chapitre 45-46-47
CHAPITRE TRENT-CINQUIEME
WIN
L’homme ayant affirmé ça position, ce laisse pousser par les influences de son choix, il devient alors
le drapeau qui montre le sens du vent. Toi le lecteur qui lit « je suis », toi qui est devenu l’homme, toi
qui deviendra à chaque jour un peu plus l’homme que je te décris au nom du bien fondé du serpent runique, toi que j’espère que tu as fait le bon choix, à ce stade de l’évolution perpétuelle, il vient à toi
de jouir de tes acquis, notamment doctrinaux, du bout de chemin que tu viens d’effectuer, sur le chemin
des runes, qui dés lors devient pour toi un morceau de chemin de ta vie. Win va te permettre dés lors d’effacer tes souffrances, tes douleurs, tes chagrins, de trouver les vents nouveaux d’influence cosmique, afin de combler tes défauts, pour que sur le cercle perpétuel, tu puisses par la force des choses, posséder la prospérité, le bonheur et l’abondance. Ton esprit encor se module, le cycle fertilité-fécondité, afin que celui-ci, accepte l’élément doctrinal nouveau qui le torturera, jusque à t’obliger à garder l’esprit sage, le drapeau au vent change de sens à toutes allures, face à la tempête du bien,
jusque à que celle-ci se calme et trouve l’harmonie de la douceur du souffle divin.
Au sens méditatif, c’est la recherche du Nirvana, cette étape de la jouissance des facultés supérieures,
sommet de la pyramide, ou l’unité récolte les grains, devenus les blés, fruit de la nourriture spirituelle.
L’esprit totalité de Win est peut-être au final, la création et la maitrise des vents, toutefois, restant convaincu qu’il y a toujours plus haut que le très haut, que nommer le très haut, lui que aucun mot ni aucune imagerie ne peut alors décrire son aspect à totalité, il est dés lors impossible de trouver la fin de
Win, ni de aucune autre méditation, mais par l’érudisme aimant quand même donner des imageries à ce qu’il est impossible de donner, par pure jeu d’esprit et de sens des mots, le but final d’une tel méditation, devrait dés lors aller dans en ce sens. le chemin de la félicitée, ou son souffle divin, dés
lors t’est accessible, tu nages voluptueusement dans le flot de l’énergie vitale, te voilà indestructible,
propre comme un souffle neuf. Le maudit lui-même, s’il ne remarque pas, s’enfermera gentiment
dans le puits sombre de ces désires exacerbés, le menant à petit feu au tréfonds de Niflheim ou le dragon et les milliards de serpents le dévoreront, dés lors il comprendra alors que ça mécréance volontaire, il loupe le divin aspect de la volupté de l’être libéré cosmiquement, bien entendu il puisse être « je suis » ou je suis le maudit, car le secret de son choix, lui, reste propre comme il peut et se doit
de l’être te rester propre. Par Win se développe l’esprit et l’auras du charmeur et du combattant, ainsi l’énergie sexuelle, se canalise en toi, tu es l’homme, la femelle, elle, en Win, devient la femelle irrésistible au regard pénétrant et d’acier, toi homme tu deviens l’homme phallus, le divin père qui as
compris les rayons du Worisjule premier, ceux qui reflète dans le livre du pâtre des pâtres dont petit
à petit, que tu en lis les mots, tu en devient alors le disciple. Win est la dernière rune du première aettri,
celui-ci puisse en l’honneur du livre du pâtre des pâtres, représenter un premier cercle de perpétuation Ouroboros, que toi lecteur qui lis « je suis le lecteur qui enregistre cela en mes mémoires akaschiks ».
Sur le chemin du Nirvana, il sera dés lors bon pour toi de réguler tes Ondes comme il faut en méditation. Win reste la rune de l’harmonie dans le couple et dans la vie, elle harmonise ainsi le premier
cercle perpétuel Ouroboros du premier aettri, afin que celui-ci tourne gentiment en ta vie, ainsi que en ton osmose, tu es celui qui vis car le livre du pâtre des pâtres ta choisis comme disciple, en la grâce du Worisjule premier. Toutefois le premier cercle Ouroboros du premier, ne corrompt pas le serpent runique, car celui-ci, tourne sans les trois cercles aettri dis Worisjulien, dis « les trois cercles Ouroboros
Worisjulien aettri », nés du Worisjule premier, ceux-ci étant très complexe de part leurs liens avec le sceau scorpionique Worisjulien, je ne peut entrer plus en détail, mais peut être sur ton long chemin spirituel que t’offre le livre du pâtre des pâtres, tu auras la chance de tomber sur son évolution, mais celui-ci reste un secret du Worisjule premier, car moi le maître du mot, je garde mon secret, voilà probablement pourquoi, je t’ai rendu le pouvoir du secret, moi le maître du mot duquel est nés le livre du pâtre des pâtres. alors te voilà o lecteur au moment de lire « je suis arrivé au moment ou j’ai accomplis un grand pas ».
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CHAPITRE TRENT-SIXIEME
HAGALAZ
Le deuxième aett commence là, cette rune est celle de la grêle, de ce qui s’abat sur la vie, sans que l’on puisse l’en empêcher. Pour le maudit, c’est là que la malédiction s’avachis sur lui, là que la maladie,
des serpents, le touche en plein cœur, pour lui, le bon chemin, peut-être pour exemple, la grêle de la connaissance ésotérique, la grêle des forces positives constructives, qui oblige l’homme à devenir extrêmement bon, non pas que le maudit ne soie sous la coupe de la grêle du positivisme, mais le maudit subis d’autant la grêle du positivisme, que la grêle du blâme éternel, afin qu’il puisse se souvenir du mauvais choix fait en connaissance de cause. Hagalaz est la rune de l’As blanc, Heimdhal qui garde le pont, l’arc-en-ciel, qui permet l’accès à Asgard, le pont qui passe au dessus du monde souterrain des morts, au dessus de la terre pour accéder au cosmos. Au sens alchimique, il s’agit de la clef de la vie éternel, qui au sens méditatif, ce révèle comme tel, dans un accès au cosmos, état de l’impossible atteinte du Nirvana. Cette rune est celle du passage de entre la vie et la mort, ce qui fait d’elle en guérison, une rune de l’esprit, il est bon de pouvoir utiliser son énergie afin de guérir un esprit de la façon des sorcier charmeurs de Selmeks, englobant les techniques spirituelles, d’aller chercher la solution de toutes énigmes dans l’autre monde, soit d’en tenir congrès à l’ancêtre, soit afin de trouver le devenir mortuaire de l’esprit sondé et de l’interroger sur le pourquoi du mal dans l’espace temps vécus, soit de vivre les opportunités infinie que puisse apporter cette doctrine ancestrale. Hagalaz est la porte de l’au delà, mais une porte, n’est pas toujours ouverte, Heimdal, l’As blanc, est un peu celui qui repousse les vivants à la vie, c’est la petite voix qui te dis « arrête de fumer, tu vas avoir le cancer, arrête de boire, tu vas tomber dans le coma ». Hagallaz est aussi les larmes versée quand l’homme sais qu’il va mourir, les larmes des pleureuses de la famille qu’il va quitté, Hagal regroupe l’avant et
l’après de la mort, autant dans le monde dans lequel tu vis que dans n’importe quel aspect de l’au delà, ou d’autres espace temps dont tu en a l’accès. Hagal est aussi la clef entre le monde des hommes et des géants, ce qui sépare deux réalités, qui oppose deux énergies bénéfiques, qui chacune pour l’autre, l’autre est maléfique, cette rune peut donc être identifiée au deux tours maçonniques.
Hagalaz est un peu les conséquences, le fruit de la recherche, le coup d’envoie de la conquête, le feu
vert et l’Eureka. Hagalaz est le moment ou débute vraiment l’aventure, c’est le moment ou le cercle de la fertilité, l’Ouroboros du premier aette est terminé, pour que commence le deuxième cercle ouroboros, celui de la lutte pour la vie. Le fruit de la méditation de Hagallaz, est la compréhension du don de la vie comme cadeau, le malheur du suicider. C’est le moment de choisir si l’on se pend par les pieds pour aller sur la voie des sages, ou si l’on se pend par le cou pour renier le don de devenir un damné pour celui qui c’est pendu par le pied. Toutefois, la méditation de Hagalaz oblige l’homme à maitriser son sentiment d’orgueil, pour devoir se souvenir n’être qu’un grain de poussière dans le cosmos, le choix de Hagal, puisse être celui de jeter ça grêle sur les plus petits grains que sois, sans pour autant être juste, ainsi s’attirer la colère de l’ancêtre, ou de l’aspect du divin, ainsi jeter la grêle de la colère sur plus petit et plus grand, car même l’infime grain de poussière de l’espace cosmique innommable, si celui-ci en est celui de la raison, aurais automatiquement la raison sur l’aspect de totalité (Yobha), à un moment ou à un autre, cela en est la règle du destin « la règle Worisjulienne du choix de Hagalaz est née du Worisjule premier », cette règle ainsi est née, maintenant en la grâce des disciples et du livre du pâtre des patres par l’aspect de la continuité que cette règle traverse ainsi les siècles, la voilà née en Hagalaz, afin que soie démontré le fait que le temps après la création est celui de la lutte pour la vie du dit projet ou de la dite conception. Au sens de la justice de Thor, c’est le moment de l’aspect de la sentence, le coup de grâce de Mjolnir, mais mise à part ce coup de marteau,
qui a le bon sens pouvant ainsi être bénéfique, Hagalaz est l’instant ou l’on doit vivre la vie pleinement,
l’instant ou l’heure de la guérison à sonné et le profit de celle-ci mène à vivre pleinement la vie, à nourrir le feu divin qui brule au sein de chaque être humain, cette flamme du divin qui dés lors à été donnée de celui que certain nommerais le grand architecte, afin que l’homme puisse s’accomplir en son sens, car chacun puisse être à son image.
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CHAPITRE TRENT-SEPTIEME
NAUDIZ
Je suis l’humble berger, le Worisjule premier, le Worisjule des nouveaux temps, celui que les prophéties
attendent depuis tous le temps, je suis le Worisjule premier, le maître des mots du livre du pâtre des pâtres, ainsi je tire les dés voués à Wotan, et ceux-ci me réponde de te renvoyer en le cœur de l’histoire. Alors à la grâce du prophète des runes, je prononce « Anodgn » et à nouveau « je suis le lecteur qui vis en l’histoire ». Je suis à nouveau plongé dans ce somma me fessant voyager en un rêve
de douceur, quand je lisais les mots du maître du mot avant d’être plongé à nouveau dans l’histoire, je pensais renaître dans le temple, mais par le maître choix, le maître du mot, il n’en ai pas ainsi.
maintenant je suis revenu au centre de l’histoire en un être nu, l’aire est glacé par le froid, partout fait de glace la rune de Naudiz se trouve. Avant je me trouvais au milieu de champ de haricots, maintenant je suis au milieu de chant de rune Naudiz, en ce froid, nu au milieu de ces glaces runiques Naudizienne,
par effet de suggestion dont chaque expériences, m’apporte son enseignement, je comprend que dans le fait accomplis, le maitre berger, m’a plongé de par le sort au sein de la méditation de Naudiz, par ça grâce, je n’ai plus qu’a me concentrer pour la vivre ainsi, étant sous la volonté du livre du pâtre des pâtres, je me fait bercer par les mots, ou mon âme est corps au sein de ce champ de glace, je suis à nouveau celui qui vis l’histoire. Dans le chant de Naud, que la bise m’en flagelle en ce nouveau monde,
je dois, je le sent au fond de moi, me battre, contre l’emprise, Naud est alors sur mon chemin initiatique,
une étape test avant que je puisse continuer en force dans ce nouveau cercle ouroboros du deuxième aett, ou mourir comme le sot, de détresse et de misère comme le jouet des événements. Je vis ce combat et le vois toutes autour de moi refléter en chaque face de rune Naudiz, qui m’entoure dans ces champs de glace. Maintenant, je sais que si je ne me cherche les solutions par moi-même, au fond de mes connaissances acquises, de la sagesse que le Worisjule premier, m’a obligé de par les mots du livre du pâtre des pâtres, à acquérir. Il est temps pour moi de trouver la force nécessaire afin de ne pas me faire saisir par le froid des forces négatives, je comprends le don runique du Worisjule premier, celui qui m’oblige à me battre pour être maître de l’accomplissement de mon destin. Le Worisjule premier, c’est trouvé être mon maître, le temps que j’en ais eu besoin, maintenant, petit à petit, il me lâche, et je le sais, il vas m’abandonner au milieu de cette plaine aride de froideur, afin que je puisse à mon tour trouver le chemin de mon destin propre. Je regarde alors ma main, sur le dos de ma main une douleur se fait sentir, c’est celle d’une marque de Naud, je comprends le sens de cette marque venue de nulle part, moi, au milieu de cette glace, nus comme un vers, une marque de Naud à la main, suis-je maudit… Je sent mes ongles se geler, par Naud, je vois la morte dans les yeux, je manque de tous dans un monde, ou, il ne si trouve rien, et rapidement, je dois en trouver le moyen de me couvrir et de me nourrir, là, seul mes acquis spirituels puisse m’être utile. Je me met alors à genoux et me sert les mains entre les genoux, je trouve alors mon avantage, mon esprit est libéré de toutes dépendances inutiles, je suis si dépouillé que je me trouve être une momie mortifère, il faut que j’use de mon état dans le Nirvana, pour maîtriser la bise du chant de Naud, ainsi souffler les brumes des illusions, de faire atteindre à mon esprit les sommets de la sagesse, afin que peut-être puis-je maîtriser suffisamment mon être afin de maîtriser la chaleur de mon propre corps, et rester là, jusqu’à ce que la vie reprenne le dessus. Par la mortification, j’espère ainsi trouver la délivrance, de traverser ce nuage de mort par la mort, est peut-être trouver la solution. Toutefois je n’ai d’autre choix que de continuer ce chemin dont Bouddha lui-même à mis en garde contre son aspect destructeur, mais je continue par combat contre la morte, pour vivre dans ce monde ou m’entoure la morte et le froid, moi, celui qui vis l’histoire nu comme un vers en ce monde de glace. Je suis à mis chemin entre la vie et la mort, mais je suis en vie, ne fessant rien en ce monde physique, au risque de mourir, je place ma force à réchauffer mon corps interne et de m’évanouir dans ma vie intérieur et mystérieuses, dans cette intérieur, je prends le temps
d’élever ma spiritualité ascétique, moi dominé par la force du froid qui me pousse à la mort, je suis le condamner qui m’oblige à me dominer afin de ne pas céder à cette force du froid qui cherche à me vaincre. Les tensions psychique que m’occasionne le froid, m’entraine des retenues dans mes actes qui
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ne sont maintenant plus que des pensées. Peut-être que si je résiste à cet espace temporel de Naud, temps de test, si je ne peut résister à cette force de la mort, ou de survivre à celle-ci, peut-être mes séquelles seront celle d’un zombie, mais au moins, je serais en vie.