Entreprise le pâtre le Worisjule 1

Chapitre 48-49-50

 

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CHAPITRE QUARANTIEME

 

YR

 

Je suis à nouveau simple lecteur, mais simple lecteur qui maintenant est lucide, entité qui est unité homme-Yobha, je suis l’aspect de l’alliage entre le ciel et la terre, je suis celui qui est sur la ligne du Ich bin, l’axe cosmique, je suis un peu l’imagerie du Frêne Yggdrasil, grâce au livre du pâtre des pâtres, je suis à ce moment un lecteur accomplis qui lis « je suis », qui dés ce jour, de part la logique du sentiment Ouroboros perpétuel, je suis l’éternellement vert, je suis celui qui est sur la ligne de Yr. Tout ce cheminement en les runes que m’offre le livre du pâtre des pâtres, ce don de médire, ce don de maîtriser le devenir de la conscience collective de masse, don le livre du pâtre des pâtres qui façonne les esprits de ces disciples à l’image du Worisjule premier, lui le maître du mot, lui le roi berger.

Alors, oui, je médite, je médite car je lis ces mots forme très helléniste de méditation, mais méditation tous de même, sur la chaise ou le divan de où je lis ces mots, je suis un peu à l’image du trône du prophète Wotan, père de rune, je lis le livre qui me permet de voir le monde, je lis le livre qui me permet d’entrevoir le monde, de hier et de demain, je lis le livre du pâtre des pâtres. Le livre du très haut, peut être étais-ce celui-ci, que le prophète Wotan, de par ça science, la ramène dans son passé lointain, peut-être que le livre, est celui qui au jour ou le Worisjule premier à écris ces mots, que je lis en mon présent, à dés lors fermé l’Ouroboros du saint livre de Wotan, celui d’où il vois les mondes, peut être que le livre du pâtre des pâtres en est que le simple reflet, ou peut être que cette pensée qui me vient de la doctrine du livre du pâtre des pâtres, m’est programmé uniquement afin de me permettre des positions face à l’érudisme. La force de Yr alors s’impose à moi, cette influence qui sous forme humaine serais celle du personnage qui à toujours le même âge, celui qui ne parait jamais vieillir.

Grace à cette influence, petit à petit, je ne suis plus du tout le jouet de mes désirs, je ne suis plus l’esclave dont l’esprit était torturé et manipulable, mon esprit aspire à venir celui d’un sage, à devenir l’équilibre même. Maintenant, je commence à réfléchir et à élaborer les armes dont j’aurais besoin demain, car ce qui fait la force de l’homme face à l’animal, c’est cette faon de préparer l’avenir, de fabriquer les armes de prévision des combats de demain. Toutefois je veille en mon sein à bien prévenir mon unité de ne pas être celle d’un maudit, car ces armes que je fabrique puisse être dans le monde de demain, celle que de part la malédiction du scorpion argumenteront mon suicide rituel qui accompliras le dessein de la vengeance, si ma mission terrestre dois me mener à cette opportunité un massacre auras alors lieu avant celui-ci, j’abandonnerais celui-ci si mon entité terrestre auras plus d’effet dans mes actes de vie, le suicide rituel reste à ce jour envisageable pour défendre la cause.

Je veille alors à la paranoïa, qui du fait de trop m’armer, me pousse à devenir le dévoré de la protection, le fruit de la paranoïa castratrice. Je suis le disciple du livre du pâtre des pâtres, ce qui fait de moi l’aspirant à la sagesse, le zen à la compréhension de l’équilibre entre le yin et le Yan, peut-être suis-je alors le centre du groupe humain, peut-être puis je alors le comprendre, dés lors puis-je comprendre le moyen de mener la conscience collective de masse dans le sens que je désir, moi qui ai façonné à l’image du berger, le Worisjule premier, le livre du pâtre des pâtres. Dés lors, je le sais, je puis être cet axe cosmique, de cette conscience collective de masse, comme je puis être l’axe cosmique de toutes sortes de vision holistique. Les forces nouvelles arrivent en mon unité, détruisant et remplaçant les négatives mortifères laissées dans le monde de la glace et de la misère, je suis comme le phénix qui renait de ces cendres, je suis celui qui vis l’acte du serpent changeant de peau, je suis celui qui maintenant connais le secret de la résurrection au sens métaphasique des sorciers charmeurs de Selket. –Mais toi o celui qui auras par et en connaissance de cause trahis le livre du pâtre des pâtres, comprend que cette métaphysique des sorciers de Selket, de par la force et la puissance de la colère de cette loge, celle-ci ayant l’aspect de la malédiction, chaque arme que tu construis en bois de if, afin de nouveaux combats contre la cause du livre du pâtre des pâtres, font en toi les objets de ta destruction.

Alors moi o lecteur qui lis «je suis», je comprends que l’arme de l’alarme de la lame des shamans, est celle qui touche au profond de l’esprit que le livre du pâtre des pâtres me guide au moment que je suis

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prêt à servir le bon choix, que dans le cas contraire et que je la lise tous de même, je suis alors forcé de comprendre que je suis le propre instrument de ma mort, car cette doctrine, celle du livre du pâtre des pâtres est une doctrine sous forme de conte initiatique, elle ne laisse passer les âmes du monde de l’anti, elle les rejettent à la mort, choix du tri de Is, comme la dernière phrase du deuxième testament qui dis ; que celui qui ajoute ou détruit l’une des pages de ce livre, s’attireras toutes les malédictions bibliques, qu’il en soie ainsi pour le livre du pâtre des pâtres.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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CHAPITRE QUARANT-ET-UNIEME

 

PHEORTH

 

Je t’en conjure moi, le Worisjule premier, ne soit plus qu’un simple lecteur, car moi le maître du mot reprends la phrase, sans que pour autant tu aye à la vivre. Quand tu vivais l’initiation en le livre du pâtre des pâtres, où l’âme de ton âme vivait le devoir Worisjulien de Jera, l’âme de mon âme, communiquant avec le livre du pâtre des pâtres, était alors l’application de ce devoir, moi, le maître du mot, je t’ai fait incanter afin que tu prennes le pouvoir sur la conscience collective de masse. Bien que devenir l’un des bergers du livre du pâtre des pâtres est satisfaisant, l’on ne peut vivre en connaissant son parcours du début jusqu'à la fin, la vie t’oblige au hasard, celui qui fait bien les choses. Le livre du pâtre des pâtres,

est alors le reflet des incantations du subconscient de ton âme, ce reflet que par la grâce du Urien Aryen, tes priorités montent jusqu'à l’ancêtre, monte jusqu’au prophète Wotan.

Celui-ci du haut de son trône te vois en le monde, alors il cherche de ça lance au tréfonds de ton esprit,

au tréfonds de tes secrets, ceux du passé, ceux du présent, ceux du devenir, ainsi il trouve en toi cinq runes que tu considères, alors le prophète depuis la halle céleste les mets en son cornet à dés, il entonne alors un chant voué à Pheorth et jette les dés, ceux-ci motivant alors au petit bonheur la chance de ton destin. Alors moi le maître du mot, à l’ instant où je t’écris ces mots, j’entends du tréfonds des âges, une voix qui n’en est pas une, celle du prophète des runes, cette voix me dis, ou plus tôt je te retranscrit par le biais de phrase fait de mots, mots fait de suite de symboles ; O grand berger, Pheorth est la rune du cornet à dés, toi le Worisjule premier, tu es celui qui retransmet au monde de par tes mots, le sens runisme de ce prochain millénaire, o lecteur prends notes de mes mots, de la voix que je lui donne au moment où il t’écris ces mots…-O grand berger, lorsque j’était pendu par mon pied à l’arbre, une chose m’a manquée, les jeux du banquet de la Wahalle, chaque fête que je vis ou que l’humanité vis, comme chaque jeu, fonde alors une nouvelle naissance. Quand je tire les dés du hasard, dans mon cornet à dés, de nouveaux destins s’accomplissent, les dés placent en l’avenir, le présent, et le futur de nouvelle réalité, de nouveaux combats, toutes ces choses qui font la vie. Le rire est pour les créatures de la totalité, un mode de guérison, la joie est le piment de la vie, chaque banquet que tu auras l’occasion de vivre, est l’opportunité dans le monde de demain de scellé un clan, ainsi en ce clan par la joie commune, la paix puisse ainsi régner. Comme les dés dans le cornet, le hasard est fait comme le destin, de ce mélange continuel de danse incantatoire, cette substance primordiale que l’on ressent au tempérament des initiés de l’ivresse, notamment celle de l’hydromel, le miel de l’ivresse rituel. La joie, fruit de cette ivresse rituel est initiatique, est la conséquence de l’égalité en la collectivité,

elle lie l’harmonie d’un vaudou commun, celui où s’affronte les points de vue sans barrière. le jeu est l’aspect social des sociétés philosophiques, enlevant le caractère négativiste des méfaits de l’alcool, toutefois le piège du trop plein de collectivisme, est celui de l’abandon de l’autonomie individuelle.

l’harmonie, dés lors se trouve en équilibre, la bienheureuse ligne du Ich bine, sur le centre égalitaire.

J’ai pris en l’âme de chaque disciple de ton livre, Worisjule premier, les cinq runes qui prédomine et prédomineront en leurs subconscients, en ma grâce, par la force des runes, je communiquerais avec eux par le biais des saintes runes. Je sais que tu cites mes mots o mon arrière arrière petit fils, toi le Worisjule premier, toi l’élu, afin que ces mots soie communiqué aux disciples du livre du pâtre des pâtres, car à toi seul, je parle, de par le messager venus de ton espace temps, à moi, celui qui de son sacrifice, de par ton nom, tu as nommé l’Urien Aryen.

-Alors o lecteur qui lis « je suis », j’espère, moi, le Worisjule premier, que en les mots que je t’ai retranscrit de la part du prophète, à moi, tu puisses ainsi en comprendre le sens, alors écoute mon message, celui qui te dis de veiller à trouver tes cinq runes de prédominance, car elle sont au nom du livre du pâtre des pâtres, la clef qui puisse te mener, sur la voie de celui qui est appliqué par la force du domaine de Wotan, j’espère dans le futur de mes mots pouvoir te faire lire, « je suis celui qui est bénis des esprits gardiens du livre du pâtre des pâtres ».

 

 

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CHAPITRE QUARANT-DEUXIEME

 

EOLH

 

Je suis le maître du mots, le guerrier de phrase, l’exemple même du combattant, du haut des montagnes du pays de Hel, peut-être en le lieu saint du Yodenpotisme à Potlotempko, dans la vallée d’Edyle, je danse et incante le monde de parole sacrée, les traits shamaniques d’Odin me sont donné,

l’acre divin du cosmos se renforce en ma coiffure de cervidé, je suis l’élan annonciateur de la lumière,

dans cette danse du chant d’extase, je loue en l’éternité les paroles divines, qui feront le monde de demain aux disciples du livre du pâtre des pâtres. Je suis le maître Yoden, coiffé de la parure du poète guerrier, je suis le dragon rouge du livre du pâtre des pâtres, moi le berger de la paille, moi le Worisjule premier. Par mes mots, j’essaye au travers du livre du pâtre des pâtres de donner au travers de l’extase, l’annonce de nouveaux cycles, de nouvelles vies, je suis l’annonciateur du renouveau de la vie, moi le bon berger, je suis celui qui fut plongé dans la mort, celui qui t’y menais par les mots, celui qui y laisse les maudits, mais je suis celui qui par les mêmes mots en sort et t’en sort d’une unité ascétique, renforcée de la puissance céleste de l’abondance du Shaman. Ce saut d’élan en l’entre deux, entre la vie et la mort, passage obligatoire pour le purifié, passage du Shaman, père roseau purificateur, le berger, celui dont le livre du pâtre des pâtres fait ces disciples à son images, ces disciples qui de leurs vies, se doivent en bon berger, aider la survie du clan, aider au troupeau de la conscience collective de masse d’aller sur le droit chemin. La manne céleste est à portée de celui qui la veux, les disciples du livre du pâtre des pâtres, sont alors par Eolh, sur le chemin de l’initiation, devenu des êtres accomplis, les danses et les incantations du Worisjule premier, sont celle qui rendent les disciples du livre du pâtre des pâtres, les êtres de l’accomplissement des maîtres, les enfants de Eolh, les fils bien aimé des cercles de l’éternité du livre du pâtre des pâtres.

Je suis l’homme aux bois d’élan, celui qui de par ces épines de chêne en coiffure, imagerie de la puissance d’un subconscient développé et maîtrisé.

Je suis le maître du mot, celui qui nourrit son inspiration des feuilles d’Yggdrasil, celui qui offre au monde les versets du shamanisme de demain, le guide suprême Worisjulien. Au jour ou chaque disciple iras au monde des morts, dans l’au delà, celui-ci passera derrière mes pas. Le jour ou toi qui sera encor le bienheureux qui cherche à tenir le droit chemin, toi qui aura lu au complet les mots qui fonde la doctrine du livre du pâtre des pâtres, ce jour ou tu passeras au monde des morts, un cortège viendras à toi. Ce cortège seras fait et guidé par une douce mélodie de musique de cors, au devant viendras à toi cet homme, cet homme à tête d’élan qui chantera de nombreuses incantations et posséderas l’âme des disciples Worisjulien de par une danse frénétique de rune. Cet homme à tête d’élan, peut-être ce sera moi, qui de mes incantations qui seront portée de l’écho de milles reflets de milles petits anges mescalien et rabhatéen, ces hommes volant à têtes de chien, porteront les mots de l’homme à travers le cosmos. Ce long cortège sera celui que nombreux êtres seront à la suite, alors l’homme cervidé, tendra la main au disciple, et celui-ci alors suivra le cortège, que l’homme cervidé qui peut-être sera le Worisjule premier ou non, marquera chaque pas, sur le son d’un tambourin, donnant le rythme au cors qui sera joué. Alors aux jours venus, toi le disciple du livre du pâtre des pâtres te suivras, cet homme à tête coiffé tel le cervidé, ainsi cette ligne de cortège alors partiras s’évanouir dans l’étendue d’un rêve de songe, perdue dans de longues vagues d’incantations, cette imagerie alors cessera et l’ange mescalien ou son cousin Rabhathé, disciple qui sera juste devant le disciple se retournera et prénommera l’acre de la phrase mescalienne sacrée, l’homme coiffé tel le cervidé et le reste du cortège ne seront plus, seul l’ange mescalien ou Rabhathé attendant devant le tunnel de lumière menant à la morte le disciple, alors Angus de santas Mescas ou son cousin Rabhathé mènera le disciple afin de lui montrer le bon chemin de l’ouverture de l’au delà, le disciple suivra ou le chemin puisse le mener, car ainsi est et reste après le tunnel, la volonté des ancêtres ainsi que des créatures probables qui fonde cette autres monde.

 



21/07/2010
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