger de Berkana et le manque d’équilibre fessant défis de la sentence, la méditation, sur un équilibre psychique, sur le combat du maintient de cette équilibre, là se trouve la clef du passage du cheminement métaphysique de la rune Berkana, ainsi que pour le shaman dominant, l’aspect conservateur de son milieu aux grés des variations. Les charmes de Berkana, sont à l’aise dans la compagnie de celui qui puisse les pratiquer, de par son positivisme, mon tribut à Berkana, par Ac est le joint de Berchta, que moi, afin de vous exprimer cette dualité, suis venu en imagerie vous l’exprimer –Kroublaserfoul-, ainsi le Worisjule premier, du moins son imagerie disparut au tréfonds d’un nuage, aux senteurs encensées, laissant des plus perplexes les trois nains, ceux-ci chantant alors la gloire aux Worisjules, afin de lui offrir un hommage de l’honneur de ça venue afin de livrer à ces créatures naniques, le don du secret de la rune de Berkana, chacun alors encor chantant en cœur avec les deux compères respectif, o grand merci Worisjule premier…
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CHAPITRE CINQUANTE-QUATRIEME
EWAZ
La perplexité des trois nains alors sur ce moment de silence venu juste après cette glorification de remerciement au Worisjule premier venu à eux afin de leurs livrés les secrets de la rune de Berkana, est alors un temps de ressentiment de paix. Bizarrement cet instant où l’on entend le bizouillement d’une abeille, dérange d’un coup, comme celui d’un vlan, d’une claque de rafale ésotérique, les trois nains en question. Le premier se met à genoux et fait différent geste nés des arts martiaux shamaniques indo-européen. Le vert fait alors de même, mais d’une gestuelle différente, suivi par le noir qui de ça propre gestuel, ferme alors le cercle que ensemble, ceux-ci forme l’un l’autre. Sur et dans ce cercle alors formé des trois nains élitismes du nanisme, ensemble en effet de transe, ils disent en cohésion presque parfaite, « Ensemble chantons la gloire d’Ewaz ». Les cris signifiés comme un chant de guerre, monte en chacun du cercle nanique un effet de transe qui a chacun d’eux leur hôte le contrôle de leurs êtres. Le nain rouge alors poussé par une force irrésistible de type ethniquo-magico-religieuse reprends l’élément de ça gestuel martial, poursuivent celle-ci de nouveau mouvement en adéquation avec ça première prise, s’arrêtant alors nettement sur un ton grave et virile alors il dit au travers du cercle ; Ewaz rune du cheval ouvre ta puissance et accorde là, comme au ton du butin d’Odin, au prince et noble guerriers, car rune du cheval tu es le don de l’influence des rois, des princes et des moines guerriers, ceux que notre hymne à Ewaz, nous le cercle des trois nains nous ne cesserons de réveiller. Le second alors, le nain aux habits vert poursuivant le processus gestuel du premier s’arrêtant net et poursuit l’hymne d’un ton philosophique nés du même élan irrésistible, alors dis, bite de cheval, phallus de Frey, sacrifie aux ancêtres, l’extase, les joies du sexe, Ewaz rune de celui qui toujours chevauche, aide l’humble qui lis les mots du livre du pâtre des pâtres, nés du maitre du mot, le Worisjule premier, a trouver la chevauchée de son temps, par la grâce du Worisjule premier,
car les ancêtres chevauche, comme le disciple du livre du pâtre des pâtres chevauche en la grâce des mots du Worisjule premier, à ces combats, les étoiles sont alors les coursiers des ancêtres divinisé, le drakkar est coursier des mers, et le cheval mène le guerrier au combat, symbole éternels qui a ce jour mène l’homme d’aujourd’hui à ces nouveaux combats, qui sont ceux de ce jour, ceux qui mène à l’avenir de demain, comme cette vague pouvant s’exprimer par les mots de ceux d’un vent d’ésotérisme, que dés lors Ewaz se manifeste en la vie du disciple Worisjulien, ou lecteur qui lis « je suis », par l’expression d’élément du passé influent sur une situation présente, et suivant ce dernier mot, des deux autres le suivent en les mots incantatoires digne d’une triade runique « lâcher prise, ouverture, expression ». Le nain aux habits de couleur noir poursuit la danse shamanique qui dés lors représente l’extrême de ça propre gestuelle et poursuit son tour, son temps de parole, chantant alors ça vision de par cette irrésistible vouloir d’expression, le Worisjule premier connais bien les secrets d’Ewaz
qui de ça grâce, je suis venu naître en l’éternité du livre du pâtre des patres, de son vœux de malédiction, par Ewaz il est descendu aux royaumes des morts en l’ordre d’infra transe, afin de mener le point noir du yin et du yan à son utilité, celle du bon mal préservant le bien, je suis le tiers représentant la damnation Worisjulienne de la trinité nanique, le poison d’Ewaz est des lors nés par crainte et spontanéité, afin de mieux mener le maudit à ça propre fin, la chevauchée pourrie, le poison d’Ewaz, ainsi moi, le nain haineux, je suis le doigt Worisjulien du don Worisjulien à Ewaz et que vierge Modgud puisse être consensuel au bon tri de toute à chacun, le jour de Hel, le jour inévitable du corps physique de l’humanité du monde d’où je suis.
Ce partage initiatique en chacun des trois nains, en dernière position martial de l’expression de la continuité de leurs dus, ce chemin éclairé, ce sentier lumineux, qui en le cœur du lecteur est celui de la continuité des pages de ce saint livre. Le vent transcendantale ne se sent plus en eux, mais le silence continuel reprend de l’avant de la palabre d’Ewaz, chacun de ces trois nains en position martial propre à chacun, chacun le sait que cette palabre ont fait naitre en eux un plus, qui de par ce silence n’est plus perceptible à force d’accoutumance mais reste existentiel en eux probablement en l’éternité.
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CHAPITRE CINQUANT-CINQUIEME
MANNAZ
Comme si les nains c’étaient lors de leurs lectures du psaumes, lors de cette osmose commune dit par voie de l’invisible que à chacune des fins des dernières runes du Futhark sacré, s’était mis d’accord afin de mettre un temps de silence entre chacune des méditations runiques qu’il offrais, offre et offrirais dans le future de cette phrase au lecteur par la grâce du maitre du mot, le Worisjule premier. Ce temps de pose est alors un temps de grâce divin, qui, tous comme celui qu’a vécu l’homme à la chaise avant de se lever, est un espace temps long et insupportable, mais en même temps, emplis d’accoutumance.
Dés lors, les nains resté en position shamaniquo-martial, de par ce fait, tente à rester l’éternité en la même position, mais le destin au moment de ce fait en veux autrement, chacun leurs tours les nains s’assoie en tailleur, gardant le cercle et prenant l’aire de chanter le seigneur, ensemble ils disent par cœur nanique, « commentons la rune Mannaz, car notre destin tient à ce que nous fessons sur le moment et ne rien faire est impossible. Bizarrement, cette foi en chacun poursuit en connivence parfaite avec l’autre, ce qui fait que cette foi, chacune des voies est harmonisée avec l’autre. Le premier nain, laissant pour ma part l’énigme de la couleur de ces habits, dit ; Mannaz est la rune de l’être humain, cette rune englobe ça génétique différente toutes à chacun, tout comme son entité de race humaine, Mani l’homme lune divinisé de quand ou sous quel bénédiction se passe l’art de la procréation, rune du shaman, l’homme est la connexion de par les rites de la sacralité du vif et du mort, la mort de l’homme, son passage dans l’autre monde est l’élément cruciale du pourquoi de la vie, le sentier lumineux continuant en l’autre monde, théorie des premiers pas dans le monde de la vie, pied sur terre notre mère, celle de la poussière que grain que nous sommes nous fume formé. Mannaz rituellement, se trouve le don au prince de la clef des pouvoirs de l’homme, ce qui collabore a son sentiment perpétuel
qui selon la vérité du Worisjule premier est cette clef. La Flyga du vivant est la Gaefa du mort qui alors est, le vivant, celui qui fait vivre la Flyga du mort qui garde celui qui poursuit le sentier lumineux dans l’autre monde, sentiment perpétuel de la vérité du pouvoir du lignage, la gaefa de l’homme en l’autre monde, continue en adéquation avec la gaefa du vivant que la flyga distribue vis-à-vis de ces flygas qui avant étaient des êtres pareil au vivant au même flygas, dés lors la grâce, ça propre mattr ok megin, viens de la puissance des ancêtres flygaien, Mannaz, renferme les secrets des clefs des sciences humanistes. Le second nain, celui que moi, l’unique Worisjule premier laisse le mystère au lecteur qui par pure soucis de courtoisie le laisse lire ce jolis « je suis ». Canaliser son énergie, les sciences vitales
fait également partie de l’être passionné et idéaliste qu’est l’être humain, l’homme de Mannaz, fait face aux expériences fait aussi partie de l’homme comme la joie, le bonheur, la négation au matérialisme, ou son acceptation. Mais comme le saint-lascarus l’a dit, -Jésus (Yessouss) n’est pas uniquement fait de corps et de chaire, mais aussi d’os, il dit ceci le jour ou il donna ça première croix en os à un aumônier,
le vénérable aumônier. Le dernier alors dit prenant la parole de force à celui qu’il seconde ; Mais l’homme est aussi la plus néfaste des créatures de la planète, ce qui fait de Mannaz aussi une rune noir, détruire l’humanité c’est comme détruire ce symbole de force aussi dans l’obscurité, et de l’humanité une force pouvant être toutes aussi négative. Les trois nains toujours assis en tailleurs en cercle concentrique alors se tournent comme par serment d’un silence après chaque commentaire d’une nouvelle rune et comme l’imagerie de la révélation du Worisjule premier, par magie sous forme de mirage, Ogma passe en courant dans le champs de haricot en bordure du sentier ou sont assis les trois nains, ces sept chaines au cous ou son attaché sept hommes le poursuivant dans ça course dans le nulle part de on ne sais jamais.