Entreprise le pâtre le Worisjule 1

Chapitre 32-33-34-35

 

 

67

CHAPITRE TRENT-DEUSIEME

 

ALORS JE CONTINUE MA ROUTE

 

Les trois nains me sont apparut, mais j’ai continué mon chemin, sur ce chemin ou se borde les

haricots, maintenant au fond de l’horizon, je vois le temple. Trois panneaux se trouvent alors

devant moi, chacun d’entre eux me montrent un nouveau chemin, comme si le temps de confirmer

mon choix, ou de changer de choix est à nouveau à ma portée. Sur chacun de ces panneaux est

inscrit le temple du st-lascar, je n’est dés lors que un seul choix, d’aller au temple, alors je file droit

sur un nouveau chemin, un nouveau secret, d’un nouveau choix. Ai-je confirmé mon premier choix,

ai-je tourné la page sur un mauvais chemin, au fond de moi, je ne pense même pas le savoir.

Mais quel autre choix se trouve à moi, à part les trois chemins devant moi. Une seule chose peut

alors se présenter à moi, de faire le bon choix. Le fait de me perdre dans ces étendues de haricots,

ou peut-être de m’arrêter sur ce chemin, face à ces trois panneaux, au milieu de ces champs de haricots. Mais qu’est ce que je ferais là, au milieu de ces champs de haricots, mais qu’est ce que je ferais là, au milieu d’un chemin à regarder cette croisée des chemins, qu’est ce que je ferai sur ce chemin au milieu de ces champs de haricots, et marcher au milieu de ces champs ne m’apporterais

rien. Je prends l’un des chemins de mon choix, et après deux, trois pas, sur ce nouveau chemin, je me

suis arrêté, et une seul idée m’est venue en tête, celle de manger une salade de haricot. En effet dans

cette contrée de champ de haricots, les haricots ici sont jaune. Mon problème sur le moment est que je

n’ai pas d’ingrédient pour faire la sauce à salade de haricots jaune, autour de moi, j’ai des milliers de

haricots jaunes, ce qui reste l’élément de base de la salade de haricots jaune, mais comment faire pour

faire une salade de haricots jaune, si je ne suis pas capable de faire une sauce. Soudain, par la grâce du maître du mot, moi celui qui vis en l’histoire me vient alors une idée, cette idée est pour moi à ce jour

que je vis, comme un don de la part du maître du mot, lui qui il y a peu pour moi, à ce jours que je vis en l’histoire, mais longtemps pour moi qui suis un lecteur au monde derrière le verbes du paupé universalis, lecteur appâté dans l’histoire que m’a écris le Worisjule premier, revenu d’entre les morts,

pour écrire ces mots. Le maître du mot qui m’a offert il y a trois cents milles milliards de metrard de klopitard d’année pour mon corps qui n’est plus que poussière, revenu à la vie par le cycle éternel,

pour toutes même lire les mots. Peut-être un jour ou peut-être deux pour mon âme réincarnée en

l’histoire, qui dés lors mon moi historique qui possède en son moi interne de ce corps de chaire dont

mon âme c’est réincarnée et matérialisée en l’histoire, avais dés lors reçu le don du choix. Maintenant

cette idée qui me vient est alors pour moi un don du paupé universalis, le don de la pensée en l’histoire,

qui me permet alors de faire naître un sentiment, celui de la reconnaissance, ce don de l’idée est alors

un don sans valeur à mes yeux matérialiste, n’ayant aucune valeur marchande, mais bien plus enrichissant que l’or que l’Archange Michel, m’avais alors donné, je le pense, si je n’avais suivis la

procédure de l’Archange, à ce jour, je vivrais avec un morceau d’or, mais sans jamais vivre ce processus de libération spirituel ainsi que le don de l’indépendance et de la continuité, que m’offre

le maître du mot, à chaque pas que je fais en plus dans l’histoire. En ayant jeté cette or, j’ai gagné

la vie, en le gardant, peut-être serais-je entrain de vivre dans l’inexistence un instant monotone,

plat ou même pas, un instant que définir comme tel, serais déjà le définir. Une chose étant ni vie,

ni mort, ni tous, ni rien, une éternité d’existence, que au lieu de cela je m’épanouis en l’histoire et

« je suis », « je suis celui qui vis en l’histoire ». Dés lors cette idée est alors celle-ci, le fait que le

maître du mot aie pu m’envoyer du haut des cieux au trois soleils et trois lunes des Archanges,

que les nains ayant pus me parler, que les êtres de la pièce aye pu me guider également, l’idée

qui me vient, est alors tel ; Le fait que ces êtres aye communiqué avec moi, en cette histoire, je

ne suis pas le seul, en suivant dés lors mon idéologie, que je devrais dés lors pouvoir trouver

quelqu’un ou une créature capable de me trouver les ingrédients afin d’accomplir cette salade

de haricots jaune. Le gros haricotiez qui m’avais proposé de sa salade, lui, avais pus trouver

les ingrédients à l’élaboration de ça salades, et celui-ci vivais comme moi au milieu de ces haricots.

Mon idée, don du Worisjule premier, est dés lors d’incanter les cieux, d’en appeler au maître du mot,

68

les ingrédients pour faire la salade de haricots jaunes, voilà tel est alors mon état de cette idée,

que par les mots du maître du mot, je me raconte à mon corps devenu poussière, qui lis mon histoire

à moi et à mon âme qui la vis.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

69

CHAPITRE TRENTE TROISIEME

 

MAITRE DU MOT, J’AI BESOIN DE TOI

 

Alors mon idée est celle-ci, celle d’en appeler au maître du mot, pour qu’il écrive en mon histoire,

que mon corps devenu poussière, lis, afin que me soie livré les ingrédients pour la salade de

haricots. J’ai levé au ciel le regard et j’ai priés, priés le maître du mot, pour qu’il entende ma complainte,

longtemps j’ai incanter le maître du mot, le Worisjule premier, pour qu’il vienne par personne interposé

en mon secours, car en quelques sorte, le maître du mot, et tous ce qui vis ou git en l’histoire.

Des heurs on pus donc passer, mais en ce moment de l’histoire, les heures ne sont pas encor,

mais un souvenir en mon esprit de quand mon âme était encor celle d’un lecteur, ce temps que je

décris en heurs dans cet espace temps, je le passe dans la prière incantatoire du maître du mot,

lui qui à mis mon âme en son livre, afin du profond de la confiance qui jît en le cœur de mon âme,

qui est chaire en l’histoire, il me libère de l’histoire afin que renaisse en mon corps de poussière de

lecteur, en un être neuf à l’âme qui est chaire neuve en l’histoire. Il me libère de l’histoire afin que renaisse en mon corps de poussière de lecteur, un être lecteur neuf à l’âme purifiée et neuve, forte

à affronter le monde de la réalité de moi o lecteur. Ces longues heurs ont alors passée, celle-ci ont

été pour moi un long moment de plénitude intense. Ce long moment m’a alors permis de comprendre

que le maître du mot, n’est pas non plus là pour veiller au moindre de mes pas, que lui vit pour son

histoire et à quel point il est perfectionniste pour la mienne, je le pense être perfectionniste en la sienne.

Le fait qu’il me libère peu à peu en l’histoire et peut être aussi parce que le Worisjule premier à ça vie,

et veut aussi la vivre, comme une personne digne de nom. Mais ce long moment prend alors fin, comme ce vielle adage disant que « toutes bonne chose à une fin », un homme que je n’ai entendu

venir, me met alors la main sur l’épaule. Je me suis doucement remis en le coure de l’histoire, j’ouvre

alors les yeux, cette homme est grand, habillé d’un costard cravate, les cheveux long et blond éclatant.

Il sort de ça poche un bonhomme de paille, un bonhomme de ficelle, ainsi qu’un bonhomme en épis de maïs, il dispose ces trois bonhommes en triangle devant moi et fait le pentagramme sur le sol.

Dans un chant incantatoire de prière, il dis ; voici trois mâagistrasse, lequel d’entre eux est le parrain

des illuminatis. Dans ça main gauche, il tient cinq dés et me les tends, il me dis alors ; prends les, et

jette les dans le pentagramme. Je prend les cinq dés et m’exécute alors sur le champ. Il reprend alors ;

le premier dés, celui de As le rune Yobha’s, signifie que vis-à-vis des prophètes runique élevé au

rang de Yobha’s, ou même de ce que l’on ne peut nommer, à voir entre notre relation ors du champ

du pantagramme. Peut-être est-ce la réponse à ta prière et à ta méditation. Gebo qui la suit et peut-être

dés lors par la chance du rejet de l’immatérialité pour l’immatérialité que tu as probablement dus accomplir, vient alors en cadeau vis-à-vis de As le don des cieux de la Gaefa. Odal renversée sur le

côté, suivant la ligne du pentagramme, exprime probablement que une image éonique de perfection

à suivre, viendra, à toi par le pentagramme, probablement une imagerie du Worisjule. Foeh à l’envers

au milieu casi du pantagramme, signifie que tu vis en l’histoire une genèse qui dans le futur serais la

naissance d’un renouveau, cette génése que tu vis en la face cachée de l’histoire de ta vie. Rade à

l’envers dans le coin gauche du pantagramme, exprime que en ta genèse, tu devras ou dois faire ce

cercle de ta vie. Ce chemin est la formule pour atteindre ton état divin et primaire, l’acadabra du pantaclisme runique, c’est comme si le Worisjule premier te donnes une clef, une richesse éternelle

que aucun or, argent, ou autre richesse matérielle. Peut-être est-ce la clef du don des cieux, de la Gaefa qui t’est livrée. Rappelle toi, alors cette formule ; Rad à l’envers Foeh à l’envers, Odal un peu

renversé vers le haut partant de Odal à l’envers, Gebo et la rune Yobha’s, renversée légèrement vers l’arrière.

 

 

 

 

 

70

CHAPITRE TRENT-QUATRIEME

 

UN HOMME M’A DIT VIENS JE VEUX TE PARLER

 

L’homme reprends alors ces dés, et continue sur le même ton ; si je t’avais déjà dis tous cela,

alors je dirais, viens je veux te parler, mais comme je t’ai déjà dis tous ces mots, alors je m’en préserve.

Fils de Yobha, reste donc assis ici en position de Yogin Celtica, fixe au loin le temple du saint-lascarus,

et attend. Sur le moment, je ne comprends pas ce que me veux le grand homme blond, mais je me tais

et je m’exécute. Voilà quelques minutes de mon espace temps que je me suis exécuté, le silence règne

et l’homme ne fait rien.

Il se met alors à me tourner autour en chantant des chants bizard dons je ne perçois plus les syllabes, au tréfon d’un songe, je ne suis plus qu’une image, l’âme de ce corps, fais de chaire entre en transe.

L’homme n’est plus, par le troisième œil, je perçois le son de son nouvelle imagerie, il n’est pas bête,

les couleurs verte et jaune des champs de haricots, ne sont plus, mais le chant des douces voix

chantantes du haricotiez reprennent de leurs muses, maitresses du verbe, de plus belle.

 

Les muses maîtresses du verbe ; -Le Worisjule te fait vivre l’histoire, mais ton corpus temporel n’est

complet. Nous sommes les douces voix chantantes, maitresse du verbes, douces voix du chant du

haricotiez. Toi, celui qui vis l’histoire, il te manque le jour et la nuit.

 

Les couleurs changent, l’espace qui m’entoure ce change alors en Onde colorée, l’espace qui m’entoure alors ce change de multitude de facette, l’homme qui n’est plus à un museau, et de gros yeux rond. Il me le fait comprendre, c’est le Nagual, ces chants, ce mélange à ceux des muses chantantes du haricotiez, les maitresses du verbes. Le maître du mot et l’alchimiste de cette mystique de danse syllabique, je vis cette histoire du profonde de mon être, cette beauté, je la vis, comme une souffrance, comme la souffrance de la merveille. Le ton est dure et survient en un flashback, alors l’espace temps dans lequel je vis, se divise en deux. Les trois lunes alors prennent leurs envoles, dans un espace nouveau, celui qui, dés lors pour moi seras la nuit en l’histoire, je le sais dans le subconscient dans lequel je suis plongé, les lunes défileront au tiers de chaque nuits, chacune mettras alors ça couleur à la nuit. Les trois soleils partent alors en danse dans le ciel, puissance divine de masculinité, ils prennent le dessus du ciel aux lunes, je suis alors en le jour, je le sais, même au tiers du jaune, bien que les danses de couleur d’Ondes autours de moi, ne me permettent pas de percevoir ce ciel étrange, le Nagual prends des intonations qui me font frémir, je suis en l’histoire, à ce moment j’aimerais pouvoir en sortir, redevenir un simple lecteuret refermer ce livre, le ranger au fond de ma bibliothèque, et ne jamais le rouvrir, mais le Worisjule premier mis à plonger, je le sais en mon subconscient j’y suis bloqué. La suite à milles intonations incantatoire, l’imagerie de l’homme me dis

alors ; « Viens à moi, fils de Yobha, je veux te parler » et tous alors s’arrête. Je me lève, et l’homme qui

as alors repris une imagerie humaine me dis « et le Worisjule créa le jour et la nuit » . L’homme continue alors en ces termes ; « continue maintenant ton chemin, et laisse moi au derrière de tes pas »

Ce que je fais aussi tôt, je reprend ma route, je marche et remarche se long chemin au milieu des champs de haricots. Peu à peu, le temple qui des pas et des pas en arrière avais été dénommé sur

les panneaux, comme celui du saint-lascar, peu à peu ce temple arrive à la vue de mes yeux.

Maintenant le soleil jaune ne brille plus, le soleil rouge prends gentiment le dessus au ciel.

Déjà de nombreux reflets rouge, sont sur les feuillages des haricots, cette vision rouge vient après

la vision clairsemée du soleil jaune. Il me reste plus qu’a voir l’effet du soleil noir pour faire le tour

des visions des trois soleils.

 

 

 

 

 

71

CHAPITRE TRENT-CINQUIEME

 

ARRIVE AU TEMPLE

 

Le chemin jusque au temple, n’a pas été trop difficile, mais j’ai marché sur le chemin au bordure

de haricots, le chemin me mène alors devant le temple. Je suis alors arrivé enfin à la bordure du

temple, ici personnes ne m’attends. Il y a un petit enfant qui pleurs, il me dis ; « Je suis la lune ».

Il part en courant et viens devant moi un enfant de jeune âge, il me dis ; « Je suis Mercure » d’une

voix pré pubère. il part en courant et viens de nulle part un adolescent, il me dis clairement ; « Je suis Venus ». Il part en courant et viens de nulle part un jeune homme qui as tous les traits de la jeunesse,

il me dis ; « Je suis le soleil », celui-ci à tous les traits de l’imagerie du Worisjule premier. Il part en courant et apparaît de nul part un homme qui as une grosse carrure et une voix virile, il a également l’imagerie du Worisjule premier, il me dis ; « Je suis Mars », il part en courant et viens de nulle part un

grand papa qui me dis ; « je suis Jupiter ». Lui reste là au bord des champs de haricots.

 

Au fond de moi, je me demande pourquoi ces gens m’ont dis ces choses, et de où sont ils venus.

Toutes la bandes ce rejoints alors autours du grand papa, je me demande encor à quel cirque je vais

être confronter, pourtant ils se taisent tous, ils me regardent, l’un avec ces yeux d’adolescent pré pubère, à l’aire vraiment troufion. Ils sont là toujours aussi silencieux, ils me font un peu peur, j’ai

peur, qu’ils m’attaquent. Toutefois je distingue derrière eux au loin, trois portes, qui sont chacune,

je le pense, probablement l’entrée du temple du saint-lascar.

 

Les voix des muses du chant de haricotiez, chant des maîtresses du verbe, reprends alors en douceur, un doux chant qui me dis ; - Les planètes du système solaire de où tu viens, viennent

te porter chance pour entré dans le temple. Écoutes les biens et bois donc leurs paroles, celles-ci

te porteront chance dans le futur, gardes les en ton cœur, l’heure du dernier choix à maintenant sonné,

pour toi. Choisis donc par quelles portes tu veux entrés. J’ai alors choisis et confirmé mon choix, celui qui reste dans le tréfonds de mon secret, et je suis entré dans le temple. Maintenant il fait noir, je suis

à l’intérieur. Je pense me faire réservoir par Agios le lascarus en personne, mais il n’y a personne.

Je reste là dans le noir, et je m’assois dans ce noir, je ne sais comment marcher dans ce noir, il n’y

a pas de lumière. J’attends là, dans le noir, de longues minutes. Bien que je n’aie pas encor reçu de la

part du maître du mot le don des heures et des minutes, je me rappel le temps où j’étais encor un simple lecteur, j’avais ce temps dans ma vie, décrit en minutes par minutes, en cette espace temps,

dans lequel, je vivais. Je suis là, la nuit me fait froid, j’ai peur, soudain, des milliards d’éclaires de lumières, jaillissent de partout à la fois, un guitariste venus de nulle part apparaît, il joue de son instrument, comme un Yobha’s. il est là dans la clarté lumineuse, les muses, maîtresse du verbes,

qui auparavant chantais le chant du haricotiez, chantent un nouveau chant, un chant de cœur à la

luminance et à la gloire du Worisjule premier, sur cette mélodie, joue de son instrument électrique ce

guitariste magnifique. Je regarde alors en haut, en bas, à gauche et à droite, mais à nulle part, je ne vois le saint-lascar. Dans ce monde ou je n’étais qu’un simple lecteur, au-delà du verbes du maître du

mot, tous le monde parlais du saint-lascar, sans que jamais personne n’aie pus savoir qui il étais vraiment, si il étais Chinois, Africain ou Européen, personne n’a jamais pus savoir qui il étais, et

moi-même, bien que je soie dans l’histoire, à ce jour même, je suis obligé de constater que moi

non plus, je ne le saurais jamais. Dans cet instant de réflexion, ce guitariste, as, alors tous simplement

disparut, et les voix, elle, ce sont tous d’un coup arrêté, mais la lumière, elle, est restée, comme les gens, à l’entrée du temple, je ne comprends pas ce que ce guitariste est venus faire ici, ce qu’il me

voulais et pourquoi il m’est apparut. Etais-ce juste une hallucination, naquisse de la pure lubie du maître

du mots. Toutefois je suis pénétrer plus amplement dans le temple, celui-ci est fait de nombreux couloire, long et scabreux. Je fais quelques pas, dans l’un des couloires qui maintenant est éclairé,

un homme tout habillé de bleu, me dis alors ; « STOP, maintenant c’est moi qui te guide ».L’homme

 

72

à un gros trousseau de clefs. J’avance avec lui dans le couloir et l’homme m’ouvre les portes, une à une, les couloires sont coupé par une porte, environ tous les vingt mètres, dès fois elles sont en acier,

dés fois elles sont faites de barreaux. L’homme avec les clefs, m’ouvre les portes, afin que je puisse passer, il me mène jusqu'à un placards ou sont rangé des pantalons de couleurs rouge, ainsi qu’une

chemise rouge, le tout de l’uniforme est rouge, l’homme me demande de mettre ces habits de couleurs rouge. Je ne comprends pas pourquoi, je me dis que peut être le rouge est une mode en ce lieu, et que lui préfère les habits de couleur bleu. Ne voulant pas le vexer, sur la probable loi culturel du lieu, je m’exécute aussi tôt, car je ne peux maintenant retourner en arrière, et je n’ai pas envie de rester dans ce morceau de couloir, ce qui m’oblige d’avancer. L’homme en bleu alors m’ouvre la porte devant moi,

et me dis, « vas fils de Yobha, la vie derrière les barreaux t’attend maintenant, vas avance en ce lieu

je serais ton guide ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



21/07/2010
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 3 autres membres