chapitre 55-56-57
CHAPITRE QUARANTE-SIXIEME
L’HOMME A LA CHAISE
L’homme à la chaise est assis, l’homme à la chaise du haut de son siège écris ou lis les vers d’autrui.
Du haut de son siège, il vois le monde des autres et commande le monde, chaque autre lui obéisse du doigt à la baguette, il se fait écouter, respecter et obéir, sans jamais user de violence, il est assis et fait rarement quelque chose, l’homme à la chaise est emplis de pouvoir, il commande le monde, mais pour tant il est juste assis. L’homme à la chaise, assis sur son siège est éperdus de réflexion, notamment sur le pourquoi de tant de pouvoir, lui juste assis sur son siège. Le fait d’être assis sur son siège et d’avoir tant de pouvoir, lui met à l’esprit que au moment ou il se lèvera ou même sur son siège, il puisse accéder au profit que lui offre la vie. Mais qu’est ce le profit, quel utilité au profit. Sur mon siège, se dit il, au fond de lui, je peux profiter de tous, du bénéfique comme du maléfique, du bien et du mal, et de part mon pouvoir, je peux le faire sans que pour autant l’on puisse me soupçonner de quoi que se soit,
si ces plaisirs ou différents profits puisse être interdit, cela de part mon pouvoir. Mais si je profite des choses maléfiques, la cocaïne, l’héroïne, la prostitution, la pédophilie, etc…, du fait que personne ne m’arrête qui deviendrais-je, du moment que je suis au dessus de tous soupçons. Si je vois mon profit dans les choses dites maléfiques, je deviendrais à mon tours maléfique, donc aurait une mauvaise vie,
dés lors, il faut que si je veux avoir une vie positive, digne de profit, profiter des bonnes choses qui ne sont pas interdites, je ne serais alors pas à la même échelle que les autres, apte à faire le bon choix, en bref je ne profite pas plus que ceux qui m’écoute, me respect et m’obéisse, même quand je fait des conneries, bref assis sur ma chaise, ma réflexion n’a ni queue ni tête, mais les gens qui m’entoure font tout de même tous ce que je leurs commande, et je n’ai pas le choix. L’homme assis sur la chaise s’arrête alors de penser, car en ça dernière pensée, celui-ci c’est dit en lui, philosophé ne mène uniquement au même point, ce que je suis déjà, mais rien faire c’est difficile, bref je vais arrêter de penser. L’homme à la chaise c’est arrêté de penser, une heure, un jour, un mois, une année, sur son siège assis à ne rien faire. Après ce laps de temps indéterminé, l’homme à la chaise, vois venir à lui une ombre blanche, l’ombre blanche vient à lui, et lui dit d’une façon digne de tonalité du Verbe de Dieu.
Je te retranscrit cela le plus exactement possible, par symbole interposé en structure de mots et ensuite de phrase, bien entendu, afin de ne pas confondre, toi, o lecteur qui lisais « je suis », je me permet de poser cet avertissement, du fait qu’il est possible, que la retranscription puisse s’avérer inexacte, nous pourrions nommer cela un problème de traduction, bref je te retranscrit quand même. Je suis l’ombre blanche, je suis l’ombre blanche, je suis l’ombre blanche, voilà un long laps de temps que tu as passé sur ce siège assis sans rien faire, comprends que tu es comme un yogi en inde, il est temps pour toi de te lever et d’apporter la bonne parole, celle du fruit de ta compréhension ultime, vas en mon nom, vas en le nom du contexte Worisjulien, vas sagesse d’illumination, vas sur les chemins, que le divin Worisjule premier, lui maître du mot, t’accorde de la grâce de ces mots, la grâce d’apporter le message Worisjulien au monde. L’ombre blanche alors s’efface mais l’homme à la chaise, lui est toujours assis.
Bien que le message divin lui est parvenu, il ne peut s’empêcher une réflexion ultime, ai-je reçu le message de la véritable ombre blanche ou est-ce juste une fabulation de mon esprit ? Suis-je élu par celle-ci ou suis-je juste un fou parmi tant d’autre? Quel est donc la solution, qu’est ce le livre du pâtre des pâtres. Bref l’homme à la chaise c’est alors lever et devant lui est un chemin ou se trouve la lumière, devant lui se trouve l’élément clef de Sowulo, convaincu ou non de ça mission divine maintenant est venu pour lui de se lever, car sur ça chaise il ne trouve d’autre solution que l’inaction…
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CHAPITRE QUARANTE-SEPTIEME
L’HOMME DEBOUT
L’homme à la chaise maintenant est debout, il avance sur le chemin de lumière, probablement que les runes sont avec lui, probablement que c’est elle qui lui met sous les pieds et devant ça route un devenir plus consécutif que celui de rester assis sur une chaise. Bien que sur ça chaise on lui obéissait au doigt et à la lettre, sur son chemin, la vie coule et cool comme depuis toujours il a désiré.
En lui il se dit « le maitre du mot m’a offert le moyen tant désiré, celui de me permettre de quitté cette chaise, afin d’apporter cette doctrine, que moi assis sur ma chaise ne prenais aucun sens utile, ainsi à chaque pas sur le chemin de la lumière, ce laps de temps d’inaction prends enfin un sens, l’illumination m’a été donnée. Bien que je sache au fond ce qu’est le livre du pâtre des pâtres, ou si l’ombre blanche est existentiel, tous cela m’importe plus, maintenant je suis l’homme debout, l’homme qui marche apporte le message du contexte Worisjulien. Au fond de lui maintenant il le sait, sur son chemin il trouvera le livre du pâtre des pâtres, ou si l’ombre blanche est existentiel, tous cela m’importe plus, maintenant je suis l’homme debout, l’homme qui marche apporter le message du contexte Worisjulien.
Au fond de lui, maintenant, il le sais, sur son chemin, il trouvera le livre du pâtre des pâtres, et il comprendra, ce que cela puisse être ce jour là, que se soie un livre ou une table, en chacun de ces pas,
cela ne l’importe guère, maintenant il marche en ce chemin de lumière, voilà la seule chose qui compte pour lui, marcher pour oublier ce somma philosophique qui est nés sur cette chaise, il marche afin que cette gnose philosophique née sur cette chaise, ne lui perturbe plus son esprit, il marche sur ce chemin de lumière afin que son chemin puisse lui rendre la clarté de son esprit. Ce cadeau du Worisjule premier, le maitre du mot, cette chaise, cette clarté de l’esprit est le plus grand don des cieux, du maître du mot, car cette océan de gnose en lequel il a ainsi vécu, était devenu un fardeau sans nom, celui-ci, l’homme debout, sais une seule chose, c’est que le Worisjule premier, ne lui aurais laissé la grâce de pouvoir faire autre chose que de rester assis à méditer sur le tous et le rien, il serais rester probablement assis en l’éternité, en ce laps de temps, il aurais continué en l’éternité qui assis sur le moment ne l’aurais aucunement gêné. L’homme debout, maintenant marche sur ce chemin de lumière,
l’aire pensif qu’il avait acquis quand il était l’homme assis, l’homme à la chaise, le quitte peu à peu, maintenant ce fardeau de gnose de pensée le quitte, il vit une délivrance spirituelle. Cette délivrance est pour lui, la solution à ce problème, qui était le fardeau en question. Soudain, l’homme debout dans le cheminement ou il marche, vois apparaître un ciel étoilé, en le ciel de son cheminement. En ce ciel, apparaît peu à peu à la clarté de son champ de vision une multitude d’oiseaux. Ces oiseaux sont fait de lumière, une lumière blanchâtre, enorgueillis d’étincelle claire mais rougeoyante. Ces milles étincelles rougeoyantes, viennent alors jusqu'à lui. D’une danse métaphorique de sens, virevoltant autour de tous son corps mature, elle le revigore d’une force pure, une force lui rendant la dignité de ça destinée. Cette danse, l’homme debout la vis alors comme la vision éclairée, vision physique de la délivrance de son âme, pris et épris sous l’emprise de cette gnose de pensée, ce rêve éveillé et le point de la quête de cette nouvelle vie, cette nouvelle vie que sur ça chaise il avait tant espéré. Chaque étoile clignotent une tonalité différente dans leurs sillages respectifs, à chaque fois que l’une d’elle lui passe alors vers l’oreille, par la douceur des ces clignements successifs, nés une jolie musique, qui par la force des choses argumente mélodiquement cet instant extraordinaire. Si cette mélodie était faite de mot, elle lui dirais « marche, marche », brave homme, arrête de chercher le bout du chemin, celui-ci serais ta mort.
Ce chemin de lumière est le chemin, oui, mais est juste le chemin de la continuité de la vie. L’homme en lui se dis que cet instant magique ne dois jamais s’arrêter, car la magie de ce moment, lui offre la joie de son âge, déjà marqué par les âges, en lui, il ne voyais plus le profit existentiel d’une vie paisible, il ne voyais plus alors qu’une existence morne, assis sur une chaise, l’aire pensif, l’âme évanouie dans un océan de gnose, qui philosophiquement gardais pour sens, ce que l’on pourrais nommer, « sans queux ni tête ».
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CHAPITRE QUARANTE-HUITIEME
LA PAROLE DU NAIN VERT
Pour l’homme debout, les oiseaux de lumière sont peut-être, l’expression divine du verbe de Yobha, tel est la question que l’on devrait se poser ! Toutefois l’homme debout, lui, ne se la pose pas, car son esprit est maintenant libéré de cette gnose de questionnement. L’homme debout ou plus tôt celui que l’on devrait nommer, « celui qui marche sur le chemin, sentier lumineux », se laisse guider par cette expression divine venue des cieux, dont l’imagerie se révèle en ces oiseaux de substance lumineuses.
Peux à peux son chemin de lumière, se trouve border de champ de haricots, en les cieux reste les oiseaux lumineux qui continue à voler autour de lui, le pousse du profond de son âme à continuer sans s’évader dans divers pensées, sur ce chemin, sur ce sentier lumineux. Le chemin est long, et le mène au loin du sentier lumineux, là, lui vient trois nains. L’homme à la chaise étant le tendre lecteur ayant de nombreuses fois lis « je suis », celui-ci n’étant plus l’homme à la chaise, mais l’homme debout devenu l’homme marchant sur le chemin, le sentier lumineux, celui-ci ne peut dés lors connaître ce que toi, o lecteur qui lis « je suis » à vécu, soit cette histoire que je t’ai fait vivre en ma grâce, moi le maître du mot. L’homme qui marche sur le chemin, le sentier lumineux, n’est plus en ce terme, mais il est devenu l’homme qui a marché pour s’arrêter devant les trois nains. L’homme en question ne connaissant point la réalité de l’existence des nains, se trouve face à une exclamation, une interrogation, il se trouve devant une chose qui dés lors, il avait toujours renié, soit l’existence des nains. Le premier nain, d’habits de couleurs verte, lui coupa son fond de pensée, et lui dit alors ; le maître du mot, m’a envoyé, seul lui, qui est le guide des mots qui probablement à cette instant écris en le livre du pâtre des pâtres, dans une logique d’espace temps, ors de notre compréhension.
Le maître du mot, m’a alors envoyé à toi, afin de te guider sur le chemin, le sentier lumineux.
Comment ? s’exclame l’homme ! Comment ? s’exclame une deuxième fois l’homme !
Le joli petit nain aux habits de couleur verte, prenant de ces petites mains frêle son minuscule petit chapeau vert, fait un petit bon de quelques centimètre en l’aire et retombe à terre dans ces minuscules
petits souliers verts, il penche ces bras à gauche et ensuite à droite, les plis de son jolis pardessus vert, alors poursuit les mouvements qui se profilent à ça gestuel, toutefois les oiseaux lumineux étant encor dans le ciel, les étincelles que ceux-ci promulguent alors, font apparaître de jolis reflets vert claire à chacun des plis de celui-ci. Suite à ce bric-broc Abracadabrant, que l’homme qui marche sur le sentier lumineux, n’en comprend guère le sens, le nain vert alors, fronce les sourcilles et prends une voix grave et dit, en un aire des plus poétique ; O homme qui marche sur le sentier lumineux, comme je te l’ai déjà dis, le maître du mot, m’a envoyé vers toi, car fils du père de ces mots tu es l’élu. Oui enfant de l’imagination, du Worisjule premier, chaque pas que tu fais sur le sentier lumineux, engendre par la force des choses, d’autres choses dans l’univers, Pourquoi ? Parce que tu es l’élu, celui que le Worisjule premier à choisis afin d’accomplir un petit pas en nombreux des tiens sur ce sentier lumineux,
qui peut-être n’a de fin que au confins de l’infinie, ce qui dés lors n’a de fin en l’éternité. Le nain alors dans ces jolis habits de couleurs verts claire, est encor éclairé par les jolies étincelles des oiseaux de lumières, alors se mets cette fois à chanter sur la rythmique de la mélodie que l’homme arrêter devant les nains sur le sentiers lumineux, que apparemment le nain vert perçois, cette chanson ;
-Moi le nain vert, je suis tous vert. Ceci en répétition continuelle. Le nain alors, se met à tourner autours de l’homme en question et continue, nain vert, multitude d’habit vert, claire et foncé, je suis le nain vert, tous vert, vert et encor vert. L’homme alors se met à crier « stop », sale petit nain, tu n’as répondu à ma question. Mais le nain alors qui s’est tut, mais continue à lui tourner autour, et finis par quand même lâcher cette phrase a l’homme ;-Alors demande au nain rouge…