Chapitre 50-51-52-53-54-55
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CHAPITRE QUARANT-TROISIEME
SOWULO
Mais ou me mènera l’ange mescalien, ou Rabhathé, l’un des deux guides du peuple des hommes à tête de chien, si le livre m’a amené l’un ou l’autre, ou les deux si ils sont le même. Dans ce tunnel de lumière ? Peut importe, mais cette lumière serais t’elle le soleil. Les öndes cosmiques sont elle fait de la même matière espace temps que la lumière? Cette sensation que véhicule la lumière à ça vitesse, cette formule du cosmos qui fait que la substance lumineuse puisse se déplacer et illuminer tel espace,
cette sensation est Sowulo.
Sigel touche ce qui vas droit au bute, Sowulo, cette substance de la vitesse de la lumière, de tous ce que l’on veut, vite fait bien fait. Lors de l’Allemagne nazi, il existait un ordre qui probablement existera dés lors pour l’éternité, un peu comme les loges de sorcellerie qui on fondé la civilisation égyptienne, ces loges qui de nos jours existe toujours. Celle si existe par exemple dans les coutumes de la franc-maçonnerie. Cet ordre dont je te parle, de son étendard, est pourvus de deux Sowulo consécutifs en guise d’emblème, ceux-ci se font nommer les SS Vikings qui pourraient se traduire par toute suite, toute suite, la vision Vikings, donc runique, c’est ordre est nés lors de la guerre sainte allemande.
Si on ne prend pas en compte la réprimande de la crualité de leurs actes guerriers, ainsi que toutes les polémiques nauséabondes contre le peuple allemand, les intentions culturels de cette ordre sont très nobles et saint pour l’occident en général. Dés lors ces polémiques créé par les fondateurs de cet ordre, nous font comprendre que celer droit au but, sans réfléchir n’est pas forcément la bonne opportunité, mais aussi faut il le reconnaître que en matière d’efficacité, cela donne bon ménage. Sowulo est une rune d’exorcisme, la substance lumineuse du soleil qui détruit les démons, cette substance qui file autour de vous, vous apportent la spiritualité, la lumière du divin, la lumière prophylactiques. La méditation sur Sowulo, permet de trouver les solutions aux problèmes, avant d’en subir les conséquences, Sowulo offres les moyens de détruire les liens et actes de toute sorcellerie.
Le livre du pâtre des pâtres, ce veux comme être la sensation de Sowulo au sens divin, c’est le vœu de Yobha, le vœu de l’ancêtre, le vœu de totalité, qui de la grâce de l’œil céleste, vient mener la lumière sublimant l’obscurité. Sowulo est la rune de la solution, celle de l’étincelle fécondatrice de la vérité, l’heure de l’illumination est sur le chemin de l’initiation. Le livre du pâtre des pâtres est le foyer, ce centre d’où l’on vient chercher la chaleur, la connaissance et l’illumination. Moi le Worisjule premier, je suis aussi le roi du soleil, le représentant terrien des Solairiens, ou au sens humain, le grand oracle solaire de l’aube de ce nouveau millénaire, Jésus était l’un de ces oracles, Baudelaire, Bouddha et tant d’autre, un oracle solaire vient au monde à part égale à chaque génération. En bref, je suis moi, le Worisjule premier, par aspect de la rune Sowulo, le foyer d’énergie de la connaissance, celui qui comme tant d’autre après avoir connus bon nombre d’illusion, se révèle sur lui et sur le monde. ma mission est bien simple, vivre mieux ma vie, comme tout Eonisme ou Tétane révélé en une personnalité, mon être profond, ou être désillusionné, est celui du centre de l’univers cosmique de ma génération. En bref comme l’on nomme la divinité solaire au sens runique, Sol, femelle de Thor, le livre du pâtre des pâtres, est dés lors le transfère de ce divin centre cosmique solaire, par Sowulo en le livre du pâtre des pâtres. Ce transfert réalisé en l’incantation méditatif de Sowulo, ces mots que tu lis o lecteur qui lis « je suis », deviennent le moment de ton futur, ou tu connaîtras la victoire sur les événements ou tu puisse atteindre le but dirigé, la conscience collective de masse qui t’entoure.
Ce moment qui au sens perpétuel seras celui de la maîtrise et de la réussite du passage.
Pour toi, o lecteur, cette réussite te mène à la fin du deuxième aett, te voilà enfin au deuxième accomplissement, je suis sur que quand tu lis à cet instant mes mots, tu ressens au très profond de ta personnalité, cette lumière, que tu sent les maux ce guérir, que tu sens la maitrise en toi, que ta libido se canalise en toute ton enveloppe charnel, tu sens ton être de souplesse, dont l’énergie Sowulienne pénètre et purifie l’âme et le corps, tu es à nouveau le lecteur qui lis « je suis l’endoctriné » qui subit la purification, je suis le purifié. O oui, la rune Sowulo vas de paire avec le divin, car il n’y a pas de divin sans lumière, comme il n’y a pas de Worisjule sans livre du pâtre des pâtres, ou de Thor et de ces
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descendants sans la déesse Sôl, comme il n’y aurait d’humanité sans soleil, ou alors une toutes autres humanité. Sowulo est la vie ou la substance qui l’enrichis et la nourris, et Mani le lune, veille à cette énergie divine, ne sois pas tuer pendant que le soleil part de l’autre côté.
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CHAPITRE QUARANTE-QUATRIEME
TYR
La rune de l’aconit napel ou le heaume de Tyr, commence le troisième aette, le chemin de l’initiation continue, Tyr celui qui, l’Asse manchot qui menant à manger au loup Fenris que les Asses avaient alors attaché, se fit manger le bras sur le cheminement des runes que moi, le Worisjule premier, est repris en le sens de l’histoire, moi le mort ressuscité, pour écrire ces mots, je comprends la rune de Tyr. Toutes cette haine dont je canalisais les énergies, moi qui par exemple n’a jamais en toute ma vie, pus supporter les mélanges raciales, moi qui de par cette bâtardise, me suis confondus jusqu’à ce jour ou j’ai eu vingt-cinq ans, dans la haine de cette planète et de ces créatures, notamment pour, de cette haine, cause de mon suicide, du quel j’ai ressuscité pour écrire l’histoire. En la mort ou les ancêtres offre à celui qui viens en l’entre deux, chercher l’étincelle de l’initiation, qui en la mort, j’ai cherché et trouvé les causes et solutions à cette haine afin quel puisse cesser de me ronger.
Cette haine qui m’a toujours pousser à vaincre autrui par n’importe quel moyen, cette pulsion qui m’a couté de nombreux procès de l’enfance à maintenant, ces procès qui ont été fait par la justice, cette justice devant laquelle la solution se trouve celle de mettre terme à cette haine, afin que la lutte contre les forces du mal face un pas de plus, réglant un litige de deux forces bénéfiques s’entrechoquant, afin de les dirigés les deux contre un mal commun. Le fait de trouver cette justice divine sur mon chemin, ce chemin qui m’offre le regard du roi des temples du maçon forgeron, cette vision que par Tyr en victoire du procès des causes de ma haine, forge notamment en le livre du pâtre des pâtres, le moyen d’éterniser la lutte des forces du bien, née et préservée dans le livre du pâtre des pâtres, la doctrinus Worisjulianus. Toi lecteur qui suivant le chemin doctrinal qui t’es offert par moi, le Worisjule premier, tu me dois grâce et honneur en perpétuant de ce fait les mots du livre du pâtre des pâtres en l’éternité, tu
devient alors le symbole de liaison forgeant ces forces opposée dans le but d’un aspect continuel du combat contre les causes de ma haine, afin que mes prochains ne soie pas vraiment les miens ou les miens délester de ma souffrance. Cette lutte imposée par le droit ne guériras jamais vraiment la blessure de mon cœur, mais fais à mon être l’effet de la morphine, m’apaisant la douleur, sans pour autant la guérir. Maintenant que l’illumination est atteinte, maintenant que l’étincelle m’a touché, maintenant que j’ai trouvé la voie du sentiment perpétuel, je suis un autre, je suis l’être qui connais la plénitude, je suis la paix de l’esprit, je suis le sage, je suis celui qui lis « je suis », je suis le Worisjule premier, je suis le lecteur qui reprend place en l’histoire. Le Worisjule premier, est toujours en l’histoire, mais j’y suis aussi, mais ou puisse t’il se trouver, car les mots du livre du pâtre des pâtres racontent la pensée de mon esprit. Ces mots qui jusqu'à maintenant m’endoctrine place le Worisjule premier en mon cœur, ou probablement il y fait de la méditation, et les mots que je lis, nourrissant mon esprit, nourrissant mon cœur et ensuite la spiritualité du Worisjule premier qui médite en mon cœur. Tous cela pour comprendre que le chemin des runes sur le don de Tyr, m’offre enfin la clairvoyance d’un vrais Worisjule, cette clairvoyance que selon les règles édictée par le Worisjule, je me dois de transmettre à mes prochains comme le Worisjule premier, là fait en le livre du pâtre des pâtres, par Tyr, la flamme du Worisjule, s’allume en moi, celle du leader, celle du chef d’entreprise, celle du prophète, celle du dominant emplis de sagesse, usant à juste titre de ça supériorité, pour aider plus faible ou plus ignorant, à trouver le bon chemin, ou ça destinée dans la perfection inatteignable des forces du bien. L’indépendance se trouve en ce paroxysme, celle de l’être, celle de mon être misant sur les contactes en champ de relations, laissant les amis comme tel, ors du champ pouvant m’influencer à tort. En ce monde ou le monde est logé à la même enseigne, viens à moi le temps de placer, de trier, ces relations en conséquence de mes ambitions présente et futur, afin de, selon ce vieux précepte, « diviser pour mieux régner », régner en bon maître, et lutter pour l’œuvre du positivisme du livre du pâtre des pâtres, bien entendu cette place que m’offre la vision Worisjulienne de Tyr, m’offre de ces inconvénients, reste la lutte contre l’usure de celle-ci, à ce que l’on peut nommer de la délinquance contre le livre du pâtre des pâtres, car seul elle puisse nous juger, peut-être est-ce là ça vérité.
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CHAPITRE QUARANTE-CINQUIEME
LA PRESCRIPTION DU MAITRE
Je suis le maitre du mot, je te laisse fils du livre du pâtre des pâtres, redevenir l’unique lecteur afin que tu quittes gentiment le chemin initiatique des runes, ton âme est gentiment programmée en la soumission du livre du pâtre des pâtres, ainsi moi, le grand maitre du mot, le Worisjule premier, l’Oracle solaire de ce nouveau millénaire. Je reprends le chemin du verbe neutre, en te laissant cher lecteur la passion du mystère du retour des runes. Ecologie, économie, voilà de bon terme, le monde de aujourd’hui, est un tant soit peu le même que celui de demain, toutefois l’économiste, celui que en l’éonisme ancestrale, se nommerais, l’homme à la chaise qui a pour devoir le maintient des normes, le fait de tenir une place de pouvoir sur un siège, offre le profit ou la possibilité de celui-ci, l’user au profit personnelle et une bonne chose, mais qu’est ce le profit, profiter de la vie, mais à quel prix. Pourquoi le profit de la vie, ne peut-il pas être en un sens de positivisme. Le positivisme engendre le positivisme, le sujet de l’hygiène racial me tenant à cœur, il ne faut pas blâmer le M.P.K. (personne à tendance à la bâtardise), de plus si celui-ci est d’une autre race, fendant la race de l’humanité de par son négativisme, entreprenant des schémas de haine racial, mettant absolument son sperme dans les vagins des autres races. Prenant ma vision des choses de l’homme de race blanche à moitié Aryen, à moitié Thule, plaçant ce point de vue en tant que tel, sans pour autant chercher à laisser quelconques disciples du livre du pâtre des pâtres, ne rentrant pas en ce cadre, je place mon problème comme exemple.
La race blanche est faite de quatre races primaire, les Aryens (poiles blonds), les Neros (poiles noirs),
les Rouquins (poiles roux), les Thules (poiles brun), ceux-ci partagent les même racines en tant que fils de la terre, cela permet l’ouverture d’un débat ou d’une recherche philosophique, étant blanc ou non sur le problème blanc. La souche de la mécréance blanche est résumée en ces quelques lignes, au nom du livre du pâtre des pâtres, il est important de garder à l’esprit ce combat philosophique, au nom du livre du pâtre des pâtres. L’hygiène raciale est une chose importante, bien entendu du moment que le couple M.P.K. ne se trouve pas en mesure de rependre ça mécréance par place de pouvoir ou autre, ceux-ci ne deviennent pas un danger pour l’humanité ou pour qui que se soie d’individuel. Toutefois l’élément essentiel de la Doctrinus Worisjulianus déterminant les actes non réfléchis en connaissance de cause, se trouve en le problème du M.P.K., étant l’Eon suprême, dont les noces ont été célébré envers ces derniers siècles en l’attente de ce nouveau millénaire, je me permets de dédié ce chapitre à cette élément philosophique notamment au Worisjulien de demain. Lorsque dans le monde du passé ou je palabrais au temple Maraboutfacture du saint-lascar, avec monseigneur, le vénérable Marabout, ensemble nous sommes arrivé à quelques conclusions qui toutefois puisse contredire cette influence puritaine. Dés lors la conclusion est devenue la suivante, « le métissage apporte au dialogue interracial et au commerce, mais celui-ci, partant du principe qu’il est inévitable, doit essentiellement se trouver par deux éons spiritueux de chacun des partis, ceci afin de préserver l’intégrité du mélange génético-culturel de l’enfant, ainsi que selon la clause Mois du Worisjule premier, d’entourer le dit couple M.P.K. de sept couple génétiquement pure de chacun des deux partis, ceci lié par contrat ». L’homme à la chaire de son éonisme ancestrale, si celui-ci devenant en plus disciple du livre du pâtre des pâtres, se dois d’user de ce pouvoir afin de faire respecter ces différentes prescriptions, soit le droit à l’intégrité Marabique sur les M.P.K. aux marabouts respectifs. La préservation totale et inconditionnelle de l’écologie, le respect du commandement par l’un des fils de la terre, de la dite terre, soit amérindienne en la colonie Amérique, un aborigène en colonie d’Australie, un africain en Afrique. Mais une chose importante à celui qui lis ces mots, de ne pas renié l’homme à la chaire comme celui-ci ne dois pas exclure autrui. La ce place dés lors, la prescription en le livre du pâtre des pâtres, de ce merveilleux chapitre se trouvant en ces pages, ici sans queue ni tête…
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CHAPITRE QUARANTE-SIXIEME
L’HOMME A LA CHAISE
L’homme à la chaise est assis, l’homme à la chaise du haut de son siège écris ou lis les vers d’autrui.
Du haut de son siège, il vois le monde des autres et commande le monde, chaque autre lui obéisse du doigt à la baguette, il se fait écouter, respecter et obéir, sans jamais user de violence, il est assis et fait rarement quelque chose, l’homme à la chaise est emplis de pouvoir, il commande le monde, mais pour tant il est juste assis. L’homme à la chaise, assis sur son siège est éperdus de réflexion, notamment sur le pourquoi de tant de pouvoir, lui juste assis sur son siège. Le fait d’être assis sur son siège et d’avoir tant de pouvoir, lui met à l’esprit que au moment ou il se lèvera ou même sur son siège, il puisse accéder au profit que lui offre la vie. Mais qu’est ce le profit, quel utilité au profit. Sur mon siège, se dit il, au fond de lui, je peux profiter de tous, du bénéfique comme du maléfique, du bien et du mal, et de part mon pouvoir, je peux le faire sans que pour autant l’on puisse me soupçonner de quoi que se soit,
si ces plaisirs ou différents profits puisse être interdit, cela de part mon pouvoir. Mais si je profite des choses maléfiques, la cocaïne, l’héroïne, la prostitution, la pédophilie, etc…, du fait que personne ne m’arrête qui deviendrais-je, du moment que je suis au dessus de tous soupçons. Si je vois mon profit dans les choses dites maléfiques, je deviendrais à mon tours maléfique, donc aurait une mauvaise vie,
dés lors, il faut que si je veux avoir une vie positive, digne de profit, profiter des bonnes choses qui ne sont pas interdites, je ne serais alors pas à la même échelle que les autres, apte à faire le bon choix, en bref je ne profite pas plus que ceux qui m’écoute, me respect et m’obéisse, même quand je fait des conneries, bref assis sur ma chaise, ma réflexion n’a ni queue ni tête, mais les gens qui m’entoure font tout de même tous ce que je leurs commande, et je n’ai pas le choix. L’homme assis sur la chaise s’arrête alors de penser, car en ça dernière pensée, celui-ci c’est dit en lui, philosophé ne mène uniquement au même point, ce que je suis déjà, mais rien faire c’est difficile, bref je vais arrêter de penser. L’homme à la chaise c’est arrêté de penser, une heure, un jour, un mois, une année, sur son siège assis à ne rien faire. Après ce laps de temps indéterminé, l’homme à la chaise, vois venir à lui une ombre blanche, l’ombre blanche vient à lui, et lui dit d’une façon digne de tonalité du Verbe de Dieu.
Je te retranscrit cela le plus exactement possible, par symbole interposé en structure de mots et ensuite de phrase, bien entendu, afin de ne pas confondre, toi, o lecteur qui lisais « je suis », je me permet de poser cet avertissement, du fait qu’il est possible, que la retranscription puisse s’avérer inexacte, nous pourrions nommer cela un problème de traduction, bref je te retranscrit quand même. Je suis l’ombre blanche, je suis l’ombre blanche, je suis l’ombre blanche, voilà un long laps de temps que tu as passé sur ce siège assis sans rien faire, comprends que tu es comme un yogi en inde, il est temps pour toi de te lever et d’apporter la bonne parole, celle du fruit de ta compréhension ultime, vas en mon nom, vas en le nom du contexte Worisjulien, vas sagesse d’illumination, vas sur les chemins, que le divin Worisjule premier, lui maître du mot, t’accorde de la grâce de ces mots, la grâce d’apporter le message Worisjulien au monde. L’ombre blanche alors s’efface mais l’homme à la chaise, lui est toujours assis.
Bien que le message divin lui est parvenu, il ne peut s’empêcher une réflexion ultime, ai-je reçu le message de la véritable ombre blanche ou est-ce juste une fabulation de mon esprit ? Suis-je élu par celle-ci ou suis-je juste un fou parmi tant d’autre? Quel est donc la solution, qu’est ce le livre du pâtre des pâtres. Bref l’homme à la chaise c’est alors lever et devant lui est un chemin ou se trouve la lumière, devant lui se trouve l’élément clef de Sowulo, convaincu ou non de ça mission divine maintenant est venu pour lui de se lever, car sur ça chaise il ne trouve d’autre solution que l’inaction…
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CHAPITRE QUARANTE-SEPTIEME
L’HOMME DEBOUT
L’homme à la chaise maintenant est debout, il avance sur le chemin de lumière, probablement que les runes sont avec lui, probablement que c’est elle qui lui met sous les pieds et devant ça route un devenir plus consécutif que celui de rester assis sur une chaise. Bien que sur ça chaise on lui obéissait au doigt et à la lettre, sur son chemin, la vie coule et cool comme depuis toujours il a désiré.
En lui il se dit « le maitre du mot m’a offert le moyen tant désiré, celui de me permettre de quitté cette chaise, afin d’apporter cette doctrine, que moi assis sur ma chaise ne prenais aucun sens utile, ainsi à chaque pas sur le chemin de la lumière, ce laps de temps d’inaction prends enfin un sens, l’illumination m’a été donnée. Bien que je sache au fond ce qu’est le livre du pâtre des pâtres, ou si l’ombre blanche est existentiel, tous cela m’importe plus, maintenant je suis l’homme debout, l’homme qui marche apporte le message du contexte Worisjulien. Au fond de lui maintenant il le sait, sur son chemin il trouvera le livre du pâtre des pâtres, ou si l’ombre blanche est existentiel, tous cela m’importe plus, maintenant je suis l’homme debout, l’homme qui marche apporter le message du contexte Worisjulien.
Au fond de lui, maintenant, il le sais, sur son chemin, il trouvera le livre du pâtre des pâtres, et il comprendra, ce que cela puisse être ce jour là, que se soie un livre ou une table, en chacun de ces pas,
cela ne l’importe guère, maintenant il marche en ce chemin de lumière, voilà la seule chose qui compte pour lui, marcher pour oublier ce somma philosophique qui est nés sur cette chaise, il marche afin que cette gnose philosophique née sur cette chaise, ne lui perturbe plus son esprit, il marche sur ce chemin de lumière afin que son chemin puisse lui rendre la clarté de son esprit. Ce cadeau du Worisjule premier, le maitre du mot, cette chaise, cette clarté de l’esprit est le plus grand don des cieux, du maître du mot, car cette océan de gnose en lequel il a ainsi vécu, était devenu un fardeau sans nom, celui-ci, l’homme debout, sais une seule chose, c’est que le Worisjule premier, ne lui aurais laissé la grâce de pouvoir faire autre chose que de rester assis à méditer sur le tous et le rien, il serais rester probablement assis en l’éternité, en ce laps de temps, il aurais continué en l’éternité qui assis sur le moment ne l’aurais aucunement gêné. L’homme debout, maintenant marche sur ce chemin de lumière,
l’aire pensif qu’il avait acquis quand il était l’homme assis, l’homme à la chaise, le quitte peu à peu, maintenant ce fardeau de gnose de pensée le quitte, il vit une délivrance spirituelle. Cette délivrance est pour lui, la solution à ce problème, qui était le fardeau en question. Soudain, l’homme debout dans le cheminement ou il marche, vois apparaître un ciel étoilé, en le ciel de son cheminement. En ce ciel, apparaît peu à peu à la clarté de son champ de vision une multitude d’oiseaux. Ces oiseaux sont fait de lumière, une lumière blanchâtre, enorgueillis d’étincelle claire mais rougeoyante. Ces milles étincelles rougeoyantes, viennent alors jusqu'à lui. D’une danse métaphorique de sens, virevoltant autour de tous son corps mature, elle le revigore d’une force pure, une force lui rendant la dignité de ça destinée. Cette danse, l’homme debout la vis alors comme la vision éclairée, vision physique de la délivrance de son âme, pris et épris sous l’emprise de cette gnose de pensée, ce rêve éveillé et le point de la quête de cette nouvelle vie, cette nouvelle vie que sur ça chaise il avait tant espéré. Chaque étoile clignotent une tonalité différente dans leurs sillages respectifs, à chaque fois que l’une d’elle lui passe alors vers l’oreille, par la douceur des ces clignements successifs, nés une jolie musique, qui par la force des choses argumente mélodiquement cet instant extraordinaire. Si cette mélodie était faite de mot, elle lui dirais « marche, marche », brave homme, arrête de chercher le bout du chemin, celui-ci serais ta mort.
Ce chemin de lumière est le chemin, oui, mais est juste le chemin de la continuité de la vie. L’homme en lui se dis que cet instant magique ne dois jamais s’arrêter, car la magie de ce moment, lui offre la joie de son âge, déjà marqué par les âges, en lui, il ne voyais plus le profit existentiel d’une vie paisible, il ne voyais plus alors qu’une existence morne, assis sur une chaise, l’aire pensif, l’âme évanouie dans un océan de gnose, qui philosophiquement gardais pour sens, ce que l’on pourrais nommer, « sans queux ni tête ».
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