Entreprise le pâtre le Worisjule 1

Chapitre 39-40-41

 

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CHAPITRE TRENT-NEUVIEME

 

UR

 

Maintenant O lecteur, que tu as lu les mots de l’Ode à Freyas, comprends alors cette rune qui viens

de l’ancêtre et vas par la même apporter le message des Ariens et de ceux qui suive les mots du maître

du mot, le Worisjule premier. La sentence de Ur, la haine du berger, que dans l’éternité soie rappeler le Martyre au saint-lascar, le Urien Arien, afin que tous les disciples du livre du pâtre des pâtres, se rappelle de l’ordre de Yobha, de l’ordre de l’hygiène racial. Le deuxième commandement du worisjule premier le rappel alors, à l’âme purifiée par les mots du maître du mot, que dés lors il est important à l’être de faire attention à la continuité des sangs dont le siens, la continuité de ta race et de ton ethnie

propre, doit être chère à toi-même. le Urien arien de part son suicide, pour n’avoir pas supporté cette

mécréance, cette bâtardise que durant le temps de ma jeunesse ainsi que dans mon maintenant est

considéré par autrui comme quelque choses de bien. Mon espoir reste que son suicide ne reste pas inutile à la cause, que les ariens de demain, mais aussi les humbles qui auront choisis le chemin du livre du pâtre des pâtres comme référence, choisiront en souvenir du martyre de faire attention à la perpétuation de leur race et de leur ethnie propre, ainsi condamner les mélanges ethnique pour leur

enfants et l’avenir des homme de demain. La haine du berger place les malédictions du Worisjule premier en la rune de Ur, qui toucheront ceux qui se rendront coupable de ce genre de crime contre

l’humanité, dans un délais de milles ans au minimum, sur eux, sur leur famille, jusque au jour ou les fils de leur fils auront racheter leur sang, ou que l’un des fils aye la volonté d’aller dans le bon sens.

Toutefois la malédiction touchera le coupable jusqu’entre les morts, ainsi que sur ces propres parents,

si ceux-ci ne se repentisse pas au sens racial de la mère. Seul le Worisjule peut émettre une close de

repentissement, sur l’assentiment des cieux du Urien Arien, qui fait le voyage entre Odin et l’ancêtre et la terre notre mère ou je vis, moi le Worisjule premier, ainsi qu’au Worisjule prochain.

Rune du printemps, Ur met en garde de l’hygiène racial au début du printemps, Ur met en garde de l’extinction des espèces au début de la saison des amours, avant que la fatalité de ce que l’on ne veux acquérir en notre bonne volonté décide de notre destin, à un choix que moi le Worisjule premier, t’ais

alors offert comme un secret. Après les forces de l’intensité, de la virilité que cache Foeh, celle du divin

Freys, Ur continue l’initiation de l’Ode cachée au dedans de ce temps de rêve. la force alors lente et lourde comme le bœufs virile, ou alors combative comme le taureau, Auroch naît en mon sain, l’indomptable Auroch, par le Urien arien le céleste communique avec le céleste, les forces pénètrent

mes énergies et ainsi le centre de mon Tantra. l’orage, la pluie, la colère, sont alors ces réactions,

de cette énergie divine, la haine du Berger se transforme en l’amour dés lors que c’est pour ça femelle.

De cette haine transformée en amour, puisse naître le fils du furieux, sacrifiant par la même ce combat

au moment ou celui-ci est gagné, sacrifiant le taureau pour en boire le sang afin de régénéré la combativité en le sang de l’être pour les combats prochains. Dés lors que l’étape de Ur, est dépassée,

l’homme à ça place dans l’ordre de l’univers, il est l’axe cosmique de son équilibre propre. Par Ur, voilà

comment je suis devenu le maître du mot, le Worisjule premier. Vili la volonté est alors forgé en l’homme, il c’est le chemin de Vé le sacré, rappelant alors le premier commandement du Worisjule premier, celui du respect du sacré, dés lors l’homme forgé et l’imagerie du sacré, étant le passage

du vide de l’existence, celui du baptême divin entre l’enfance sacré et la vie sacré au bute de l’être,

au but de l’adulte responsable, celui qui par exemple passe le passage du livre du pâtres des pâtres.

Le baptême divin vient à l’homme quand il choisit pour certain douze ans, pour l’autre soixante neuf

ans, pour d’autre encor cent fois une vie. Mais une choses pour celui qui as compris le secret du baptême divin, par Ur de ce faire alors posséder par l’ivresse d’or que peut causer le poisson suprême

de la possession. L’imagerie du Urien Arien, est comme si celui-ci à dés lors pris ma place, à moi le

Worisjule premier, afin que je ne me suicide rituellement, que j’accomplisse le travail, et guérisse ces

blessure, qui en ce monde n’étais de toutes manière plus supportable pour lui. Ainsi au monde de la fée

marie-jeanne, celui-ci comprenne que son acte n’as pas été vain, que moi le Worisjule premier, de part

le livre du pâtre des pâtres, ils puissent comprendre, eux viles créatures de mécréances, que le mal

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est en eux, ainsi par le biais de ceux qui suivront la discipline du livre du pâtre des pâtres, son nom

est ainsi inscrit en l’éternité au rang des martyres de ce début du nouveau millénaire, et que la haine

du Berger persiste contre les coupables, durant l’avenir, par le biais de leurs responsabilité, eux qui

suivront les commandements du Worisjule premier, je lis « je le ferrais moi o lecteur qui lis, je suis ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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CHAPITRE QUARANTIEME

 

THORN

 

 

Après le baptême divin, viens à l’homme suivant son espace temps, dans lequel sont rétribuées les runes, gardant l’aspect de cette textuel sous forme de contes initiatiques. Comme le géant, l’homme devient conscient de ça place de dominant dans son caste. Là viens Thorn, la piqure du scorpion, au sens malédicte du terme, l’homme alors prends conscience de son état d’être carnivore, son anima, alors ce fait sentir, viens alors le moment du conflit interne entre le moi pacifique et le moi vengeur,

instant de la vie intéressant, les multiples tête du géant se relève et se mangent entre elle. Le chemin de Thorn, se trouve, dans l’équilibre, la recherche de la ligne Yodenpotiste du Ich Bin. L’homme devient

alors froid et son cœur se durcit, loin des influences maternel, ce qui le pousse à renier les aspects

pacifiques de ça personnalité, comme quand tu choisissais le chemin de ton secret, toi lecteur qui lis

« je suis », l’homme se trouve sur la tentation du mauvais choix et de l’envie d’être, comme l’on pourrais

dire Zen, là se trouve le chemin de Thorn. Thorn au sens du Worisjule est dés lors l’étape entre la vie sera un enfer, ou en l’éternité, l’homme ou toi o lecteur qui lis « je suis », serais piquer dans l’éternité.

L’homme ou toi lecteur qui lis « je suis », serais piqué dans l’éternité par l’épine de Thorn, le dard de la

malédiction, ou du bon chemin de vivre en harmonie avec sois même. Le troisième chemin est celui du mystère, mais aussi celui des castes ors normes, tel que, caste Imamologique, druidique, comme le chemin de l’indécis ou celui du simple aventurier, sur ce chemin, les malheureux peuvent être pire que

les douze malédictions proférée par le Worisjule premier et le bonheur, meilleurs que sur le chemin zen,

en même temps, le chemin de Thorn peut si trouver, tous comme le chemin du maudit. C’est un peu en cette rune que se trouve le combat entre le bien et le mal, sur ce chemin on vécu les prophètes, sur ce

chemin on vécu les fous sanguinaire de l’histoire, sur ce chemin ne vis aucune règle, mis à part celle du

jugement divin, qui pour toi se trouve, o lecteur, sous la bénédiction de mon livre et de moi, le Worisjule premier. En Thorn, il est bon à l’homme de renier ces mauvais côté, pour certain le mauvais côté de l’autre et le bon coté de l’un, mais reste le fondement suprême, celui de Yobha, ou de ça définition indéfinissable, où règne les règles suprêmes dont celle de l’hygiène raciale. Citant la Strophe quarante

du Havanmal ; Neufs chants suprêmes, j’appris du fils renommé, de Bolthorn (épine du malheur). Et je puis boire/ du précieux hydromel (de la connaissance). C’est le moment ou le batard affirme que ces parents son atteint d’une maladie des géants, c’est la rune de la maîtrise de la magie noir et de son utilité. Cette rune explique à l’homme l’obligation de ne pas laisser transparaître ces faiblesses au monde, pour ne pas finir pendus. C’est la rune qui oblige l’homme à ne pas plier aux influences négatives que la femme lui apporte de par ça faiblesse. la malédiction sur Thorn, à certain risque d’égocentrisme grave, comme l’homme fessant sortir et déboucher ces canaux de l’énergie Kundalini. Mais la rune Thorn, si la piqure du scorpion malédicte juge l’homme comme apte à poursuivre son chemin dans le bonheur. Thorn est une rune de renouveau, sur les ruines de l’ancien, au sens de la formule FUTHARK, Thorn, casse les mauvaises influences de Foeh et de Ur, naquissent dans un élan

d’impulsivité qui leur font acte. Thorn est également rune du savoir primitif, un peu la rune du baptême des runes, la rune de la confirmation runique, pour la suite de son chemin. Thorn la rune des illusions

magiques dont ces matières, les runes et la poésie, Thorn du don d’Odin, la malédiction de Thorn est

l’extase de celui qui nage dans le bain du butin d’Odin. Si l’on doit donné un sentiment à cette rune,

alors ce serais celle de la morsure du froid, cette image dés lors exprime le sentiment de la piqure de

Thorn, piqure du jugement du dard du scorpion malédicte. Cette piqure alors explique à toi, o lecteur

qui lis « je suis », la nature du combat de Thorn, sur le chemin du maudit, le maudit se trouve comme le vaincu, que les effets de Thorn, continue son combat, ainsi l’homme vaincu, sans arme, subis ça punition, celle que dés lors l’on peut nommer « la punition de Thorn naquis du Worisjule premier.

Sur les autres chemin, ton devoir et de combattre au nom de Thorn, de l’égoïsme et de l’égocentrisme,

afin que Thorn le protège, tandis que sur le chemin du maudit, Thorn pique sans arrêt jusqu'à ce que

mort s’en suive, afin de protéger ceux qui combat sur le bon chemin. Le combat est de ne pas se laisser

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aller sur les mauvaises influences de Thorn.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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CHAPITRE QUARANT-UNIEME

 

AS

 

 

Toi O lecteur qui lis « je suis », et moi le Worisjule premier, le maître du mot, avançons ensemble

sur le cycle du sentier initiatique des runes, un peu comme si le cycle perpétuel du serpent qui se

mord la queue, ensemble moi ton guide te mène sur ce chemin qui dés lors ta compréhension

de la nature de mes textes, deviennent pour toi, le secret de ton propre choix.

As est la consolation des sages, celui qui à passer le jugement de Thorn, devient le vieille Odin,

celui-ci devient alors prince et seigneur, la vie alors devient à lui agrémenter de joie.

L’homme n’est plus homme, mais maître doué des consciences des passages qu’il viens d’accomplir,

dés lors ça tête et les secrets de son psychisme, tombe sous la gouverne du prophète Wotan.

Le secret du mot science devient à l’homme un mot de vie, il comprend alors un sens au terme de science magique, ou science de YOBHA. L’initiation de As est le don du verbe créateur, du mot de compréhension universelle, l’éloquence alors est née en l’homme, l’homme à dés lors pour butin d’Odin,

de perpétuer d’une manière ou d’une autre les accomplissements de ces ancêtres.

Toi, O lecteur qui lis « je suis », au nom de la discipline doctrinale du Worisjule premier, ainsi que au nom du premier commandement Worisjulien, par acte sacré, tu perpétueras d’une manière ou d’une

autre le livre du pâtre des pâtres, ainsi tu payeras le fait de ta bénédiction qui te protégeras si tes intentions son pure à la continuité de ton initiation sous ma bénédiction, ainsi que sous la bénédiction

des Pâtres et des Armais, ainsi tu sera l’œuvre du butin du Worisjule premier.

par le respect du quatrième commandement du Worisjule premier, donc moi le maître du mot, tu ne renieras pas tes ancêtres, ainsi au nom du respect du Worisjule premier, tu perpétueras au même titre

que le livre du pâtre des pâtres, la culture ancestral de tes ancêtres, cet acte sera ta part du butin pour

vivre l’usure de la sainte discipline du Worisjule premier, que tu pourras élaborer sur la perpétuation de

ta culture propre, en vue de ça perpétuation après avoir perpétuer le livre du pâtre des pâtres.

As est la rune de la responsabilité sur le chemin de l’initiation des runes, par As l’homme devient celui

qui franchis le premier pas du maître de ces choix, maître de son propre destin.

Au sens du cycle perpétuel du serpent qui se mord la queux, en cette espace temps perpétuel, qui dés

lors est le tient, c’est le moment ou tu franchissais, le pas du chemin de ton secret, en un sens métaphorique de renouveau. As au sens malédicte du terme est le verdict du jugement du maudit, la

rune Yobha’s est le symbole du jugement divin. As au sens de la formule ésotérique FUTHARK, exprime cette phrase du dis de Sigrdrifa ; si tu veux en sagesse quiconque surpassé, les interpréteras,

les gravas, les conçus, Odinn.

As est le début de celui qui est bénis des cieux, pour comprendre et user des saintes runes du prophète, peut-être que pour le maudit que les runes cautionnent quand même leur propre usure,

peut-être que pour le maudit, des runes, il s’agit de trouver le chemin du rachat de ces fautes,

peut-être que pour le maudit, As est la chance de trouver un jour, le pardon du Thing des trois nains,

le rouge, le vert et le noir, que j’ai fait rencontrer en ton âme, qui étais chaire en l’histoire, toi lecteur

qui lis « je suis », car eux seul, joue au dés de Thing, durant l’éternité. Ainsi, ils sèment le destin sur

les trois chemins du Worisjule premier, ceux-ci sous la bénédiction de la rune de As. bien entendu,

ces trois nains concerte au bon jour les trois Nornes, et dans leurs jeu de dés, ils ne font que donné

du piment aux disciples du livre du pâtre des pâtres, dans leurs cours de vie. As est pour l’homme

la quête du spirituel, l’espace temps méditatif et ça conscience, As est la définition du divin, As est

la conscience collective, As est un peu à l’image d’un ermite social, ou la carte du tarot de l’ermite.

As, sur le sentier des runes, est le moment ou l’homme, après ces déboires de la révélation de son

Anima et des différentes faces de l’expression de ce côté de son être, trouve alors ça place en la société, ça place en totalité. As est aussi l’inconscient de l’esprit, l’étendue désert, l’étendue à perte de

vue, de notre conscience, les milliers de mémoires, non utilisée de notre esprit, guidant l’infime partie

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du conscient, qui fait notre être au regard des autres. La méditation sur la rune Yobha’s, est celle

de l’exploration du subconscient et la rune du plongeon dans les mémoires akaschiks, As la rune

Yobha’s dans l’esprit, As la rune du surmoi, As la rune du développement du tétane.

A mon sens, moi le Worisjule premier, l’usure de la rune de As pour la guérison des problèmes spirituels, comme les personnes étant crochée à un problème de drogue, ou ayant des effets secondaires psychique de l’une des nombreuses drogues, la solution se trouve alors pour ça

guérison en la rune de As. la rune de as peut également aider, voir guérir, les personnes, touchée

de symptôme poste traumatique, ou les personnes sous le choc émotionnel. As peut aussi être la clef

de l’être suicidaire, ou de l’être reniant la société, en mal grés de ne vivre qu’en méditation, ainsi que la clef de la sainte folie. As est alors le précurseur du travail ésotérique, l’alpha du scalde, du druide ou de l’oracle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



21/07/2010
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