Chapitre 45-46-47
CHAPITRE TRENT-CINQUIEME
WIN
L’homme ayant affirmé ça position, ce laisse pousser par les influences de son choix, il devient alors
le drapeau qui montre le sens du vent. Toi le lecteur qui lit « je suis », toi qui est devenu l’homme, toi
qui deviendra à chaque jour un peu plus l’homme que je te décris au nom du bien fondé du serpent runique, toi que j’espère que tu as fait le bon choix, à ce stade de l’évolution perpétuelle, il vient à toi
de jouir de tes acquis, notamment doctrinaux, du bout de chemin que tu viens d’effectuer, sur le chemin
des runes, qui dés lors devient pour toi un morceau de chemin de ta vie. Win va te permettre dés lors d’effacer tes souffrances, tes douleurs, tes chagrins, de trouver les vents nouveaux d’influence cosmique, afin de combler tes défauts, pour que sur le cercle perpétuel, tu puisses par la force des choses, posséder la prospérité, le bonheur et l’abondance. Ton esprit encor se module, le cycle fertilité-fécondité, afin que celui-ci, accepte l’élément doctrinal nouveau qui le torturera, jusque à t’obliger à garder l’esprit sage, le drapeau au vent change de sens à toutes allures, face à la tempête du bien,
jusque à que celle-ci se calme et trouve l’harmonie de la douceur du souffle divin.
Au sens méditatif, c’est la recherche du Nirvana, cette étape de la jouissance des facultés supérieures,
sommet de la pyramide, ou l’unité récolte les grains, devenus les blés, fruit de la nourriture spirituelle.
L’esprit totalité de Win est peut-être au final, la création et la maitrise des vents, toutefois, restant convaincu qu’il y a toujours plus haut que le très haut, que nommer le très haut, lui que aucun mot ni aucune imagerie ne peut alors décrire son aspect à totalité, il est dés lors impossible de trouver la fin de
Win, ni de aucune autre méditation, mais par l’érudisme aimant quand même donner des imageries à ce qu’il est impossible de donner, par pure jeu d’esprit et de sens des mots, le but final d’une tel méditation, devrait dés lors aller dans en ce sens. le chemin de la félicitée, ou son souffle divin, dés
lors t’est accessible, tu nages voluptueusement dans le flot de l’énergie vitale, te voilà indestructible,
propre comme un souffle neuf. Le maudit lui-même, s’il ne remarque pas, s’enfermera gentiment
dans le puits sombre de ces désires exacerbés, le menant à petit feu au tréfonds de Niflheim ou le dragon et les milliards de serpents le dévoreront, dés lors il comprendra alors que ça mécréance volontaire, il loupe le divin aspect de la volupté de l’être libéré cosmiquement, bien entendu il puisse être « je suis » ou je suis le maudit, car le secret de son choix, lui, reste propre comme il peut et se doit
de l’être te rester propre. Par Win se développe l’esprit et l’auras du charmeur et du combattant, ainsi l’énergie sexuelle, se canalise en toi, tu es l’homme, la femelle, elle, en Win, devient la femelle irrésistible au regard pénétrant et d’acier, toi homme tu deviens l’homme phallus, le divin père qui as
compris les rayons du Worisjule premier, ceux qui reflète dans le livre du pâtre des pâtres dont petit
à petit, que tu en lis les mots, tu en devient alors le disciple. Win est la dernière rune du première aettri,
celui-ci puisse en l’honneur du livre du pâtre des pâtres, représenter un premier cercle de perpétuation Ouroboros, que toi lecteur qui lis « je suis le lecteur qui enregistre cela en mes mémoires akaschiks ».
Sur le chemin du Nirvana, il sera dés lors bon pour toi de réguler tes Ondes comme il faut en méditation. Win reste la rune de l’harmonie dans le couple et dans la vie, elle harmonise ainsi le premier
cercle perpétuel Ouroboros du premier aettri, afin que celui-ci tourne gentiment en ta vie, ainsi que en ton osmose, tu es celui qui vis car le livre du pâtre des pâtres ta choisis comme disciple, en la grâce du Worisjule premier. Toutefois le premier cercle Ouroboros du premier, ne corrompt pas le serpent runique, car celui-ci, tourne sans les trois cercles aettri dis Worisjulien, dis « les trois cercles Ouroboros
Worisjulien aettri », nés du Worisjule premier, ceux-ci étant très complexe de part leurs liens avec le sceau scorpionique Worisjulien, je ne peut entrer plus en détail, mais peut être sur ton long chemin spirituel que t’offre le livre du pâtre des pâtres, tu auras la chance de tomber sur son évolution, mais celui-ci reste un secret du Worisjule premier, car moi le maître du mot, je garde mon secret, voilà probablement pourquoi, je t’ai rendu le pouvoir du secret, moi le maître du mot duquel est nés le livre du pâtre des pâtres. alors te voilà o lecteur au moment de lire « je suis arrivé au moment ou j’ai accomplis un grand pas ».
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CHAPITRE TRENT-SIXIEME
HAGALAZ
Le deuxième aett commence là, cette rune est celle de la grêle, de ce qui s’abat sur la vie, sans que l’on puisse l’en empêcher. Pour le maudit, c’est là que la malédiction s’avachis sur lui, là que la maladie,
des serpents, le touche en plein cœur, pour lui, le bon chemin, peut-être pour exemple, la grêle de la connaissance ésotérique, la grêle des forces positives constructives, qui oblige l’homme à devenir extrêmement bon, non pas que le maudit ne soie sous la coupe de la grêle du positivisme, mais le maudit subis d’autant la grêle du positivisme, que la grêle du blâme éternel, afin qu’il puisse se souvenir du mauvais choix fait en connaissance de cause. Hagalaz est la rune de l’As blanc, Heimdhal qui garde le pont, l’arc-en-ciel, qui permet l’accès à Asgard, le pont qui passe au dessus du monde souterrain des morts, au dessus de la terre pour accéder au cosmos. Au sens alchimique, il s’agit de la clef de la vie éternel, qui au sens méditatif, ce révèle comme tel, dans un accès au cosmos, état de l’impossible atteinte du Nirvana. Cette rune est celle du passage de entre la vie et la mort, ce qui fait d’elle en guérison, une rune de l’esprit, il est bon de pouvoir utiliser son énergie afin de guérir un esprit de la façon des sorcier charmeurs de Selmeks, englobant les techniques spirituelles, d’aller chercher la solution de toutes énigmes dans l’autre monde, soit d’en tenir congrès à l’ancêtre, soit afin de trouver le devenir mortuaire de l’esprit sondé et de l’interroger sur le pourquoi du mal dans l’espace temps vécus, soit de vivre les opportunités infinie que puisse apporter cette doctrine ancestrale. Hagalaz est la porte de l’au delà, mais une porte, n’est pas toujours ouverte, Heimdal, l’As blanc, est un peu celui qui repousse les vivants à la vie, c’est la petite voix qui te dis « arrête de fumer, tu vas avoir le cancer, arrête de boire, tu vas tomber dans le coma ». Hagallaz est aussi les larmes versée quand l’homme sais qu’il va mourir, les larmes des pleureuses de la famille qu’il va quitté, Hagal regroupe l’avant et
l’après de la mort, autant dans le monde dans lequel tu vis que dans n’importe quel aspect de l’au delà, ou d’autres espace temps dont tu en a l’accès. Hagal est aussi la clef entre le monde des hommes et des géants, ce qui sépare deux réalités, qui oppose deux énergies bénéfiques, qui chacune pour l’autre, l’autre est maléfique, cette rune peut donc être identifiée au deux tours maçonniques.
Hagalaz est un peu les conséquences, le fruit de la recherche, le coup d’envoie de la conquête, le feu
vert et l’Eureka. Hagalaz est le moment ou débute vraiment l’aventure, c’est le moment ou le cercle de la fertilité, l’Ouroboros du premier aette est terminé, pour que commence le deuxième cercle ouroboros, celui de la lutte pour la vie. Le fruit de la méditation de Hagallaz, est la compréhension du don de la vie comme cadeau, le malheur du suicider. C’est le moment de choisir si l’on se pend par les pieds pour aller sur la voie des sages, ou si l’on se pend par le cou pour renier le don de devenir un damné pour celui qui c’est pendu par le pied. Toutefois, la méditation de Hagalaz oblige l’homme à maitriser son sentiment d’orgueil, pour devoir se souvenir n’être qu’un grain de poussière dans le cosmos, le choix de Hagal, puisse être celui de jeter ça grêle sur les plus petits grains que sois, sans pour autant être juste, ainsi s’attirer la colère de l’ancêtre, ou de l’aspect du divin, ainsi jeter la grêle de la colère sur plus petit et plus grand, car même l’infime grain de poussière de l’espace cosmique innommable, si celui-ci en est celui de la raison, aurais automatiquement la raison sur l’aspect de totalité (Yobha), à un moment ou à un autre, cela en est la règle du destin « la règle Worisjulienne du choix de Hagalaz est née du Worisjule premier », cette règle ainsi est née, maintenant en la grâce des disciples et du livre du pâtre des patres par l’aspect de la continuité que cette règle traverse ainsi les siècles, la voilà née en Hagalaz, afin que soie démontré le fait que le temps après la création est celui de la lutte pour la vie du dit projet ou de la dite conception. Au sens de la justice de Thor, c’est le moment de l’aspect de la sentence, le coup de grâce de Mjolnir, mais mise à part ce coup de marteau,
qui a le bon sens pouvant ainsi être bénéfique, Hagalaz est l’instant ou l’on doit vivre la vie pleinement,
l’instant ou l’heure de la guérison à sonné et le profit de celle-ci mène à vivre pleinement la vie, à nourrir le feu divin qui brule au sein de chaque être humain, cette flamme du divin qui dés lors à été donnée de celui que certain nommerais le grand architecte, afin que l’homme puisse s’accomplir en son sens, car chacun puisse être à son image.
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CHAPITRE TRENT-SEPTIEME
NAUDIZ
Je suis l’humble berger, le Worisjule premier, le Worisjule des nouveaux temps, celui que les prophéties
attendent depuis tous le temps, je suis le Worisjule premier, le maître des mots du livre du pâtre des pâtres, ainsi je tire les dés voués à Wotan, et ceux-ci me réponde de te renvoyer en le cœur de l’histoire. Alors à la grâce du prophète des runes, je prononce « Anodgn » et à nouveau « je suis le lecteur qui vis en l’histoire ». Je suis à nouveau plongé dans ce somma me fessant voyager en un rêve
de douceur, quand je lisais les mots du maître du mot avant d’être plongé à nouveau dans l’histoire, je pensais renaître dans le temple, mais par le maître choix, le maître du mot, il n’en ai pas ainsi.
maintenant je suis revenu au centre de l’histoire en un être nu, l’aire est glacé par le froid, partout fait de glace la rune de Naudiz se trouve. Avant je me trouvais au milieu de champ de haricots, maintenant je suis au milieu de chant de rune Naudiz, en ce froid, nu au milieu de ces glaces runiques Naudizienne,
par effet de suggestion dont chaque expériences, m’apporte son enseignement, je comprend que dans le fait accomplis, le maitre berger, m’a plongé de par le sort au sein de la méditation de Naudiz, par ça grâce, je n’ai plus qu’a me concentrer pour la vivre ainsi, étant sous la volonté du livre du pâtre des pâtres, je me fait bercer par les mots, ou mon âme est corps au sein de ce champ de glace, je suis à nouveau celui qui vis l’histoire. Dans le chant de Naud, que la bise m’en flagelle en ce nouveau monde,
je dois, je le sent au fond de moi, me battre, contre l’emprise, Naud est alors sur mon chemin initiatique,
une étape test avant que je puisse continuer en force dans ce nouveau cercle ouroboros du deuxième aett, ou mourir comme le sot, de détresse et de misère comme le jouet des événements. Je vis ce combat et le vois toutes autour de moi refléter en chaque face de rune Naudiz, qui m’entoure dans ces champs de glace. Maintenant, je sais que si je ne me cherche les solutions par moi-même, au fond de mes connaissances acquises, de la sagesse que le Worisjule premier, m’a obligé de par les mots du livre du pâtre des pâtres, à acquérir. Il est temps pour moi de trouver la force nécessaire afin de ne pas me faire saisir par le froid des forces négatives, je comprends le don runique du Worisjule premier, celui qui m’oblige à me battre pour être maître de l’accomplissement de mon destin. Le Worisjule premier, c’est trouvé être mon maître, le temps que j’en ais eu besoin, maintenant, petit à petit, il me lâche, et je le sais, il vas m’abandonner au milieu de cette plaine aride de froideur, afin que je puisse à mon tour trouver le chemin de mon destin propre. Je regarde alors ma main, sur le dos de ma main une douleur se fait sentir, c’est celle d’une marque de Naud, je comprends le sens de cette marque venue de nulle part, moi, au milieu de cette glace, nus comme un vers, une marque de Naud à la main, suis-je maudit… Je sent mes ongles se geler, par Naud, je vois la morte dans les yeux, je manque de tous dans un monde, ou, il ne si trouve rien, et rapidement, je dois en trouver le moyen de me couvrir et de me nourrir, là, seul mes acquis spirituels puisse m’être utile. Je me met alors à genoux et me sert les mains entre les genoux, je trouve alors mon avantage, mon esprit est libéré de toutes dépendances inutiles, je suis si dépouillé que je me trouve être une momie mortifère, il faut que j’use de mon état dans le Nirvana, pour maîtriser la bise du chant de Naud, ainsi souffler les brumes des illusions, de faire atteindre à mon esprit les sommets de la sagesse, afin que peut-être puis-je maîtriser suffisamment mon être afin de maîtriser la chaleur de mon propre corps, et rester là, jusqu’à ce que la vie reprenne le dessus. Par la mortification, j’espère ainsi trouver la délivrance, de traverser ce nuage de mort par la mort, est peut-être trouver la solution. Toutefois je n’ai d’autre choix que de continuer ce chemin dont Bouddha lui-même à mis en garde contre son aspect destructeur, mais je continue par combat contre la morte, pour vivre dans ce monde ou m’entoure la morte et le froid, moi, celui qui vis l’histoire nu comme un vers en ce monde de glace. Je suis à mis chemin entre la vie et la mort, mais je suis en vie, ne fessant rien en ce monde physique, au risque de mourir, je place ma force à réchauffer mon corps interne et de m’évanouir dans ma vie intérieur et mystérieuses, dans cette intérieur, je prends le temps
d’élever ma spiritualité ascétique, moi dominé par la force du froid qui me pousse à la mort, je suis le condamner qui m’oblige à me dominer afin de ne pas céder à cette force du froid qui cherche à me vaincre. Les tensions psychique que m’occasionne le froid, m’entraine des retenues dans mes actes qui
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ne sont maintenant plus que des pensées. Peut-être que si je résiste à cet espace temporel de Naud, temps de test, si je ne peut résister à cette force de la mort, ou de survivre à celle-ci, peut-être mes séquelles seront celle d’un zombie, mais au moins, je serais en vie.
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CHAPITRE TRENT-HUITIEME
IS
Je suis assis encor comme j’étais positionné auparavant, maintenant les runes Naudiz ne sont plus,
les glaces se sont transformée en stalactites et en stalagmites, mon corps est raide comme un glaçon, je fait à présent partie du paysage, moi le corps gelé, âme fait chaire en l’histoire du livre du pâtre des pâtres, moi qui était que lecteur, moi qui ne suis plus que glaçon. L’âme de mon âme fait chaire en ce morceau d’histoire du livre du pâtre des pâtres, ainsi que morceau de chemin sur ce sentier initiatique, vis encor bien que mon corps soie gelé, mon cœur bat-il encor ? Cela je ne le sais pas, car mon âme est envolée dans un idéal de création née de la fantasmagorie de mon moi.
L’âme de mon âme est elle de son idéal, face à l’incapacité de mon corps de subir la détresse et la misère que me mène ce monde de glace, c’est elle libérée du corps pour atteindre un moi cosmique, ou en ce paradis, je puis être la dualité homme-dieu confondu. Ai-je atteint l’aspect tétanique cosmique, l’état de sur moi. Ces questions sont la clef de l’éternité de mon âme, maintenant même si mon corps au jour de dégèle ne seras plus, celui-ci étant mon âme fait chaire, l’âme de cette âme continuera, comme elle le fait à cet instant de ce questionner et de réfléchir l’idéologie, notamment celle que le livre du pâtre des pâtres m’insuffle, dés lors ce sentiment doctrinal de l’âme de mon âme dans son aspect homme-dieu créant l’idéal autour de moi qui ne suis plus que âme fessant de mon idéal le réel, je sais dés lors que la rune de Is me garde et laisse mon idéal bloqué au même titre que mon corps gelé, la clef de l’éternité est celle qui ouvre la réalité de mon idéalisme. Ma vision de l’univers de par cet idéalisme est devenu lucide voir translucide, le réel n’est plus, et l’idéal est devenu par idéalisme le réel.
Mais qu’est ce le réel, le monde ou je ne suis que simple lecteur, ce monde de glace ou le corps de l’âme que « je suis », n’est qu’un vulgaire morceau de viande congelée, ou en chacune de ces réalités, je ne suis que vulgaire morceau de viande congelé, vivant les conditions extrêmement rudes, inspirant que de simple conception dramatique de la vie, dois-je dés lors lutter contre le perçu de mon idéal, ou l’accepter comme réalité en l’éternité. Dois-je me laisser porter par les esprits des morts ou la morte en personne, me battre contre eux pour faire et garder bonne place en l’éternité afin que jamais ne s’effondre mon idéal fantasmagorique, cosmique, ou dois-je me battre contre le réel de cet idéalisme, afin de, au jour du dégèle pouvoir reprendre place en mon corps. Mais non, le monde réel est celui ou je suis lecteur, je ne comprends toutefois le pourquoi du Worisjule premier, de me faire vivre, l’aspect de Is, l’aspect de l’inaction totale, maintenant mon âme connais l’aspect de l’idéal, mais je l’espère retrouvera t’elle mon corps de lecteur, bien que j’aie confiance en le maître du mot, je comprends petit à petit que je suis seul face aux événements que je dois vivre l’existence, capable de ne pas être le jouet de mes passions, capable d’être mon propre Dieu, moi, le disciple du livre du pâtre des pâtres, je dois être d’une manière ou d’une autre en devenir le maître, mais mon âme emprisonnée dans l’idéalisme qu’elle m’offre entre les lignes, me font comprendre, que à ce jour, je ne suis pas encor arrivé. Je me dois de continuer cette quête qui m’est offerte, moi, l’âme du lecteur enfermé dans l’idéalisme d’entre les lignes du livre du pâtre des pâtres, cette quête de trouver au fond de moi-même les solutions à mes problèmes, de casser les obstacles que j’ai créé en cette âme, car je suis le maître de mon idéalisme, comme un bébé couvé par ma maîtresse, l’histoire du livre du pâtre des pâtres, je me dois maintenant de dépasser son influence, ainsi m’encrer dans le réel, ne pas me laisser bercer par cette doctrine, qui je le sais me rendrais dépendant. Il faut alors que je me situe dans mon identité, que je canalise cet idéalisme en mon corps de lecteur, afin de pouvoir me dépasser. « Je suis le lucide », mais je suis le lucide bloqué, je vois les réponses, mais je me trouve incapable de les appliqués, peut-être est-ce le livre du pâtre des pâtres qui m’en oblige, afin que je comprenne que d’agir trop vite, n’est qu’une bêtise.
Toutefois, je ne suis que l’âme de mon âme, fait chaire en un champ de glace, mais âme d’unité, ou stagne le positif et le négatif, ou l’océan de ma personnalité est alors unité. Je suis celui qui est, celui dont l’âme vis entre les lignes, mais ne suis-je pas le maudit. Cette question, je ne préfère pas la révéler à mon corps de lecteur, car de par mon âme que le livre du pâtre des pâtres influence d’entre les lignes, cette âme d’unité, celle-ci dans cette aspect idéaliste de lucidité, faire flanché d’une manière ou d’une autre, le retour de mon âme en mon corps, mais peut-être celui-ci en fait est déjà partis, car je suis
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l’homme-dieu de l’unité, dont le sur-moi, sous moi à mon corps de lecteur, vis entre les lignes du livre du pâtre des pâtres, mon sur-moi, dés lors est peut-être la capacité du Yobha de mon idéalisme, et mon moi, m’est peut être déjà, je dois trouver l’ancrage à la réalité, je dois, je dois, je dois…
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CHAPITRE TRENT-NEUVIEME
JERA
Je suis le lucide dont l’âme vogue et mélange ces influences cosmiques, mélange les ondes du divin, avec celle de mon âme, je suis l’unité. L’âme de mon âme fait chaire et corps gelé dans le monde de glace, reviens en luttant fortement à mon corps de lecteur, mon âme incante mon corps, le soumis de mon être incante l’aspect dominant de mon être, je suis l’unité parfaite, l’aspect de l’union homme-dieu au sens totalitaire du terme, je me souvient au profond de l’âme de mon âme que je devais, mais je le sais, je le dois encor, l’incantation est alors la solution. Mon âme incante le divin, incante les ancêtres, je suis le lucide, celui qui communique avec l’ensemble du cosmos, je suis l’unité des liens spirituel, je communique avec l’univers, avec le divin, avec mes semblables, avec mes amis, avec mes ennemis, avec autrui, l’incantation est alors la source de la communication, la communication alors est la source de la rédemption. Je profite enfin de réparer mon futur, je trouve le moyen d’appliquer les solutions que j’avais trouvé et vus du haut de ma lucidité, en tant que âme bloquée au faveur de Is. La communication qui comme la rune Jera, de haut en bas ou entre moi et mes semblables me permet de retrouver le monde réel, me permet de comprendre le sens donné aux mots réels par mes semblables, l’effet de la conscience de masse de la vision de réalité, je sent que mes semblables ne sont que des moutons exprimant cette conscience de masse, je sais maintenant l’aspect du réel, alors j’incante, j’incante, j’incante, pour que cela ne soie pas un oublis, car je crains la réel mécréance de cette conscience de masse. Petit à petit, je trouve l’unité de mon corps et de mon esprit, l’incantation coule à ça source, je communique avec mon entourage qui donne les solutions, je suis l’homme qui vis la résurrection de mon être. Cette communication holistique avec le cosmos équilibre et harmonise mon être, l’âme destinée chaire au monde de glace, n’était pas source de vie, le reste de cette imagerie, est alors, à mon réel, inconscient, l’expression des mauvais aspect de ma personnalité, je suis la prédominance, je suis l’état de plénitude, je suis le maitre du réel car mon secret m’est resté. Maintenant je sais user de totalité afin de moduler la conscience de masse, je suis celui qui incante. La danse de prière pourrais se nommer Jera, cette danse psychédélique qui chante le cosmos, construit et élabores la conscience de masse de la vision de réalité. Cette danse incantatoire, dés lors nommé Jera, est pour moi, le chant de ma communication avec le divin, cette communication qui change le monde à mon bon gré, cette danse Jera, qui pour le Worisjule premier est le livre du pâtre des pâtres, cette danse Jera du Worisjule premier qui communique à mon unité le comportement doctrinal de ma pensée, alors moi, unité de lecteur « Je suis le lecteur qui lis, je suis l’endoctriné, je suis celui qui est ». Après ce monde mortifère que j’ai connu, je retrouve mon être, la lumière divine reprend l’apparence de mon esprit, je suis l’illuminé éveillé des forces de la vie. Maintenant que je suis forgé, mon auras se trouve respectif au autre, ma force me permet de discriminé le pourquoi du comment des choses, du positif et du négatif.
Mon unité à retrouvé l’unité du monde, mon unité a adhérer à l’unité des disciples du livre du pâtre des pâtres, mon unité existe maintenant sans les mauvais côtés de ma personnalité, que j’ai jeté à la mort, mon moi qui m’a porter préjudice, mon moi de vie est mort, afin que je puisse tenir, face à la glace de la détresse et de la misère, maintenant, mon unité rejoint le troupeau du berger, je présage que de cette communication puisse naître une bonne année de fertilité. Ce message divin que par la bonté des cieux
que le Worisjule premier me fait nommer de par ces mots que moi « o unité de lecteur qui lis je suis », lis simplement ces mots descriptif du message que maintenant je le sais, ce nomme « le devoir Worisjulien de Jera », ce devoir, celui de communiquer le livre du pâtre des pâtres aux êtres de la terre,
en adéquation avec le septième commandement Worisjulien nés du Worisjule premier.
Comme je ne fuirais pas au devoir de Jera, je communiquerais au monde qui m’entoure mon point de vue sur les choses justes et injustes, ainsi j’écouterais autrui dont je pense avoir tort ou raison, afin d’enrichir mon être, ma spiritualité est de pouvoir médire sur mes choix futurs, en bon disciple chevalier du livre du pâtre des pâtres. Maintenant, je ne suis plus mortifère, je ne suis plus le lucide voyant qui ne peut agir, maintenant ce nouvel être en moi est nés, cette lumière qui n’as plus de mauvais côté, en un
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sens métaphorique, ce nouvel être qui dans le cercle perpétuel rejettera le négativisme, dans l’éternité à la conquête de l’impossible perfection.