chapitre 4-5-6
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CHAPITRE QUATRIEME
L’APPELLE DE WOTAN
Je me sèche et en suit je me mets un pantalon en jean’s bleu, ainsi que mon bien heureux chapeau de
Paille, car au dehors le soleil brille dans le ciel.
Mon chapeau de paille, est rescapé de la fête des vignerons, je me souviens encor cet instant de bonheur ou je me suis offert une sacrée beuverie, au champagne moet et chandon et château neuf du
Pape que la princesse à bien voulu m’offrir, la princesse de ma vision d’alors, celle de la vision de ma vie, celle qui coïncide avec la vision Baudelairienne de la vie de Bohême.
Avec mon chapeau de paille je décide de partir, en bon berger de l’univers, de partir en montagne,
Afin d’être plus proche de dieu.
Il est dix heure du matin, aujourd’hui je n’ai pas envie d’écrire l’histoire, les runes me disent d’aller
Là haut sur la montagne, tel est ma destinée, que maintenant que mon esprit est éveillé, j’arrive à
Accepter le destin de ma vie auquel de toute manière je ne peux pas échapper.
Je prends un sac à dos, ou j’y mets des habits de rechange et un sac de couchage, le tous est dans
Le sac, je le ferme, j’éteins les lumières, contrôle la cuisinière, me dirige vers la porte d’entrée.
Je sors de la pièce, ferme la porte d’entrée à clef, décent les escaliers, j’ouvre la porte d’entrée,
Je sors, je suis dans la rue.
Je pars gaiement pour un lieu dans la montagne, un lieu que m’ont envoyés là bas les saintes runes,
Je traverse le village de la tour-de-peilz, les hauts du village de Montreux, pour arriver à celui de chernex. J’ai traversé plein de chemin secret dans la campagne, pour arrivé assez rapidement.
Arrivé à chernex, je me dis que rien ne sert de courir, Wotan et ces runes, m’attende depuis si
Longtemps, que il peut encor attendre un jour pour me délivrer son message.
Ce soir je vais aller voir ma chère grand-mère, je vais aller passer la nuit chez elle.
J’arrive chez elle, elle va bien, elle me prépare un repas, il est quatorze heure, nous mangeons
Ensemble.
L’après midi, elle, fait la sieste, moi je reste sur la terrasse à regarder passer les gens sur la
Route que je surplombe de mon regard. Le soir, ma grand-maman me prépare un repas comme
Elle me les préparait déjà quand j’étais petit.
Suite au repas, elle fait la vaisselle, nous allons nous coucher, elle dans ça chambre, et moi dans
La petite chambre du fond.
Je passe une bonne nuit, me réveille vers 5h 30 du matin, je reste couché jusque vers 8 h, ma
Grande maman m’a préparer le déjeuner, je déjeune avec elle, me lave et m’apprête à repartir.
Elle me propose un sac à dos de meilleur qualité, je le prends est lui laisse mon ancien sac en
Echange.
Nous nous fessons la bise, Je la quitte et part sur le chemin du col de Jaman, les runes m’ont
Parler durant la nuit, pour me diriger la haut, j’ai accepté mon destin et part là haut, comme mon
Destin me l’a commandé.
Je monte le chemin pentu, passant par les gorges du chaudron, pour arrivé là haut,
Ou les runes me demandent d’aller, là bas plus haut vers le ciel, probablement pour réservoir et
Interpréter le message doctrinal d’une prière venu du cosmos, d’être en connivence avec mon esprit
D’éveil.
Arrivé au col, les runes m’ont mené au cercle préhistorique, les runes me commandent de m’y assoir
Un moment, ce que je fais aussi tôt, les jambes croisée en position de méditation, j’entre ainsi en esprit
Transcendantal et méditatif, je réfléchis.
Pourquoi l’ancêtre à posé ces pierres, pourquoi les runes m’ont mené ici ?
Je pourrais me répondre à moi-même, que ce cercle à été fondé pour la transse, que les runes m’y on mené afin que je puisse réservoir la doctrine des prières êtres qui on danser avec ma prière, pour me
Mener et venir à l’éveil avec moi, que eux aussi sont partis dans un de leurs sanctuaire réservoir la
Béatification universel ceci au nom de la connivence shamanique universel à la gloire du prophète
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Wotan.
D’autre être, créature, intelligence ont des sociétés ou communauté dans l’univers, la preuve existe
Dans les mathématiques, si l’univers n’a pas de fin, soit qu’il est infinie, tous ce que nous pouvons
Concevoir ou ne pas concevoir, existe forcement soit très loin ou encor plus loin dans un espace
Qui n’a pas de fin.
Le fait que l’homme ne soie pas pourvus de poil, me laisse penser que nous sommes peut-être
D’origine extra-terrestre, l’homme meurt sans ces habits, les autres animaux eux survivent.
Presque une heure c’est passé, j’ai reçu la béatification que je suis venu chercher, je sais
Que ce message est venu à d’autre shaman, d’autre société de l’océan de l’univers, qui sont maintenant avec moi dans le même sens de prières, bien accordé, par le géniastre de l’univers.
Peut-être Odin ou Ogma sont eux aussi venu recevoir une béatification en ce cercle, car eux
Aussi ont probablement atteint, la connivence universelle.
Je sors du cercle prend mon sac qui est posé un petit peu plus loin parterre, je continue mon chemin
Dans le pâturage, afin d’arriver à un second cercle de pierre, qui plus loin, celui là est naturel.
Il fait nuit, je me suis installé dans le cercle de pierre, j’ai fais un grand feu, j’aime bien venir à Psiloc,
Ce cercle de pierre, proche de la gouille de Jaman, qui aujourd’hui était à sec.
Je connais bien ce col, j’y viens assez souvent, je passe de temps à autre la nuit ici.
Je prépare à manger, sur le feu de bois. En attendant que le repas soie chaud, je me mets en mémoire
Le paysage devant moi de jour, je vois ici le paysage du pays d’Eden, cette endroit même ou comme le
Dis la légende, « par le chemin du cercle de Edenwir, sont partis pour le Magreb, Adam fils de quartant
Et primosta Thule et Eve fille de primost et quartana Arien, au cercle de pierre ils ce sont retourné pour
Saluer leur grand père( Patrais en vaudois et Armais en fribourgeois- celui qui à été envoyé du ciel par Yobha-en patois) avant d’entreprendre ce voyage pour un autre monde, où ils pourront alors écrire leurs histoires… » je sors la gamelle du feu, et j’écoute les spaghettis, je rajoute de la sauce tomate et une boite de thon, j’y ajoute également des lapés hachés finement, ces épinards sauvages propres au Guerchmâle( maquis alpin suisse-vaud-fribourg-valais), je réchauffe le tout sur le feu pour ensuite les mangers dans une assiette en plastique. Le repas est bon, je me suis bien nourris, maintenant je vais aller me coucher, j’installe mon sac de couchage dans une bâche au bord du feu, m’installe à l’intérieur de mon sac.
J’ai les yeux fermé et je visualise le paysage de jour, je pense à cette cascade, qui sera demain sur mon chemin, cette cascade qui fait partie de la légende, qui comme elle le dit ; »c’est sous cette cascade du paradis d’Eden, que primoste Arien premier fils de Patrais et quartana Arienne ont conçu
D’amour charnel terrestre et de la magie de leur père hermaphrodite ».
De leurs coïts sous cette cascade, ils ont ainsi donné naissance à une partie de l’humanité, ceux-ci sont transcrits dans le livre qui n’existe pas, ce livre que seuls les sages de la tradition ont le secret.
La légende rapporte que Adam et Eve ont été poussé à l’exile par leur grand père, car ceux-ci voulais redevenir comme lui une bête des étoiles qui de sont voyage très long, est arrivé ici d’une chaire et
D’un sang fait et conserver de magie.
Le vœu de Patrais, la naissance de son gène de l’humanité dans le sens de créatures terrestres,
Que la curiosité et la persévérance à le devenir d’Adam et Eve, de leurs réussites aurais mis ainsi
En péril, c’est pourquoi il leur somma de quitter Eden (actuellement le rocher de naye, col environnent)
Ils ont du ainsi partir, jusqu’en Afrique du nord, en passant juste là ou maintenant je suis entrain de dormir.
Dans mon sommeilles je vis là prière de Adam et Eve, elle me conte et me berce de leurs périples,
Ce périple qui à mis à alors mené la lignée des prophètes sémitiques probablement encor par
Magie comme leur grand père, usant probablement un serpent.
Durant cette nuit, je comprends la phrase de la prière et la vérité de la légende, la réponse au
Questionnement universel m’est à nouveau révélé, comme un miracle venu de l’éveil,
La Kundalini réveillée en mon entité pour rester éveillée à tous jamais comme celle du paupé
Universalis eternel.
Dans ce rêve ou je vis la prière une nouvelle voix s’annonce alors, celle de Odin, fils de Buri et
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Petit fils de primost et Quartana Arien, il me s’annonce comme un vent de prières runiques, qui me
Transporte aux confins de l’espace de mon rêve et esprit, le vent de prière de Wotan, me raconte
Et me transporte sur l’opportunité d’une nouvelle direction m’apportant l’éclaircissement de mon subconscient.
Wotan m’a appelé, Wotan ma bénis de ça prière, ici cette nuit, dans ce cercle de pierre,
Cette nuit le prophète Wotan est maintenant mon guide spirituel, ce cercle le monument de la
Genèse du nouveau départ de ma vie, ma vie de paupé universalis. Le monument de la genèse
De ma quête éternelle de sagesse, du skaldisme, l’art réserver au sage par Wotan, au Arien de
Demain.
La prière m’a bercé toutes la nuit, il fait humide, le soleil ce lève, je range mon campement et part
Sur le chemin, je pars jusqu’à cette cascade, elle m’emplit d’amour et de joie, mais seul pour en profité,
Je continue mon chemin.
Je marche ainsi pendant trois jours, sans carte ni boussole, pendant trois jours, comme cela au hasard,
En restant sur les hauts pâturages, je passe une nuit sur le parvis d’une cabane, et souvent quand j’en
Ai l’occasion je m’arrête pour méditer du haut de la montagne en dominant le lac Léman de ma prière.
Du haut de ces montagnes, la prière est instance, si loin de cette société de mécréance, comme à méditer sous les auspices du calme de la montagne la nuit.
Je vois Villeneuve, ces trois jours de marche et de prière sont bientôt finie, au loin dans le ciel,
Wotan me donne une dernière bénédiction, sous la forme de la vision d’un œil énorme au loin au
Dessus des montagnes françaises de l’autre côté du lac. Cet œil est fait des reflets du soleil,
Ainsi que des nuages du ciel, l’imagination de mon âme illuminée, explique probablement le
Réalisme de ma vision.
Cette vision explique à ma prière, l’érudisme qui s’offre au porte de l’humanité, face à la confusion de
La petitesse du grain de poussière de notre mère nourricière, face àl’immensité et la complexité, du
Royaume que Wotan m’a donné, à moi le Worisjule 1, grand maître et propriétaire de l’univers tous
Entier. Seul celui que l’on ne peut nommer peut alors me juger.
Cette œil énorme, est celui de Wotan, qui me fait comme un dernier clin d’œil afin de m’affirmer mon
Eveil conséquence de la réussite du dessein des runes.
Cette œil j’en ai compris la prière, alors que dans la pièce, j’étais plongé dans ma méditation, que en
Projection astral en corps de rêve, je suis plongé dans le monde de Yggdrasil, dans la source de Mimir,
Au bas de la racine de Yggdrasil.
Je suis rentré dans le territoire spirituel sacré de Woden, en usant des hallucinogène, méditant sur cet
Objet de fantasme, cet arbre que j’ai fabriqué dans la pièce, afin de pouvoir partir dans cet au-delà,
Chercher l’œil de mon ancêtre, qui jadis, j’avais jeté, afin d’augmenter ça sagesse et ça puissance.
Au travers des siècles et des millénaires, Odin à enfin grâce à moi le paupé universalis, pus retrouver
Son œil, car en mon rêve je suis remonté le lui le ramener, d’il y a très longtemps.
La dignité de ces deux yeux je le lui ai ramené, ainsi Odin maintenant me guide et me guidera mes pas,
Ainsi les guidera bien, maintenant je me confirme sur le chemin de mon destin, cet œil me le confirme,
Je suis bien l’être tant attendu du dessein des runes, le paupé universalis.
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CHAPITRE CINQUIEME
LE RETOUR A LA PIECE
J’ai fini cette longue promenade dans les Préalpes suisse, je suis retourné dans la pièce.
Je suis dans la pièce, le centre nostalgique de l’univers, j’appel mes chats, « Grand directeur
Chat noir, princesse Nelly », je m’écrie.
Grand directeur chat noir, n’est plus là, seul princesse Nelly répond à mon appel, je regarde par
La fenêtre et je me dis qu’il a dus partir parce que avant d’aller en montagne, là gérance m’avais
Demandé d’enlever la planche, qui leur permettais d’aller ce promené sur l’immense toit devant
Ma fenêtre.
De plus les doses quotidiennes qu’il avait mangé de datura, bien que je lui aie dis que ce n’était
Pas bon pour lui, lui avais probablement apporté quelques sentiments de toutes puissances,
Ces sentiments, lui a probablement donné le courage et l’idée de sauté par la fenêtre, bien que
Ce soit assez haute pour un petit chat, il n’y a pas de cadavre en dessous.
Princesse Nelly, elle est là, elle me miaule, afin que je lui donne à manger, je vais à la cuisine et
Le fait.
L’obscurité au fond du paysage alpin que je vois par la fenêtre tombe gentiment dans l’obscurité,
De mon regard, je la vois manger les derniers rayons du soleil, je me métamorphose psychiquement,
Elle ce terminera demain alors qu’un nouveau soleil mangera l’obscurité au matin venant, ce nouveau
Jour alors s’éteindra pour donner naissance à une nouvelle nuit, à chaque nouveau cycle de jour et de
Nuit, je me transforme en roi du soleil le jour et en roi scorpion la nuit, pour moi le paupé universalis,
Ces cycles sont une simple modalité journalière de fonction royale.
Pour les gens, l’univers et l’infinie, m’appartienne car je suis maintenant le maître et dirigeant, je suis celui qui, était, est et sera, je suis l’image de la clef de la sagesse.
Oui pour toi mécréant, toi qui vois ma grandeur spirituel en ton cœur, toi qui à compris comme moi,
Que nous sommes tous deux simples grains de poussière en mon royaume, l’infinie, oui pour toi
Je suis le grain de poussière de la toute puissance, tous ce qui peut exister ou fabriquer en ce monde
M’appartient, car je suis le paupé universalis. En mon cœur le grain de la compassion du Worisjule
Premier est alors né
Je suis là, de retour dans le centre de la pièce, dans l’ordre du centre de l’univers, le connu est l’inconnu est sous ma gouverne.
La nuit trône, sur la partie de la graine de poussière de notre planète dans ma propriété, l’univers,
Cette terre notre mère, celle que Monseigneur et maitre de la danse des mots de Baudelaire aurais
Nommé du paraphe de Cybèle, sans faire d’anathème à la courtoisie.
Mère lune en le ciel, me chante une berceuse, peut être que ce soir, je vais mourir.
Les étoiles clignotent, je sens le poison en mon sang, Hel, je te connais, car les poisons de Cybéle
Cours en mon sang et me mène à toi. Les étoiles clignotent, jouent à venir et disparaitre, cette danse
Quel font dans le ciel, je sais pourquoi elles le font, elles sont les astres de mon chant, je fume le poison suprême du scorpion de paille.
Je pense cette nuit, encor au désastre, que la mécréance cause à la nature, à l’aire que nous respirons,
L’aire que moi aussi je respire. Cette mécréance qui ce répercute sur ma demi race, sur ce monde Arien, ce monde que je regarde, je me pousse vers la morte, Hel, juste par acte de nonchalance,
Par manifeste qu’autrui m’impose dans mon incarnation terrestre, par ces actes de mécréance qu’il
Soutient comme vérité. Oui autrui, j’éprouve une haine terrible contre toi et ce que tu fais, dis.
Cette haine que maintenant je maitrise grâce à mon nouvel esprit éveillé, les drogues elle m’inflige
Ce que je devrais t’infliger.
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La haine qui toutes ma vie à fait partie de mon sang, la haine qui est toujours là, la haine qui
Sera en chacun de mes mots, la haine qui poussera mon fantôme à te poursuivre toi et ta
Famille, autrui, car cette haine c’est moi.
Comment faire pour que je puisse vivre sans que la haine que j’ai pour autrui, ne me ronge,
Comment faire pour que la haine ne me détruise pas, sans jamais atteindre mon ennemi, autrui.
Tuer autrui avec une arme, ou lui tordre le coup afin d’être digne devant Wotan le jour du sans lendemain, est forcement une solution, sauf que autrui est comme les gens il est nombreux.
Vivre dans un espace libre avec autrui et l’esprit enfermé par la haine, ou vivre dans un espace
Enfermé sans autrui et l’esprit libéré.
L’éveil m’apporte la force de surpassé la haine, mais la haine est toujours là, la drogue est sont
Garde fou qui me punis de la crainte de l’enfermement que m’imposerais les gens si j’en venais
à accomplir ma responsabilité de te délivrer de la vie autrui.
La drogue m’inflige sont châtiment, elle me met sous les auspices de Hel, qui ne me sent pas
Assez sage pour me délivrer de la vie. Mais Hel est sainte elle me couvre de ça cape afin que
Je n’aie à devenir comme autrui, pourris par l’indignité.
Dans la prière je trouve la réponse à cette fuite de ressembler à mon ennemi autrui, la drogue
Me berce à la mort comme un bébé, et la prière me répond par la prière de Kali, le Kaliman
La chante et la haine se transforme en doux sentiment de bien être, d’amour et de mort.
Kali humble divinité, la prière ma répondu par toi pour que je puisse vivre sans subir
La haine pour autrui, oui prière dicte moi le chemin de la vengeance, dicte moi un châtiment
Pour autrui qui ne mette me libérer de mouvement en péril, si j’assassine autrui, les gens
Auront peur de moi et s’acharnerons sur moi comme des brebis galleuse.
La prière prend alors une forme de vie, la vengeresse en son centre me chante une douce
Mélodie, cette mélodie m’initie à la patience, à l’art de maudire, ainsi qu’à l’art de concevoir
Le dessein de la vengeance.
La prière alors insiste pour que je pratique le souffle initiatique en elle, que j’use d’elle pour
Agir dans la légalité.
La prière est maintenant devenue pour la conscience le dessein de ma vengance, elle se propage
Comme un virus social dans l’océan de la conscience collective.
L’histoire, elle, est l’expression humaine de la prière qui maintenant ce protège par le dessein
Et la prière de ma vengance.
La prière est la réponse au blasphème d’autrui, chaque-un de mes mots et caractères sont maintenant
Au sens obscur voulus pour nuire à mon ennemi.
Que mon ennemi pourrisse de la misère, répètes sans cesse l’écho de ma prière. Autrui pourrais
Etre mon père, celui qui à planter le fruit de ma vie, je loue les anges bon et mauvais, pour qu’autrui
Cesse de ce prendre pour quelqu’un de bien et utile, je loue les anges pour qu’il cesse de ce croire
Plus haut que les autres, je loue les anges pour qu’il quitte ça mécréance et voie la vérité qu’il
N’est qu’un grain de poussière, comme toutes à chacun, enfin je loue les anges pour que ce jour
Il puisse voir de ça conscience la blessure éternelle de mon cœur, qu’ainsi le visage de ma souffrance,
De ma haine, en l’expression de ma prière, lui glace t’alors le sang, lui infligeant ainsi le châtiment
De ma vengance par une longue souffrance éternelle à lui et à ça famille.
Ce microscopique grain de poussière qu’est autrui, et ce grain de poussière qui comme la goute d’eau
Qui fait déborder le vase est de trop, autrui est l’ennemi, et blaiser l’ennemi c’est bien, mais le tuer c’est
Mieux.
L’ennemi ne sera jamais comparable à la beauté de la vie, l’art vaudou lui mène ma prière dans ça vie,
Car Oô ennemi, dans ce rêve de don de chance, que la vengeresse me berce de vents différents,
Tu n’es rien qu’une souillure et une insulte à la vie, oui mon ennemi je te maudis, afin que toi aussi tu
Puisse vivre avec cette haine que tu m’as apportée. Si tu ne peux t’arrêter ta déchéance en mon encontre, toi mon ennemi, alors probablement nous danserons ensemble un jour, sous l’acre de
La souffrance, sauf que en l’histoire que c’est moi qui écris, je suis l’envoyé de Yobha, pour te
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Mener à la délivrance de tes pêchers.
Maintenant que je cesse de concentrer mon attention sur le clignotement des étoiles, je le sais,
Un jour autrui me remerciera d’avoir battus ces pensées par le vaudou, car grâce à moi, je l’espère,
Autrui trouvera un chemin digne de ces ancêtres. Ainsi dans l’avenir, la souche maléfique de
Autrui détruite, une nouvelle partie des gens, ira dans le bon sens, celui d’homme fier, ayant
Une descendance d’enfants qui ne feront pas semblant de les apprécier, voir de les aimer.
Cette réflexion méditative me pousse à tomber dans mon lit, d’un coup je me retrouve dans le sommeille, je suis endormis dans l’évanouissement du poison suprême. Une trentaine de minute
Plus tard, je me réveille de mon coma, une bougie flambe sur le parquet, elle est tombée alors que
Je m’évanouissais. L’esprit étourdis et anéantis par les drogues, je trouve la force nécessaire, à me
Lever pour éteindre ce feu. Encor une fois, j’échappe à la mort, je suis presque malheureux de m’être
Réveillé, tellement le discoure que je viens d’entreprendre avec la morte, m’a rapporté le réconfort
De ça douceur, toutefois les esprits veillent sur moi, je suis le bienheureux.
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CHAPITRE SIXIEME
AUTRUI
Autrui, n’a jamais été dans la pièce, il n’y a pas le bienvenu, et il n’y viendra probablement jamais de son vivant.
Le jour de la délivrance à la vie autrui, son esprit sera capturer par ma prière, elle l’emmènera dans
La pièce, qui ce montrera macabre. La pièce aura pour lui une apparence macabre digne de l’imagerie
De Cocteau, une pièce théâtrale où il sera et restera prisonnier. Les ancêtres ou moi-même quand je
Serais né dans l’au-delà, viendront ou je viendrais à lui, mettre les regards à ça pièce afin que ceux-ci
Le juge. Oui je hais autrui, d’une façon qui n’a rien de personnel, je n’aime personne, même pas ma
Propre mère ou peut-être moi-même. Pour moi l’amour n’est que la conséquence de la projection du
Charme fleuris, la haine, elle, n’est que l’ego de ce charme.
Il est possible qu’autrui, détermine le sentiment d’amour, différemment. Il est possible que autrui,
Réfute que le sentiment d’amour est une émotion née d’une péjorative de frustration sexuelle,
Qui quand elle le touche en son cœur, ça frustration l’oblige à cacher cet immaturité sous le voile
Du mot d’amour, ce reflet de sexualité mal gérée, d’un besoin que autrui mon sujet, développe
En son esprit, comme un besoin sexuel vital (comme d’aller uriner), cette conception des choses ce développe en son esprit, rend le sujet dangereux, ainsi l’oblige à la Bâtardise, celui-ci alors soit
Ce reproduit de façon étrange (bâtardise), soit continue son chemin de débauche sexuel. (Pédophilie, etc...) Quand j’étudie le sujet d’autrui et que je le compare à mon étude sur le sujet de la prostitution,
Je vois en la femme qui fait le plus vieux métier du monde, une jante féminine dévouée à la cause de
Autrui, le véritable leitmotiv de ce métier social, est la guérison de autrui, car comme il fait partie de
La tribu il faut aussi aider le plus faible, ne pas l’accabler, ces femmes sont dévouée à l’empire cosmique, ainsi elles sont poussée à aider autrui à dépasser ça bassesse mental, comme sont cas
Est difficile elle demande un lucre en guise de payement.
Autrui est là, bouche bée, il n’est pas dans la pièce, le centre de l’univers, nous sommes assis ensemble au bord du lac Léman, nous allons parler de ces problèmes sentimentaux, je lui demande,
Si il à déjà vus le dragon du lac Léman, le sodomiaque gomorus. Si il l’a déjà vu faire un bon, au dessus des vagues, autrui me dis que non, qu’il avait déjà entendu parler de la légende des pâtres, que il
Avais longtemps regardé le lac avec ça camera mais sans y être jamais arrivé. Il me dit encor qu’il est
Heureux d’entendre ma palabre, mais que là il est bouche bée.
Il me dit du haut de ces problèmes psychiques, « tu es fou berger de paille, tu es un schizophrène
Trisomique, un dédain, l’humanité est faite pour s’accoupler en une bâtardise gigantisme, tu es un gros
Pd, une petite merde, etc, etc…, le langage du peuple d’autrui est très spécifique à ça personnalité, il
Faut régulièrement prendre en compte ces problèmes, ne surtout pas le gazer, car autrement cela
Déclenche une catastrophe planétaire.
Autrui ce lève, et s’en vas sous le soleil qui brille et tape assez fort, autrui à l’aire un peu fâché, il
Blasphème sur l’un des noms de Yobha, il chemine, à coté de lui passe deux filles qui font du patin
A roulettes.
Je vais me baigner sans crainte du monstre du lac, le sodomiaque gomorus, il doit être très profond
Au fond des eaux, il à peur des touristes. Sur le moment, je ne comprends pas pourquoi autrui est
Fâché, as t’il une raison de m’en vouloir, peut être ai-je vraiment envie de l’enculer un jour en baisant
Ma copine blonde avec qui il dort, peut être que je suis Pd en ce sens, je ne sais si je peux être capable
De bander devant un cul d’homme.
Je nage est je repense au phrase de autrui, mon sujet, c’est vrais que je lui ai fait boire de l’acide à
Robinet. Son cas est un bon sujet d’étude.
Bien que l’homosexualité vienne d’une déformation physique, un chromosome de trop pour certain,
Ces gens sont comme toi si tu étais nés avec un doigt en plus, à ma connaissance, je ne suis pas touché par ce mal, peut être suis-je toutes même un peu au fond de moi, une merde qui cherche
A enculer ces amis, et peut être voilà pourquoi je n’en ai pas.
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La sexualité est un besoin primaire de reproduction, la doctrine erronée pousse le sujet,
A sortir de la doctrine puritaine au sens propre. Le subconscient du sujet mets alors
la doctrine erronée en devant, comme étant primaire et puritaine, cet acte de conscience est
Professée par l’endoctrinement massif qu’apportent la technologie, les voies spirituelles
Nouvelles sont apportée massivement au sujet, celle-ci sont majoritairement négative,
Ceux-qui la professe émane la négativité, souvent inconsciemment, ces gens sont dangereux.
Petit, j’ai été touché par l’homosexualité, alors que j’avais régulièrement des relations pré-pubères
Avec l’un de mes ego-féminin. Cette chose m’est arrivée, car petit garçon et suprasensible à la prière,
J’ai été guidé par cette force doctrinaire erronée, à sortir de mon contexte initial défendue par la
Doctrine sainte. Cela m’a causé de nombreux troubles, des plaies qui ne guérirons jamais, l’ancêtre
M’a probablement guidé à cette acte, car étant nés sorcier, il est de ma mission de protéger la saint
Prière, d’éloigner de mon espace vital, la résonnance de la prière erronée, par la même le vieille adage,
« Ne critique pas se que tu ne connais pas », me donne une raison à l’écoute de l’ancêtre.
Odin le borgne est grand, il est vaillant, il est eternel, son influence est dure avec les guerriers, afin
Que ceux-ci puisse être vainqueur au combat, l’essentiel du combat actuel est dans la prière,
Odin m’a pris sous l’aile gauche de Huggins et sous l’ail droit de Muggin, je dois vaincre l’ennemi,
Blaiser l’ennemi c’est bien, le tuer c’est mieux.
J’ai maintenant finis de nager dans le lac, je suis sortis de l’eau, je me suis séché, je suis couché sur
Mon linge au soleil, je continue ma réflexion, cette relation sexuel homosexuel est venue à moi, par la
Faute de autrui, ça prière malsaine en est la cause. Autrui est l’ennemi, blaiser l’ennemi c’est bien,
Le tuer c’est mieux, tel est la voie du sage.
J’ai fini par me faire une raison sur autrui, cette phrase de blasphème qu’il me destinait alors,
L’expression du dessein que me réserve la doctrine erronée, il me destinait le transfère de ça
Personnalité, je suis probablement pour lui l’image d’un phantasme, de ce faire prendre par
L’ego racial de ça copine. Pour lui je suis l’image et le reflet de ça personnalité profonde,
Probablement comme l’arbre de la pièce.
Est-ce que mon sujet d’étude vas t’il devenir homosexuelle, s’introvertire dans la doctrine erronée,
Autrui est actuellement au stade de M.P.K., le stade ou l’être cherche à ce reproduire absolument
Avec une autre race que la sienne, il fantasme comme un cochon sur le cul des blondes.
Vas t’il passer le cape de l’homosexualité, plus tard celui de la pédophilie, comme bon nombre
Des sujets d’archétype. Qu’il devienne homosexuel m’arrangerais bien, comme cela il ne dérangera
Plus la reproduction du peuple de la race Arienne blonde. Qu’il devienne pédophile par la suite est un
Problème plus grave, car il va le faire avec d’autre espèce que la sienne dans des contrée lointaine
La plus part du temps, cela ramène de nombreux problème à l’humanité. (Conflit, vendetta,…)
Dans les trois cas, le sujet, peut aller dans un sens différent.
Sur le sujet de la pédo-criminalité, l’état, protège autrui, plus qu’il ne les blâmes, l’état, vas même
Jusqu'à aider ces gens à ce regrouper, afin qu’ils puissent affirmer ensemble leurs dessein maléfique,
Leurs maladies, qui plus est que les réseaux pédo-criminelle sont faits en partie de gens d’état.
Le fonctionnement d’état est bon quand il est en son contexte primaire, celui enseigné dans les runes
Par Odin, le contexte actuel est mauvais.
Pauvre autrui, je l’ai toujours trouvé sympa, toutefois je ne peux lui donné ma pitié, cette créature
Apporte un tel dérèglement aux naissances ariennes, pauvre autrui, j’ai beaucoup de compassion
Pour lui, je le garde en mon cœur qu’il blaise, comme toutes autres créatures de Yobha, ma prière
Lui est dévolue, pour qu’il abdique, ma haine est l’aboiement du chien qui le repousse à son troupeau.
Ca véritable délivrance est qu’il se pende, afin de ne laisser trace de son passage macabre en la vie,
Afin de réparer ces erreurs qui sont grave au plus haut, la meilleure chose à faire c’est qu’il s’efface
A la grâce du pendu afin d’atténuer et d’éteindre définitivement toutes trace de ça doctrine erronée.
En lisant la profondeur de ma doctrine, dont il ignore le génie, il viendrait probablement me proposer
La paix, sous couvert de ça raison erronée, mais la paix n’est possible uniquement si il abandonne
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Ces contextes nauséabonde est destructeur, sur les espèces autres que la sienne.
Autrui est l’ennemi, l’ennemi dois impérativement être détruit, Wotan n’accord pas ça
Grâce à ceux qui abdique devant la doctrine erronée, cela engendrerai une faiblesse
Au sage et à leurs prières.
Peut être que je dois délivrer autrui de la vie par la force physique, afin de réaliser le dessein
Qui m’a été donné par Wotan, celui de délivré l’univers des pêchers du monde.
Toutefois un acte isolé resterais sans conséquence, la solution ce trouve en la prière,
L’élément doctrinal de l’histoire.
Au fond de moi, je sais que se serais une bonne chose de lui donner de la poudre de Zyklon B
En guise de cocaïne comme grand papa, mais l’aspect de la prière alors jouerais contre moi,
L’homme dans la souffrance engendre la prière bonne ou mauvaise d’une intensité plus forte,
La preuve en est l’histoire. Oui autrui face à ton dessein, l’unique chance de paix entre toi et moi,
Et de celer la paix qui est la mienne, les ambitions de ton œuvre sont bien trop destructrice.
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