Entreprise le pâtre le Worisjule 1

Chapitre 55-60

 

CHAPITRE QUARANTE-HUITIEME

 

LA PAROLE DU NAIN VERT

 

Pour l’homme debout, les oiseaux de lumière sont peut-être, l’expression divine du verbe de Yobha, tel est la question que l’on devrait se poser ! Toutefois l’homme debout, lui, ne se la pose pas, car son esprit est maintenant libéré de cette gnose de questionnement. L’homme debout ou plus tôt celui que l’on devrait nommer, « celui qui marche sur le chemin, sentier lumineux », se laisse guider par cette expression divine venue des cieux, dont l’imagerie se révèle en ces oiseaux de substance lumineuses.

 

Peux à peux son chemin de lumière, se trouve border de champ de haricots, en les cieux reste les oiseaux lumineux qui continue à voler autour de lui, le pousse du profond de son âme à continuer sans s’évader dans divers pensées, sur ce chemin, sur ce sentier lumineux. Le chemin est long, et le mène au loin du sentier lumineux, là, lui vient trois nains. L’homme à la chaise étant le tendre lecteur ayant de nombreuses fois lis « je suis », celui-ci n’étant plus l’homme à la chaise, mais l’homme debout devenu l’homme marchant sur le chemin, le sentier lumineux, celui-ci ne peut dés lors connaître ce que toi, o lecteur qui lis « je suis » à vécu, soit cette histoire que je t’ai fait vivre en ma grâce, moi le maître du mot. L’homme qui marche sur le chemin, le sentier lumineux, n’est plus en ce terme, mais il est devenu l’homme qui a marché pour s’arrêter devant les trois nains. L’homme en question ne connaissant point la réalité de l’existence des nains, se trouve face à une exclamation, une interrogation, il se trouve devant une chose qui dés lors, il avait toujours renié, soit l’existence des nains. Le premier nain, d’habits de couleurs verte, lui coupa son fond de pensée, et lui dit alors ; le maître du mot, m’a envoyé, seul lui, qui est le guide des mots qui probablement à cette instant écris en le livre du pâtre des pâtres, dans une logique d’espace temps, ors de notre compréhension.

Le maître du mot, m’a alors envoyé à toi, afin de te guider sur le chemin, le sentier lumineux.

Comment ? s’exclame l’homme ! Comment ? s’exclame une deuxième fois l’homme !

Le joli petit nain aux habits de couleur verte, prenant de ces petites mains frêle son minuscule petit chapeau vert, fait un petit bon de quelques centimètre en l’aire et retombe à terre dans ces minuscules

petits souliers verts, il penche ces bras à gauche et ensuite à droite, les plis de son jolis pardessus vert, alors poursuit les mouvements qui se profilent à ça gestuel, toutefois les oiseaux lumineux étant encor dans le ciel, les étincelles que ceux-ci promulguent alors, font apparaître de jolis reflets vert claire à chacun des plis de celui-ci. Suite à ce bric-broc Abracadabrant, que l’homme qui marche sur le sentier lumineux, n’en comprend guère le sens, le nain vert alors, fronce les sourcilles et prends une voix grave et dit, en un aire des plus poétique ; O homme qui marche sur le sentier lumineux, comme je te l’ai déjà dis, le maître du mot, m’a envoyé vers toi, car fils du père de ces mots tu es l’élu. Oui enfant de l’imagination, du Worisjule premier, chaque pas que tu fais sur le sentier lumineux, engendre par la force des choses, d’autres choses dans l’univers, Pourquoi ? Parce que tu es l’élu, celui que le Worisjule premier à choisis afin d’accomplir un petit pas en nombreux des tiens sur ce sentier lumineux,

qui peut-être n’a de fin que au confins de l’infinie, ce qui dés lors n’a de fin en l’éternité. Le nain alors dans ces jolis habits de couleurs verts claire, est encor éclairé par les jolies étincelles des oiseaux de lumières, alors se mets cette fois à chanter sur la rythmique de la mélodie que l’homme arrêter devant les nains sur le sentiers lumineux, que apparemment le nain vert perçois, cette chanson ;

-Moi le nain vert, je suis tous vert. Ceci en répétition continuelle. Le nain alors, se met à tourner autours de l’homme en question et continue, nain vert, multitude d’habit vert, claire et foncé, je suis le nain vert, tous vert, vert et encor vert. L’homme alors se met à crier « stop », sale petit nain, tu n’as répondu à ma question. Mais le nain alors qui s’est tut, mais continue à lui tourner autour, et finis par quand même lâcher cette phrase a l’homme ;-Alors demande au nain rouge…

 

 

 

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CHAPITRE QUARANT-NEUVIEME

 

ÉCOUTE LE NAIN ROUGE

 

 

J’écoute le nain vert dit l’homme debout sur le sentier lumineux, réponds moi nain rouge, le nain de couleur vert m’a dis de te poser la question, le Worisjule premier qui m’a mis en l’histoire par la grâce  

des oiseaux de lumières, il m’oblige à porter intérêt à la réponse, je dois savoir.

Le nain rouge lève les mains en l’aire, son geste fait vaciller son joli petit chapeau de couleur rouge,

celui-ci et de forme conique, l’homme debout alors remarque toute suite la différence avec le chapeau

du nain vert, chapeau également conique. L’homme debout sur le chemin, sentier lumineux arrive à confronter les deux chapeaux du fait que le nain habillé de vert n’a toujours pas cessé de lui tourner autour. Dans son cercle, qui selon le jugement de l’homme se trouve être un cercle qui englobe le nain rouge, qui lors de ça réflexion sur l’identification des deux chapeaux sait avancer les bras en l’aire dans le cercle concentrique. Dans cette confrontation, il remarque que le chapeau du nain rouge se trouve être lisse, contrairement au chapeau vert du précédent nain, qui celui-ci avais de nombreux plis. Le gentil nain aux habits de couleur rouge, les bras levé d’un seul coup, alors se met à lui faire un joli sourire, lui montant jusqu’aux oreilles, son chapeau légèrement de biais. Suite à cela, il se met à lever le pied gauche, se qui fait des plis sur son petit pantalon rouge, l’homme alors aperçois que la chaussure que le nain a à son pied levé, jambe courbée vers l’arrière, monte jusqu’au haut de ça cheville, ce détail qu’il n’a jusque là pus apercevoir du fait que son pantalon lui tombe sur les chaussures, lorsque il tient ces petites jambes droites. Les étincelles lumineuses reflètent également sur l’habillement complet du nain rouge tous comme sur les habits du nain vert. Toutefois le nain rouge de son sourire et de ça position quelques peut hétéroclite ne donne pas la réponse à l’homme debout sur le chemin, sentier lumineux. L’homme alors réitère son questionnement, pourquoi, pourquoi, pourquoi, le nain alors quitte son sourire et dit ;-pourquoi, pourquoi, pourquoi, quoi ? Le nain alors reprends son sourire, tout en gardant ça position hétéroclite. Bien répond l’homme, guider où, guider pourquoi, ou le pourquoi de la phraséologie du nain vert…

Nain rouge- Bon écoute homme debout sur le chemin, le sentier lumineux ! Il sort de ça poche un grand collier sous forme de chapelet, chacune des perles est argumentée d’une rune. Ce chapelet a comme amulette un gros bonhomme de paille tenant un balai à la main. Le nain rouge reprend ; que le nain vert continue à tourner en son cercle concentrique, bien que l’homme ne comprenne pas le pourquoi et l’utilité de ce cercle concentrique. Le maître du mot, m’a envoyé avec mon frère habillé de vert afin de te donner ou plus tôt de te mener ce collier, car celui-ci est maintenant ton guide. Maintenant toi homme debout sur le chemin, le sentier lumineux, comprend que se n’est pas toi qui a de l’influence sur le chapelet à l’homme de paille au balais, mais lui qui en a sur toi, de par cette influence il te guidera sur le chemin, le sentier lumineux. L’homme debout sur le chemin, le sentier lumineux, prends alors le chapelet de l’homme de paille au balais des petites mains frêle du nain rouge, qui pour cet acte de remise est resté sur un seul pied. Il remet ces mains en l’aire et reprends quelques minutes son sourire, suite a cela, il se met en ronde suivant le nain habillé de vert. Tous deux, sur leurs habits se reflète les étincelles lumineuses que promulguent les oiseaux lumineux. L’homme alors se demande, comme en l’instant d’un retour à cet océan de gnose de pensée philosophique, qui au moment ou il était assis sur ça chaise, cet océan de soma de pensée qui le harcelais à la force du temps. Devant lui reste le nain noir, que peut il bien lui vouloir, lui que les oiseaux lumineux, de leurs étincelles ne reflète pas sur son habillements très rêche. Et ce collier, vas t’il vraiment le guider ou est-ce juste une flatterie du Worisjule premier, ceci afin d’argumenter son livre sacré, le saint livre du pâtre des pâtres. Tant de question lui tourne à nouveau la tête, tant de question sans réponse, ou la réponse qui ordonne une logique sans queue ni tête.

 

 

 

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CHAPITRE CINQUANTIEME

 

LA PAROLE DU NAIN NOIR

 

Les deux nains, celui habillé de rouge et celui habillé de vert, continue à lui tourner autour, un nain habillé de noir se trouve maintenant devant l’homme. Le nain est pour l’homme de bon augure, il se met alors à parler, ce qui coupe alors l’océan philosophique de cette gnose, mettant l’homme en de mauvaises conditions psychiques. Les paroles du nain vêtu de noir apaisent l’homme, mais son langage lui reste incompréhensible. Le fait que celui-ci soie apaisant, laisse songeur l’homme, car ce langage quelques peut étrange, porte un fondement phonétique, quelque peut nauséabond, voir repoussant, mais ce langage étrange apaise quand même l’homme.

Après cette longue palabre du nain de couleur noir, celui dont les habits ne reflètent aucunes étincelles, cette palabre incompréhensible alors prend fin. Le nain habillé de noir, alors prends la parole, cette fois-ci la même langue que celle de l’homme debout.

-O homme debout qui nous a réunis sur les chemins des mots du livre du pâtre des pâtres, tu as une grande chance d’avoir reçu le bonhomme de paille de la part du Nain de couleur rouge, dés lors que tu as reçu le chapelet de la paille, je ne peux te toucher du maudits de mes incantations, il est bon pour toi de continuer ton chemin.

Les deux autres nains continuent toujours a tourner autour de l’homme, l’homme se pose la question du pourquoi, que le nain aux habits de couleur noir, n’a avant ça palabre étrange, suivis de ça palabre compréhensible, fait comme les deux autres, une gestuel étrange. Toutefois cela perd de son sens, car le nain aux habits de couleur noir, fait deux pas de côté, fait alors un geste de ces bras, laissant paraître à l’homme que le nain aux habits de couleur noir, invite l’homme a continuer son chemin. Ca gestuel ayant été argumenté d’un sourire des plus merveilleux, l’homme debout se trouve comblé de ces questionnements sur le pourquoi de la différence du nain aux habits noirs, de par cette merveilleuse gestuel finale, son pourquoi, n’a alors plus de sens. Cette réflexion amène chez l’homme une nouvelle réflexion ; Pourquoi, pourquoi ? Par bonheur, alors qu’il vas se plonger dans un nouveau soma de gnose philosophique, le nain habillé de couleur noir, alors que son chapeau conique sans reflet ni plis, sans raison apparente fait alors deux bons en l’aire, et dit, vas, continue sur le chemin, le sentier lumineux et ne fait pas attention aux deux autres nains qui te tourne autours, ni de moi, met ton chapelet d’homme de paille autours de ton cou et continue sur le chemin, le sentier lumineux, le maître du mot en veut qu’il en soit ainsi. Le nain habillé en rouge au chapeau conique lise, ainsi que le nain habillé de couleur verte au chapeau conique avec de nombreux plis, continue à tourner autour de l’homme. L’homme alors regarde le nain habillé de couleur noir une fois droit dans les yeux, il voit une dernière fois son sourire malicieux et fait un nouveau pas sur le chemin, le sentier lumineux. Quand il arrive au cercle concentrique promulgué par le nain vert et le nain rouge, il ralentit quelques peut son pas afin de laisser passer ceux-ci sur leurs cercles concentriques. L’homme alors les ayant laissés passer, passe d’un petit saut digne d’un saute-mouton, passe le cheminement du cercle concentrique fait par les deux petits nains, afin de ne pas avoir à affronter une confrontation physiques avec ceux-ci. La chose étant faite, l’homme alors reprend ça marche d’un pas tranquille sur le chemin, le sentier lumineux, derrière lui, il laisse ces trois nains, qui du loin, dans son dos, il les entend le saluer chacun de leurs petites voix.

L’homme regarde a gauche et a droite, et perçois dés lors que les champs de haricot ne sont plus, ceux-ci sont remplacé par la lumière blanche, l’homme ne perçois plus que la lumière blanche, toutefois il perçoit tout de même la continuité du chemin, du sentier lumineux. Il marche sur le chemin et se demande alors si les oiseaux de lumière sont toujours à ca suite, maintenant qu’il ne perçoit plus la mélodie, il regarde alors les cieux, les oiseaux ne sont plus, mais le ciel et de lumière.

 

 

 

 

 

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CHAPITRE CINQUANTE-ET-UNIEME

 

L’HOMME PARTIS DANS UNE INFLUENZA LUMINEUSE

 

Le nain aux habits de couleur rouge et celui aux habits de couleur verte ont cessé leurs rondes incessante en ce cercle concentrique. Les deux nains se sont alors tournés et venu vers leur confrère

habillé de noir. Celui aux habits de couleur noir tourne le dos au cheminement qu’il y a peut était de lumière. Celui aux habits de couleur noir, tourne le dos au cheminement qu’il y a peut était de lumière.

Celui aux habits de couleur verte, ainsi que celui aux habits de couleurs rouge, voient au fond de l’horizon cet homme qui, il y a peut, palabrais avec eux, cet homme qui peu à peu disparait dans l’horizon, marchant sur le chemin de lumière, le sentier lumineux, entouré d’une lumière que aucun mot ne peut décrire. Des deux nains qui le perçoive encor, disent a celui aux habits de couleur noir, regardes l’homme disparait dans une influenza lumineuse, dans un océan de lumière. Bien que cette phrase rime en écho plusieurs minutes dans les oreilles du nain habillé de couleurs noir, comme les consones musicales d’un chant lyrique doué du don de dieu, celui-ci rechigne alors d’entendre le moindre mot, et leur répond par une grimace bête et simple. La lumière alors s’évanouis dans le cosmos de l’aire du temps et disparait aux grés des vents, laissant éblouis les deux nains, face a ce spectacle digne d’un mot, qui puisse rimer comme un synonyme d’extraordinaire. Le nain aux habits de couleurs noirs, alors face à ces mines effarouchées, alors tourne le visage, et que la lumière n’est plus, dans ça vision, il voit comme les deux autres qu’un simple chemin, ou s’argumente de nouvelles étendues de champs de haricots a perte de vue au loin de l’horizon, et bien que comme les deux autres au moment ou l’homme était debout sur le chemin fait de lumière, il aye vu tous comme les deux autres le cheminement lumineux, ainsi que les oiseaux de lumière, qui de part la normalité de ce monde aux lignes du maître du mot, ne puisse dés lors pas l’inquiéter d’avantage, il dit alors a ces deux compères, juste par amour du vice ; mais vous halluciné ou vous me faite marcher, c’est pas drôle, c’est pas drôle, c’est pas drôle ! Les deux autres qui ne cherchent pas plus loin avec leurs frères aux habits de couleur noir, font comme si il ne comprenne celui-ci, mine de rien, afin de ne pas l’inquiéter d’avantage. Le nain aux habits de couleur noir, reprends alors d’un ton cette fois académique,-cet homme que nous avons vus, il y a peut passer, était fortement empreint de mestanoïa, du moins je le trouve. Au fond de lui, il dit cette phrase, afin de couper net cette discussion qu’il avait loupé ce spectacle, lui paraissant narquoisement ors de sens. Mais il rajoute alors ; - de toute manière, bien que ces choses extraordinaires puissent naître en le monde qui se cache entre les lignes du livre du pâtre des pâtres, le maître du mot, ne peut échapper aux lois divines de « relève ma tête » (Yobha en douze lettres), Cette expression qu’il utilisent pour définir Adonaï entre eux, met alors à l’expression du visage du nain aux habits de couleur rouge, l’idée de proposer a leur petit congrès, la lecture d’un psaume biblique qu’il tient dans ça poche. En tant que lecteur avertis, l’on peut penser que le nain aux habits de couleur noir aurait alors rechigné une tel lecture biblique, de par son penchant satanique, ainsi que pour son penchant a la magie noir, mais le satanisme étant une doctrine biblique, il se montre plus enthousiaste que son collègue au habits de couleurs vertes. Ce nain aux habits de couleur noir, a un secret que les autres savent sans savoir, celui que chaque texte mystique puisse être doué de nombreux sens, donc preuve être perçu au sens satanique. Bien qu’il comprenne cela en son état de conscience, il ne lui vient pas a l’esprit ou ne lui vient pas l’envie, étant très fidèle a son ordre de nain, dont il fait partie, de traire son ordre, chose qui, probablement ne lui viendra jamais à l’envie, celui-ci étant vicieux, garde au fond de lui un regain pour la fidélité a ça confrérie nanique, celle de ces frères qui en son secret, bien que ceux-ci se méfie de lui, il ne trahira probablement jamais cette fraternité. Alors le nain aux habits de couleur rouge, heureux que son frère aux habits de couleur noir puisse avoir une passion identique à la sienne, fait trois tours de main, incante alors le nom de trois et multiplie le psaume en trois, le donne alors a ces condisciples et frères nains, et leurs dits ; commençons par prier en silence entre nous, afin de nous mettre sous l’empreinte de l’influence du Worisjule premier, celui qui de ces mots, ordonne le verbe au don de « relève ma tète », ce qu’il font alors sur le champ en minutes de silence.

 

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CHAPITRE CINQUANT-DEUSIEME

 

LA LECTURE DU PSAUME BIBLIQUE

 

Cette prière en commun ayant pris fin, celle-ci ayant duré une bonne dizaine de minutes, les trois compères nains maintenant en esprit de communion, chacun a leurs aise des deux autres. Ils sont juste trois nains lié depuis l’enfance, jusqu'à chacun en leurs profonds communs pour l’éternité. Ensemble maintenant, par cet instant solennel les trois êtres font le même geste, celui de prendre en main, d’une duplication magique, le psaume du nain rouge, en vue de lire chacun leur tour. Le nain aux habits de couleur rouge, passe le mot à celui habillé de noir, car ce regain de passion qu’il avait eu il y a peu, avais beaucoup touché le nain aux habits de couleur rouge, pour qu’il lui accorde l’honneur de commencer la lecture. Le nain aux habits de couleur noir, sans aucun balbutiement prends le premier mot du psaume et récite ; - Un chant de David, dans ça fuite devant son fils Absalon. Le nain aux habits de couleur vert reprends alors en second le psaume ;- Seigneur, qu’ils sont nombreux, beaucoup se dressent contre moi. En dernier pour fermer la boucle le nain rouge reprend le psaume ;-Beaucoup disent à mon sujet : « pas de salut pour lui en dieu ».

 

Nain noir ;- Mais toi, seigneur, tu es un bouclier pour moi, tu es ma gloire, celui qui relève ma tête.

 

Nain vert ;- A pleine voix, je crie au seigneur, il m’a répondu de ça montagne sainte.

 

Nain rouge ;- Moi, je me suis couché et j’ai dormi, je me suis réveillé : le seigneur est mon appui.

 

Nain noir ; - Je n’ai pas peur de ces gens si nombreux qui m’entourent de toutes parts.

 

Nain vert ; - lève toi, seigneur ! Sauve-moi, mon dieu! Tu as frappé à la joue tous mes ennemis, tu as cassé les dents des méchants.

 

Nain rouge ; - Auprès du seigneur est le salut, sur ton peuple est ta bénédiction.

 

Ensemble ils ont lu ce psaume, ensemble ils sont entré en osmose avec le divin, ensemble ils forment cette trinité nanique, ce triangle mescalien, dont du maître du mot, ensemble ils applaudissent leur propre grâce de psalmiste, ensemble ils louent le maître du mot afin que dans le verbe de ces prières, il puisse monter leurs vœux et grâce au seigneur. Ils gardent l’espoir que leurs prières puisse venir un jour à « relève ma tête ». Cette belle prière psalmique a une fois de plus soudé la communion des trois nains, qui en le passé de cet espace temps ors de toute conception, est alors un pas de plus en leurs liaisons dont on pourrait dire de familiale. Le nain aux habits de couleur verte, prends la parole, il dit ; au lieu que nous commentions le psaume ensemble, afin de laisser cet instant de prière en quiétude du temps, je vous propose que nous passions plus tôt à commenter les runes. A cet instant ou nous ensemble, nous formions en récitant ce psaume, l’acre d’un triangle mescalien, l’acre d’un triangle rabhatéen, par la force de l’osmose commune que nous formions, je le sais que vous aussi avez ressentis cet osmose. En effet les deux autres nains au moment de cette lecture commune avais aussi ressentis le maitre du mot leurs passer le mot par le biais d’un verbe divin. Les deux autres nains, alors réponde plus au moins habillé de vert ;- oui, gardons cette instant psalmique neutre, et forgeons nous à commenter les runes. Nous le fessons selon le vœu du Worisjule premier, afin que celui-ci en bon maître du mot puisse mettre fin à l’initiation des runes au sentier initiatique des runes, celle même écrite de ces mains en le livre du pâtre des patres. Que les nains puissent connaitre le cheminement du lecteur sur le chemin initiatique des runes peut paraitre étrange, toutefois il en est ainsi, laissant perplexe moi le Worisjule premier, humble berger de la paille oracle et grand roi du soleil. Comment les nains de mes mots, de par leurs magies peuvent ils d’un coup échapper à ma volonté. Avant de

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commencer leurs palabres sur les runes, les trois nains ensembles se mette a rire, car ils ont compris que enfin ceux-ci m’ont bercé, que ces nains ont pris leurs indépendance a la volonté du Worisjule premier, marchant au grés des mots, entre les lignes dans ce monde nés des mots en phrase, en chapitre, du Worisjule premier, ainsi les trois nains cessent de rigoler et ce regardent dans les yeux, avant de s’assoir en cercle afin de palabrer sur la fin du troisième aettri…

 

 

 

 

 



21/07/2010
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