Chapitre 48-49-50
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CHAPITRE TRENT-HUITIEME
IS
Je suis assis encor comme j’étais positionné auparavant, maintenant les runes Naudiz ne sont plus,
les glaces se sont transformée en stalactites et en stalagmites, mon corps est raide comme un glaçon, je fait à présent partie du paysage, moi le corps gelé, âme fait chaire en l’histoire du livre du pâtre des pâtres, moi qui était que lecteur, moi qui ne suis plus que glaçon. L’âme de mon âme fait chaire en ce morceau d’histoire du livre du pâtre des pâtres, ainsi que morceau de chemin sur ce sentier initiatique, vis encor bien que mon corps soie gelé, mon cœur bat-il encor ? Cela je ne le sais pas, car mon âme est envolée dans un idéal de création née de la fantasmagorie de mon moi.
L’âme de mon âme est elle de son idéal, face à l’incapacité de mon corps de subir la détresse et la misère que me mène ce monde de glace, c’est elle libérée du corps pour atteindre un moi cosmique, ou en ce paradis, je puis être la dualité homme-dieu confondu. Ai-je atteint l’aspect tétanique cosmique, l’état de sur moi. Ces questions sont la clef de l’éternité de mon âme, maintenant même si mon corps au jour de dégèle ne seras plus, celui-ci étant mon âme fait chaire, l’âme de cette âme continuera, comme elle le fait à cet instant de ce questionner et de réfléchir l’idéologie, notamment celle que le livre du pâtre des pâtres m’insuffle, dés lors ce sentiment doctrinal de l’âme de mon âme dans son aspect homme-dieu créant l’idéal autour de moi qui ne suis plus que âme fessant de mon idéal le réel, je sais dés lors que la rune de Is me garde et laisse mon idéal bloqué au même titre que mon corps gelé, la clef de l’éternité est celle qui ouvre la réalité de mon idéalisme. Ma vision de l’univers de par cet idéalisme est devenu lucide voir translucide, le réel n’est plus, et l’idéal est devenu par idéalisme le réel.
Mais qu’est ce le réel, le monde ou je ne suis que simple lecteur, ce monde de glace ou le corps de l’âme que « je suis », n’est qu’un vulgaire morceau de viande congelée, ou en chacune de ces réalités, je ne suis que vulgaire morceau de viande congelé, vivant les conditions extrêmement rudes, inspirant que de simple conception dramatique de la vie, dois-je dés lors lutter contre le perçu de mon idéal, ou l’accepter comme réalité en l’éternité. Dois-je me laisser porter par les esprits des morts ou la morte en personne, me battre contre eux pour faire et garder bonne place en l’éternité afin que jamais ne s’effondre mon idéal fantasmagorique, cosmique, ou dois-je me battre contre le réel de cet idéalisme, afin de, au jour du dégèle pouvoir reprendre place en mon corps. Mais non, le monde réel est celui ou je suis lecteur, je ne comprends toutefois le pourquoi du Worisjule premier, de me faire vivre, l’aspect de Is, l’aspect de l’inaction totale, maintenant mon âme connais l’aspect de l’idéal, mais je l’espère retrouvera t’elle mon corps de lecteur, bien que j’aie confiance en le maître du mot, je comprends petit à petit que je suis seul face aux événements que je dois vivre l’existence, capable de ne pas être le jouet de mes passions, capable d’être mon propre Dieu, moi, le disciple du livre du pâtre des pâtres, je dois être d’une manière ou d’une autre en devenir le maître, mais mon âme emprisonnée dans l’idéalisme qu’elle m’offre entre les lignes, me font comprendre, que à ce jour, je ne suis pas encor arrivé. Je me dois de continuer cette quête qui m’est offerte, moi, l’âme du lecteur enfermé dans l’idéalisme d’entre les lignes du livre du pâtre des pâtres, cette quête de trouver au fond de moi-même les solutions à mes problèmes, de casser les obstacles que j’ai créé en cette âme, car je suis le maître de mon idéalisme, comme un bébé couvé par ma maîtresse, l’histoire du livre du pâtre des pâtres, je me dois maintenant de dépasser son influence, ainsi m’encrer dans le réel, ne pas me laisser bercer par cette doctrine, qui je le sais me rendrais dépendant. Il faut alors que je me situe dans mon identité, que je canalise cet idéalisme en mon corps de lecteur, afin de pouvoir me dépasser. « Je suis le lucide », mais je suis le lucide bloqué, je vois les réponses, mais je me trouve incapable de les appliqués, peut-être est-ce le livre du pâtre des pâtres qui m’en oblige, afin que je comprenne que d’agir trop vite, n’est qu’une bêtise.
Toutefois, je ne suis que l’âme de mon âme, fait chaire en un champ de glace, mais âme d’unité, ou stagne le positif et le négatif, ou l’océan de ma personnalité est alors unité. Je suis celui qui est, celui dont l’âme vis entre les lignes, mais ne suis-je pas le maudit. Cette question, je ne préfère pas la révéler à mon corps de lecteur, car de par mon âme que le livre du pâtre des pâtres influence d’entre les lignes, cette âme d’unité, celle-ci dans cette aspect idéaliste de lucidité, faire flanché d’une manière ou d’une autre, le retour de mon âme en mon corps, mais peut-être celui-ci en fait est déjà partis, car je suis
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l’homme-dieu de l’unité, dont le sur-moi, sous moi à mon corps de lecteur, vis entre les lignes du livre du pâtre des pâtres, mon sur-moi, dés lors est peut-être la capacité du Yobha de mon idéalisme, et mon moi, m’est peut être déjà, je dois trouver l’ancrage à la réalité, je dois, je dois, je dois…
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CHAPITRE TRENT-NEUVIEME
JERA
Je suis le lucide dont l’âme vogue et mélange ces influences cosmiques, mélange les ondes du divin, avec celle de mon âme, je suis l’unité. L’âme de mon âme fait chaire et corps gelé dans le monde de glace, reviens en luttant fortement à mon corps de lecteur, mon âme incante mon corps, le soumis de mon être incante l’aspect dominant de mon être, je suis l’unité parfaite, l’aspect de l’union homme-dieu au sens totalitaire du terme, je me souvient au profond de l’âme de mon âme que je devais, mais je le sais, je le dois encor, l’incantation est alors la solution. Mon âme incante le divin, incante les ancêtres, je suis le lucide, celui qui communique avec l’ensemble du cosmos, je suis l’unité des liens spirituel, je communique avec l’univers, avec le divin, avec mes semblables, avec mes amis, avec mes ennemis, avec autrui, l’incantation est alors la source de la communication, la communication alors est la source de la rédemption. Je profite enfin de réparer mon futur, je trouve le moyen d’appliquer les solutions que j’avais trouvé et vus du haut de ma lucidité, en tant que âme bloquée au faveur de Is. La communication qui comme la rune Jera, de haut en bas ou entre moi et mes semblables me permet de retrouver le monde réel, me permet de comprendre le sens donné aux mots réels par mes semblables, l’effet de la conscience de masse de la vision de réalité, je sent que mes semblables ne sont que des moutons exprimant cette conscience de masse, je sais maintenant l’aspect du réel, alors j’incante, j’incante, j’incante, pour que cela ne soie pas un oublis, car je crains la réel mécréance de cette conscience de masse. Petit à petit, je trouve l’unité de mon corps et de mon esprit, l’incantation coule à ça source, je communique avec mon entourage qui donne les solutions, je suis l’homme qui vis la résurrection de mon être. Cette communication holistique avec le cosmos équilibre et harmonise mon être, l’âme destinée chaire au monde de glace, n’était pas source de vie, le reste de cette imagerie, est alors, à mon réel, inconscient, l’expression des mauvais aspect de ma personnalité, je suis la prédominance, je suis l’état de plénitude, je suis le maitre du réel car mon secret m’est resté. Maintenant je sais user de totalité afin de moduler la conscience de masse, je suis celui qui incante. La danse de prière pourrais se nommer Jera, cette danse psychédélique qui chante le cosmos, construit et élabores la conscience de masse de la vision de réalité. Cette danse incantatoire, dés lors nommé Jera, est pour moi, le chant de ma communication avec le divin, cette communication qui change le monde à mon bon gré, cette danse Jera, qui pour le Worisjule premier est le livre du pâtre des pâtres, cette danse Jera du Worisjule premier qui communique à mon unité le comportement doctrinal de ma pensée, alors moi, unité de lecteur « Je suis le lecteur qui lis, je suis l’endoctriné, je suis celui qui est ». Après ce monde mortifère que j’ai connu, je retrouve mon être, la lumière divine reprend l’apparence de mon esprit, je suis l’illuminé éveillé des forces de la vie. Maintenant que je suis forgé, mon auras se trouve respectif au autre, ma force me permet de discriminé le pourquoi du comment des choses, du positif et du négatif.
Mon unité à retrouvé l’unité du monde, mon unité a adhérer à l’unité des disciples du livre du pâtre des pâtres, mon unité existe maintenant sans les mauvais côtés de ma personnalité, que j’ai jeté à la mort, mon moi qui m’a porter préjudice, mon moi de vie est mort, afin que je puisse tenir, face à la glace de la détresse et de la misère, maintenant, mon unité rejoint le troupeau du berger, je présage que de cette communication puisse naître une bonne année de fertilité. Ce message divin que par la bonté des cieux
que le Worisjule premier me fait nommer de par ces mots que moi « o unité de lecteur qui lis je suis », lis simplement ces mots descriptif du message que maintenant je le sais, ce nomme « le devoir Worisjulien de Jera », ce devoir, celui de communiquer le livre du pâtre des pâtres aux êtres de la terre,
en adéquation avec le septième commandement Worisjulien nés du Worisjule premier.
Comme je ne fuirais pas au devoir de Jera, je communiquerais au monde qui m’entoure mon point de vue sur les choses justes et injustes, ainsi j’écouterais autrui dont je pense avoir tort ou raison, afin d’enrichir mon être, ma spiritualité est de pouvoir médire sur mes choix futurs, en bon disciple chevalier du livre du pâtre des pâtres. Maintenant, je ne suis plus mortifère, je ne suis plus le lucide voyant qui ne peut agir, maintenant ce nouvel être en moi est nés, cette lumière qui n’as plus de mauvais côté, en un
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sens métaphorique, ce nouvel être qui dans le cercle perpétuel rejettera le négativisme, dans l’éternité à la conquête de l’impossible perfection.
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CHAPITRE QUARANTIEME
YR
Je suis à nouveau simple lecteur, mais simple lecteur qui maintenant est lucide, entité qui est unité homme-Yobha, je suis l’aspect de l’alliage entre le ciel et la terre, je suis celui qui est sur la ligne du Ich bin, l’axe cosmique, je suis un peu l’imagerie du Frêne Yggdrasil, grâce au livre du pâtre des pâtres, je suis à ce moment un lecteur accomplis qui lis « je suis », qui dés ce jour, de part la logique du sentiment Ouroboros perpétuel, je suis l’éternellement vert, je suis celui qui est sur la ligne de Yr. Tout ce cheminement en les runes que m’offre le livre du pâtre des pâtres, ce don de médire, ce don de maîtriser le devenir de la conscience collective de masse, don le livre du pâtre des pâtres qui façonne les esprits de ces disciples à l’image du Worisjule premier, lui le maître du mot, lui le roi berger.
Alors, oui, je médite, je médite car je lis ces mots forme très helléniste de méditation, mais méditation tous de même, sur la chaise ou le divan de où je lis ces mots, je suis un peu à l’image du trône du prophète Wotan, père de rune, je lis le livre qui me permet de voir le monde, je lis le livre qui me permet d’entrevoir le monde, de hier et de demain, je lis le livre du pâtre des pâtres. Le livre du très haut, peut être étais-ce celui-ci, que le prophète Wotan, de par ça science, la ramène dans son passé lointain, peut-être que le livre, est celui qui au jour ou le Worisjule premier à écris ces mots, que je lis en mon présent, à dés lors fermé l’Ouroboros du saint livre de Wotan, celui d’où il vois les mondes, peut être que le livre du pâtre des pâtres en est que le simple reflet, ou peut être que cette pensée qui me vient de la doctrine du livre du pâtre des pâtres, m’est programmé uniquement afin de me permettre des positions face à l’érudisme. La force de Yr alors s’impose à moi, cette influence qui sous forme humaine serais celle du personnage qui à toujours le même âge, celui qui ne parait jamais vieillir.
Grace à cette influence, petit à petit, je ne suis plus du tout le jouet de mes désirs, je ne suis plus l’esclave dont l’esprit était torturé et manipulable, mon esprit aspire à venir celui d’un sage, à devenir l’équilibre même. Maintenant, je commence à réfléchir et à élaborer les armes dont j’aurais besoin demain, car ce qui fait la force de l’homme face à l’animal, c’est cette faon de préparer l’avenir, de fabriquer les armes de prévision des combats de demain. Toutefois je veille en mon sein à bien prévenir mon unité de ne pas être celle d’un maudit, car ces armes que je fabrique puisse être dans le monde de demain, celle que de part la malédiction du scorpion argumenteront mon suicide rituel qui accompliras le dessein de la vengeance, si ma mission terrestre dois me mener à cette opportunité un massacre auras alors lieu avant celui-ci, j’abandonnerais celui-ci si mon entité terrestre auras plus d’effet dans mes actes de vie, le suicide rituel reste à ce jour envisageable pour défendre la cause.
Je veille alors à la paranoïa, qui du fait de trop m’armer, me pousse à devenir le dévoré de la protection, le fruit de la paranoïa castratrice. Je suis le disciple du livre du pâtre des pâtres, ce qui fait de moi l’aspirant à la sagesse, le zen à la compréhension de l’équilibre entre le yin et le Yan, peut-être suis-je alors le centre du groupe humain, peut-être puis je alors le comprendre, dés lors puis-je comprendre le moyen de mener la conscience collective de masse dans le sens que je désir, moi qui ai façonné à l’image du berger, le Worisjule premier, le livre du pâtre des pâtres. Dés lors, je le sais, je puis être cet axe cosmique, de cette conscience collective de masse, comme je puis être l’axe cosmique de toutes sortes de vision holistique. Les forces nouvelles arrivent en mon unité, détruisant et remplaçant les négatives mortifères laissées dans le monde de la glace et de la misère, je suis comme le phénix qui renait de ces cendres, je suis celui qui vis l’acte du serpent changeant de peau, je suis celui qui maintenant connais le secret de la résurrection au sens métaphasique des sorciers charmeurs de Selket. –Mais toi o celui qui auras par et en connaissance de cause trahis le livre du pâtre des pâtres, comprend que cette métaphysique des sorciers de Selket, de par la force et la puissance de la colère de cette loge, celle-ci ayant l’aspect de la malédiction, chaque arme que tu construis en bois de if, afin de nouveaux combats contre la cause du livre du pâtre des pâtres, font en toi les objets de ta destruction.
Alors moi o lecteur qui lis «je suis», je comprends que l’arme de l’alarme de la lame des shamans, est celle qui touche au profond de l’esprit que le livre du pâtre des pâtres me guide au moment que je suis
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prêt à servir le bon choix, que dans le cas contraire et que je la lise tous de même, je suis alors forcé de comprendre que je suis le propre instrument de ma mort, car cette doctrine, celle du livre du pâtre des pâtres est une doctrine sous forme de conte initiatique, elle ne laisse passer les âmes du monde de l’anti, elle les rejettent à la mort, choix du tri de Is, comme la dernière phrase du deuxième testament qui dis ; que celui qui ajoute ou détruit l’une des pages de ce livre, s’attireras toutes les malédictions bibliques, qu’il en soie ainsi pour le livre du pâtre des pâtres.
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CHAPITRE QUARANT-ET-UNIEME
PHEORTH
Je t’en conjure moi, le Worisjule premier, ne soit plus qu’un simple lecteur, car moi le maître du mot reprends la phrase, sans que pour autant tu aye à la vivre. Quand tu vivais l’initiation en le livre du pâtre des pâtres, où l’âme de ton âme vivait le devoir Worisjulien de Jera, l’âme de mon âme, communiquant avec le livre du pâtre des pâtres, était alors l’application de ce devoir, moi, le maître du mot, je t’ai fait incanter afin que tu prennes le pouvoir sur la conscience collective de masse. Bien que devenir l’un des bergers du livre du pâtre des pâtres est satisfaisant, l’on ne peut vivre en connaissant son parcours du début jusqu'à la fin, la vie t’oblige au hasard, celui qui fait bien les choses. Le livre du pâtre des pâtres,
est alors le reflet des incantations du subconscient de ton âme, ce reflet que par la grâce du Urien Aryen, tes priorités montent jusqu'à l’ancêtre, monte jusqu’au prophète Wotan.
Celui-ci du haut de son trône te vois en le monde, alors il cherche de ça lance au tréfonds de ton esprit,
au tréfonds de tes secrets, ceux du passé, ceux du présent, ceux du devenir, ainsi il trouve en toi cinq runes que tu considères, alors le prophète depuis la halle céleste les mets en son cornet à dés, il entonne alors un chant voué à Pheorth et jette les dés, ceux-ci motivant alors au petit bonheur la chance de ton destin. Alors moi le maître du mot, à l’ instant où je t’écris ces mots, j’entends du tréfonds des âges, une voix qui n’en est pas une, celle du prophète des runes, cette voix me dis, ou plus tôt je te retranscrit par le biais de phrase fait de mots, mots fait de suite de symboles ; O grand berger, Pheorth est la rune du cornet à dés, toi le Worisjule premier, tu es celui qui retransmet au monde de par tes mots, le sens runisme de ce prochain millénaire, o lecteur prends notes de mes mots, de la voix que je lui donne au moment où il t’écris ces mots…-O grand berger, lorsque j’était pendu par mon pied à l’arbre, une chose m’a manquée, les jeux du banquet de la Wahalle, chaque fête que je vis ou que l’humanité vis, comme chaque jeu, fonde alors une nouvelle naissance. Quand je tire les dés du hasard, dans mon cornet à dés, de nouveaux destins s’accomplissent, les dés placent en l’avenir, le présent, et le futur de nouvelle réalité, de nouveaux combats, toutes ces choses qui font la vie. Le rire est pour les créatures de la totalité, un mode de guérison, la joie est le piment de la vie, chaque banquet que tu auras l’occasion de vivre, est l’opportunité dans le monde de demain de scellé un clan, ainsi en ce clan par la joie commune, la paix puisse ainsi régner. Comme les dés dans le cornet, le hasard est fait comme le destin, de ce mélange continuel de danse incantatoire, cette substance primordiale que l’on ressent au tempérament des initiés de l’ivresse, notamment celle de l’hydromel, le miel de l’ivresse rituel. La joie, fruit de cette ivresse rituel est initiatique, est la conséquence de l’égalité en la collectivité,
elle lie l’harmonie d’un vaudou commun, celui où s’affronte les points de vue sans barrière. le jeu est l’aspect social des sociétés philosophiques, enlevant le caractère négativiste des méfaits de l’alcool, toutefois le piège du trop plein de collectivisme, est celui de l’abandon de l’autonomie individuelle.
l’harmonie, dés lors se trouve en équilibre, la bienheureuse ligne du Ich bine, sur le centre égalitaire.
J’ai pris en l’âme de chaque disciple de ton livre, Worisjule premier, les cinq runes qui prédomine et prédomineront en leurs subconscients, en ma grâce, par la force des runes, je communiquerais avec eux par le biais des saintes runes. Je sais que tu cites mes mots o mon arrière arrière petit fils, toi le Worisjule premier, toi l’élu, afin que ces mots soie communiqué aux disciples du livre du pâtre des pâtres, car à toi seul, je parle, de par le messager venus de ton espace temps, à moi, celui qui de son sacrifice, de par ton nom, tu as nommé l’Urien Aryen.
-Alors o lecteur qui lis « je suis », j’espère, moi, le Worisjule premier, que en les mots que je t’ai retranscrit de la part du prophète, à moi, tu puisses ainsi en comprendre le sens, alors écoute mon message, celui qui te dis de veiller à trouver tes cinq runes de prédominance, car elle sont au nom du livre du pâtre des pâtres, la clef qui puisse te mener, sur la voie de celui qui est appliqué par la force du domaine de Wotan, j’espère dans le futur de mes mots pouvoir te faire lire, « je suis celui qui est bénis des esprits gardiens du livre du pâtre des pâtres ».