Chapitre 36-37-38
73
CHAPITRE TRENT-SIXIEME
J’AVANCE EN LE TEMPLE
J’avance en ces couloires sordides, je suis derrière l’homme en bleu, les couloires sont maintenant
jaune, j’avance maintenant derrière l’homme en bleu, il m’ouvre les portes en barreaux, je le suit,
à chaque fois que je passe les portes, il ferme derrière moi. sur mon chemin, je vois diffèrent homme
habillé en rouge, probablement d’autre lecteur, d’ancien lecteur, ils circulent à gauche et à droite, ils
circulent en tous sens. Au fond de moi-même, je me dis et peut-être que je le sais que l’un d’eux est
le saint-lascar, l’homme alors après milles passages de portes à barreaux me montre le bouts du chemin, une petite cellule de dix mètres sur deux mètres. Je rentre dedans et je comprends pourquoi
le maître du mot me met en ces lieux sordides. Je me mets alors en positions de méditation, ainsi je
commence alors à méditer en ce lieu, en cette pièce. La voix des muses du haricotiez, les maitresses du verbes, ne sont plus maintenant, mais un souffle de compréhension me parle en douceur à coup
d’émotion. Je retranscrit ces paroles de sentiments par des mots, pour que la main du maître du mot,
je puisse m’expliquer ces émotions par l’imagerie des mots. Comprends mon âme, me dis-je à moi-même, le corps inerte du lecteur qui avait lus « je suis » dont l’âme vis en l’histoire. Le souffle divin,
m’explique en quelques sortes, ça provenance, ce souffle divin m’explique qui il est, alors que je médite, en ces lieux, en cette pièce. Ce souffle divin m’explique qu’il est venu à moi pour m’accueillir,
pour accueillir ma spiritualité, dans ce temple, ce souffle m’explique qu’il est le souffle de l’esprit du grand prisonnier, ainsi que les sentiments qu’il me fait vivre, son ceux du reflet de totalité. Son existence est due au million de prière et de pensée filante qu’il y a eu en le temple du saint-lascar.
Il m’explique que moi, qui vis l’histoire, je la vis pour que autrui comprenne que les gens sur qu’il veille,
les gens qui le font vivre et l’ont fait naître, son des homme évolués, bien plus intelligent que autrui, que
ici certain vivent dans le recueillement et la paix en son sain, afin que ceux-ci, notamment ceux qui resteront en cœur pour l’éternité, doivent au nom du respect mutuel, vivre en paix. Le grand esprit du
prisonnier me dis que bientôt je redevienne juste un lecteur, car je ne peux vivre uniquement en mon âme. Le maître du mot me libèrera, car il ne peut au nom des secrets de l’ésotérisme, livrer les milliards de secret du saint esprit du grand prisonnier, mais je suis là, et je vis l’histoire pour laisser transparaître
un message, comme si le saint-lascar disais à autrui « fais gaffe ». Moi l’esprit du grand prisonnier, je te le dis ; « je suis la paternité de nombreux ordres et castes en ce monde, ainsi les gens qui vivent sous ma responsabilité, alors deviennent par la même, sous la coupe d’une caste dominant, voir du caste dominant. Mes gens ne rigoles pas, certain même rechigne à ce battre pour défendre leurs causes, car
de ma grâce, je leurs permets de remettre la leur à d’autre, à des autrui moins impulsif. Nos rîtes son ceux de partout, et moi, je promulgue la liberté totale et offre à mes fils, le devoir de s’assumer. Les gens de mon temple, trouvent par ma grâce, l’essence de leur Anima. Ici beaucoup de gens ne comprennent pas que les gens qui sont habillé en bleu, dont celui qui t’a guidé jusque à ce lieu, cette
pièce méditative, me sont aussi chère que toi qui vis en l’histoire, ou ceux qui passe le temps d’une vie
ici, car ceux-ci l’un et l’autres, bleu ou rouge, passent, pour certain, leurs vies ici, à représenter les intérêts d’autrui qui vis au dehors la mécréance éternel. Je suis l’esprit eternel du grand prisonnier,
et je gères au nom de totalité, des sadiques de toutes sortes, ainsi que différentes personnes, mais je
suis tous d’abord sous les auspices de totalité, ainsi lui veut que autrui vivent aussi, car ils sont aussi
des créatures de totalité, et eux aussi le droit à une liberté, bien que matériel soit-elle, totalité ne me permet de soumettre totalement la race humaine, et je m’y résigne, probablement car moi, non plus
je n’ai pas le choix. Le maître du mots te fait vivre cette histoire afin que histoire, afin que totalité puisse
avoir de nouveau maître ou moine guerrier. Des moines noires obscurantiste et ténébreux, qui puissent guider les humbles sous la bénédiction du saint-lascars à leurs épanouissements en cette société,
pour que ceux qui on compris le message et le but de mon temple, puisse épanouir et continuer leurs
quêtes, sans pour autant devoir affirmer leurs forces et loyauté é leur égo, que ceux-ci n’aie dés lors,
plus besoin de vaincre leurs maux sociaux par la haine, que ceux-ci puisse vaincre la société à un niveau d’égalité sur le plan des armes de la non violence. Ame repart dans ton corps, et toi ô lecteur,
74
lis « Je suis un lecteur, je suis l’élu, je suis celui qui perdurera le message du Worisjule, je suis
celui qui auras compris que si autrui, ne laisse la chance de ce battre et d’affirmer la vérité de mes
protégés, à arme égale, autrui finira une balle dans la tête, je suis à nouveau juste lecteur, je suis à
nouveau en mon corps, je suis maintenant celui qui a vécu l’éveille premier du Worisjule premier.
75
CHAPITRE TRENT-SEPTIEME
LETTRE DE CERTIFICAT DE PASSAGE DE L’INITIATION
Cher lecteur, qui a lu « je suis », si tu as lu ces mots, si tu as lu ces mots jusque ici , sans pour autant
tricher, sache que dés lors tu as ma bénédiction pour ton entrée en le conglomérat du Worisjule premier. Tu as vécu l’histoire, et celle-ci t’a pris ton âme, dés lors en vivant ces mots, tu as été jugé
selon les règles Thorienne établie par moi, le Worisjule premier, selon les lois du code du scorpion de
paille, fessant foi de l’égide du Pantaclum Justicia Thorianum du Worisjule premier, ordonné par les
Maagistrasse illuminatis, maintenant si tu te trouves en accord avec ce code, ta vie en accord et au service de la perpétuation du livre du pâtre des pâtres. Dans le cas ou tes pêchers contre ce code est
trop grand, ou si tes intentions sont malintentionnée, tu parts sur un chemin négatif et long, soit pour
te racheter, soit pour aller à ta perte. N’oublies jamais ton devoir envers le livre du pâtre des pâtres,
car dés ce jours, elle est pour toi, une référence, tu es l’un de mes disciples, soumis à mon establishment ésotérique.
A toi mon fils, je te lègue ces commandements ;
tu auras le respect du sacré.
tu auras une bonne hygiène, notamment racial, sur le sujet de tes enfants.
tu auras les meilleurs intentions envers les frères de ton ordre, ainsi que envers tous mouvement agréés et servant la discipline du Worisjule premier, sémitique, occidentaux, ou même extra-terrestre.
tu aideras les autres à trouver leurs véritables voies spirituelles, un occidentale, la voies des runes, ogams, religion hellénique, un noir africain, le vaudou africain, un indou-tibétain le bouddhisme etc...
tu respecteras jesus christum comme éon mondial, le Worisjule premier comme éon universel,
ainsi que les titres des éons propre à chacun, ce qui ne t’empêche pas d’user d’autre éon en prioritaire, comme tu respecteras les paroles des prophètes.
tu méditeras sur les biens fondés de tes choix.
tu prôneras ma vérité.
Maintenant, je vais te faire vivre les saintes runes, le don de Wodan le prophète, tu en seras attentif car c’est un don prophétique. Les saintes runes un don Aryens (personne au cheveux blond) pour la communauté de la race humaine, ce don comprends que les règles Scaldique te font comprendre
que tu peux user de toutes sciences, afin de forger ta spiritualité propre. Toutefois mon message,
notamment celui du septième commandement. Tu ne dois pas pour autant perdre tes racines ancestrales, ce qui te rends l’usure des runes dangereuses, notamment si tu commence à sauté des
femmes étrangères à ta race, sans la bénédiction d’un marabout de même appartenance racial, qui plus est si elle est Aryenne, si tu as bien lus mes mots cette relation est dangereuse pour toi, même si tu es de race Thule (Cheveux brun)
Odinn est le prophète de la guerre et de la poésie, ça définition de dieu à été usée depuis la venue du
christianisme, elle est propre est égale à la définition de prophète, sachant qu’il est un Asse. Dans l’edda, il est dis, que il y a plus haut que le très hauts et plus haut encor, le dieu unique, totalité, ce que
l’on ne peut nommer. Odin est signifié en la douzième du tarot, dés maintenant, lis « je suis Futhark ,
si je n’ai pas lu le livre du pâtre des pâtres depuis le début, et que je triche, je serais dés lors maudit.
Moi qui suis redevenu qu’un simple lecteur, je suis la voie du sage, le Worisjule premier, est un dragon
76
rouge, je le sais, je lui porte allégeance, en tant que fils de ce que je nomme Yobha, qu’il ne faut nommer ou donner une imagerie à totalité (Yobha), que de nommer comme tel est déjà de la mécréance, au même titre que de nommer tous court. L’ancêtre me suffit amplement, car je reconnais être qu’un grain de poussière, ce qui me valorise. Je m’aime et je cherche le bon chemin dans ma vie. »
Le Worisjule premier- Tu as raison ô lecteur, de choisir la voie du Worisjule premier, si tu n’as pas de mentor, construit toi une croix en os, comme gri-gri, et ce talisman te guidera à bon port. Que Wodan te
guide jusqu'à que tu n’en ailles plus besoin, mais sache que Wodan, n’est pas non plus à ta mercie et moins tu en auras besoin, mieux il vaudras pour toi. Dés lors ô lecteur, continue ta profonde lecture, lis
mes mots à moi le maître du mot, que les ancêtres aryen te soie propice, au nom de l’alliance Worisjulienne, et de la gloire de l’alliance O.H.R. du cycle Worisjulien.
Que la vie te soies propices.
77
CHAPITRE TRENT-HUITIEME
FOEH
Tous commence dans la vie par l’amour, l’enfant naît de l’union, le cycle naît de Foeh. Freya la belle
aime qu’on la chante en poésie. Quand tu lis ces mots, tu deviens disciple de Foeh. Frey son égale
masculin est soit son frère, soit son amant, personne ne peut vraiment le savoir. C’est la rune de Audhumla, le début du parcoure initiatique, d’une nouvelle existence, rune du temps ou commence
l’équinoxe du printemps, voici la rune de la fécondité et de la fertilité, là ou débute le chemin de celui
qui vis sous la source de l’énergie divine de la vie. De là tu vis sous mon astre, moi l’oracle solaire,
moi le Worisjule premier. ton corps à toi, o lecteur, s’embrase de l’impulsion comme tes sens, comme
ton esprit. Ton psychisme seras, selon l’esprit du jugement établis, lors que tu as vécu l’histoire et que
ton âme est la possession du livre du pâtre des pâtres, Freys n’est pas le plus doué des Asses pour rien, fait tes preuves en Foeh, et la suite de ta programmation runique, en sera tel bénéfice, suivant
cette imagerie. Par Freys, que la paix soie avec toi, alors continue à lire mes mots, à moi le maître du mot, par Foeh que commence la création de ton univers en débutant de la doctrine sainte du livre du pâtre des pâtres. Sanglier, étalon de Frey, ainsi que Freya au deux chats. Maintenant les injustices seront réparée et le nouveau chemin naît, maîtrise toi, et lis mon Òde d’un temps de rêve de Foeh.
Je suis revenu en l’histoire, moi le brave Berger, je t’y est plongé quelques temps, pour que tu le comprennes mieux en son sens de métaphysique, en l’histoire que tu as vécus, grâce à moi, le maître
du mot, peut-être connaisse t’il les heures, eux les nains, les haricotiez que tu y as rencontré en ce moment où tu n’étais plus que lecteur. Ma résurrection ayant eu lieu, dans l’avant du maintenant, qui pour toi, est l’avant du maintenant, à toi o lecteur qui lis « je suis à nouveau lecteur », je suis toujours à
la commandature générale de Agios le lascarus de Boschuz. Suis-je mon frère jumeau, moi Jesus Sabactani, qui pleurant mon frêre l’ex-Berger, suicidé rituellement de la haine du génocide Arien, ai
repris son identité, ce qui fait de moi tout de même le Berger. Dés lors, comme le tantrisme Tibétain,
dont tu prenais connaissance avant de vivre l’histoire en cette cellule, j’en vis la version qui est la mienne, tiens donc les mots de cette ode à Freya.
Le pâtre le Worisjule premier- O belle Freya, écoutes mon ode, je veux de belles femelles, douées des sens du Tantra, dont de belles arienne, afin que celle-ci me fassent naître de beau enfants blonds.
Freya-les prières de tes vœux s’éterniseront, car tu es l’homme tant recherché, comprend roi soleil,
que la vie est belle de surprise, continue ton ode de vie, continue à vivre entre les mots et se réaliseront-elles alors.
Le pâtre le Worisjule premier-O belle Freya, tu es la belle au char à chats, idylle de Foeh, rune de l’amour, belle, belle, que j’use comme la fontaine Ygrasile de la piéce, l’arbre mystique de ma fantasmagorie, sucombe donc a mes charmes, ainsi mère à moi celles que je désir.
Le Worisjule premier ; O detenteur du membrum solaire, détenteur du semen viril de l’héritier spirituel du bonhomme de paille de ce nouveau millénaire, celui même qui est le maître de ces mots, laisse toi
porter et vivre ces mots en sentiments ou souffle de Freyas.
Ces mots alors imperceptible, me disent, ce que je vais te retranscrire O lecteur, dans la continuité de
cette ode à Freya, l’amour ce vis à deux, la sexualité en est une partie importante, sans pouvoir définir
l’inexistence de l’amour, la sexualité en est une bonne partie, sans pour autant en être le tout ou une minuscule partie sans pour autant in exister, cette inexistence de l’amour que l’on peut définir comme
relation entre l’homme et la femme dans un couple, jouissance de la vie, femelle vierge chantant Freys
en rut, comme le dragon phallique à double compréhension, viens le ressuscité, Berger, revivre les mots, ces mots toi le maître du mots. Vois alors le dragon phallique qui est le tiens ou celui qui vis au
78
fond du Léman, comme l’imagerie de ton sexe, ou vois le monde comme il est sous l’apparence de
Sodome et Gomorrhe. Chaque choses de la vie si réfère entre ces mots, toi le Berger vis donc le devoir
de la vie qui est la tient. Ultime donc cette longue œuvre qui sera perpétuée durant de long siècles, dés
lors que mon nom y est inscrit en tes mots, je te protègerais, comme je protègerais ceux qui étudieront la doctrine de ta discipline, o bon berger, vis la vie que je t’ai réservé au jour de ta sortie du Temple, car
tu es le Berger, le Worisjule premier, le nouveau ressuscité.