Entreprise le pâtre le Worisjule 1

Chapitre 29-30-31

 

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CHAPITRE VINGT-NEUVIEME

 

LA VENUE DES SEPT ARCANGES

 

Sur le chemin, je continue de marcher, du haut du ciel nuageux, le soleil brille de milles rayons

d’une illumination intense, je sent en moi le souffle divin de l’univers, sur le chemin, celui de mon

secret, je sent les Ondes sans fin, des radiations de l’infinie des activités spirituelles de la jouissance

de l’hospitalité divine. Je regarde au haut du ciel, et je me dis au tréfonds de mon être, le grain de poussière Worisjule premier, le maître incontesté de l’univers dont je suis l’acteur, à du réservoir la

bénédiction du Sanat Kumara pour maîtriser son art divin et spiritueux, dans les lignes merveilleuses

de l’histoire que je vis. Ce grand plan de création, celui de me faire vivre cette histoire et maitriser

les ondes de mon esprit, afin que je soie suffisamment endoctriné par le Worisjulianisme et ainsi en

devenir le serviteur. Si un jour je peut alors me sortir de l’histoire, devenir un maître extremiste du

Worisjulianisme, servir le Worisjule en la gloire du maître du mot, le Worisjule premier, ainsi faire

bénéficier l’Univers entier de mon accomplissement, et veiller à la bonne marche de la conservation

du Worisjule et de l’univers. Sur cette pensée je marche dur le chemin au millieu de ce champ de

haricotiez, du haut des cieux, l’aube de mon espace temporel vas arriver. Un courant de vie, alors,

perce les rayons du soleil, dans l’espace cosmique de l’histoire deux soleils supplémentaire apparaissent. En les cieux de l’histoire maintenant, vivent trois soleil, maintenant je les vois dans le

ciel, il y en as un, un jaune, celui des rayon de la vie, qui transperce en moi le miracle de l’action

magnétique de l’amour, celui qui en mon âme, sommeil le futur de ma race. Le deuxième est noir, il

est le refet de l’adoration, ces rayons se caractère se déroulent, sur le chemin, je marche et le dévelopement des rayon noirs de l’adoration en mon interieur, me font persevoir que peut-être en cette

marche, qui pour moi est courte de temps, peut-être ce sont passé en la terre d’où m’écris l’histoire

le maître du mot, quatorzes milles ans. Le soleil rouge, rayon de l’espace, porte en une roue cosmique, le présent du pourpre de la nourriture spirituel de la fleur au parfum des bourgeons de la science et de l’humilité. Le ciel alors, se transforme en milles étoiles, en milles pentacles, qui petit à petit se change

au pouvoir du feu sacré, sept archanges des cieux émerveille ce ciel et viennent à moi.

Une douce voix colorée de scintillement musicaux, me chante alors doucement, comme la maturité du

souffle divin, les paroles suivantes ; humble lecteur, toi qui as vécu le châtiment de la pluie de haricots,

qui peux avant lisais en le livre, « je suis », des Arcanges vont venir à toi dans l’histoire, ce sont les envoyé du maître du mots, pour que tu puisses avoir un espace temporel en l’histoire, et que tu puisses

ainsi dés lors bénéficier du temps en l’histoire.

Je suis sur le chemin, et m’apparaît le premier Arcange, il se présente à moi et me dis ;

Je suis Michel, l’Archange du dimanche, prend alors cette or et jette le dans le champ de haricot.

l’astre du soleil que l’on vois depuis la terre mère du maître du mot, te donnera alors le dimanche.

Je prends l’or de ces mains et mon esprit humain me fait alors dire ou penser de la garder pour moi,

mais l’or d’un dimanche, ne vaut pas la beauté d’un jour de vie, et dans ce monde que m’a créé le

maitre du mot, que pourrais-je alors marchander si je veux manger, autour de moi, des haricots à

perte de vue, où je n’ai qu’a me baiser, les ramassers, pour les mangers. L’Arcange, alors s’envole

aux cieux, et me laisse là, en être de l’histoire, je jette alors l’or, car cela aura été un poids inutile pour

moi, et maintenant, je le sais, je vivrais un dimanche. Le second alors vient à moi, et me dis ; me voilà

Jophiel, Archange du lundi, prend cette argent, tourne toi un septième et jette le dans un le champ de

haricots, alors au nom de lune, mon ami pierrot, de l’univers d’où je t’écris l’histoire, le maître du mot,

tu seras sachant, vivre le lundi, Jophiel alors suit le chemin de Michael, et n’ayant que faire de toutes

manière de ce morceau d’argent, je le jette au loin dans le champ de haricot, et je le sais, au fond de

mon âme, que je vivrais pleinement le lundi. Le troisième alors, vient à moi, et me dis, « je suis Chamel,

l’arcange du mardi, le maître du mot m’envoie en l’histoire, afin que tu prennes ce morceau de fer et au

nom de la planète Mars et de tous les martiens te voilà acquéreur de ton mardi, prends en soin, mais le

soir venu, veille à le terreur du Croquemitaine. Je veux lui répondre que je veillerais à la terreur du croquemitaine, mais il part sans me laisser poser le mot, suivant le chemin des deux autres.

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Je jette alors ce morceau de fer au septième de tour plus loin et je jette le morceau de fer devant moi.

le quatrième ce présente alors à moi…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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CHAPITRE TRENTIEME

 

JUSQUE AU NEUVIEME JOURS

 

Le quatrième Archange, alors se présente à moi, et il me dit ; je me nomme Gabriel, prends cette

fiole de Mercure blanc cristal, et jette la fiole de mercure d’un septième de tour, je jette la fiole de mercure un septième de tour plus loin, ainsi tu auras le jour de l’astre Mercure, le Mercredi, ainsi

se réalise le mercredi dans l’histoire. l’Archange suit alors son chemin, le même chemin que les précédent, celui des cieux. Le cinquième Arcange, alors se présente à moi et me dis ; je suis

Raphael, ange du jeudi, prends donc ce morceau d’étain, fais un septième de tour et jette le,

dans le champ de haricot, ainsi le jour de l’astre de jupiter, le jeudi fera partie de ta vie. Ce que

je fais alors et le jeudi est à moi. l’archange remonte au cieux par le même chemin.

Le sixieme Archange, celui arrive à son tour, celui-ci vient à moi et me dis ; je me nomme Uriel,

l’ange du Vendredi, prends ce morceau de cuivre, jette le dans le champ de haricot, après avoir

fait un septième de tour, et le jour de l’astre de Vénus, le Vendredi. Je m’exécute et le sixième

jour, le Vendredi, fais alors partie de ma vie. L’Archange, remonte aux cieux, par le même chemin

que les six autres. Le septième Archange, celui du samedi, me dis ; je me nomme le violet Zadkiel,

prends ce morceau de plomb et jette le, après avoir fait un septième de tour dans ce champ de haricot,

alors le samedi sera à toi, le jour de l’astre de Saturne fera partie de ta vie. Je fais un septième de tour,

et je jette le plomb dans le champ de haricot, et le jour de saturne fais alors partie de ma vie.

L’Archange part alors au cieux, et ainsi chaque Archanges parte à tous jamais. Les trois soleils brillent

maintenant dans le ciel, les cieux sont revenus comme avant. La venue des sept archanges, un ange

passant dans le ciel, alors de entre les rayons de chaque soleils, apparaît alors deux jours, que quand

je n’étais pas encor entrés dans l’histoire, je n’ai pus les connaitre, car pour moi à ce moment, ils n’existaient pas. A ce moment, ces deux jours de plus, dans cette nouvelle semaine, que m’offre le

maître du mot, via la bénédiction des sept archanges, n’existe pas encor pour moi, mais maintenant

je le sais, d’ici peut, ils seront en plus dans ma vie, aux jours venus. Le huitième jour est celui de l’harmonie céleste, celui-ci me dicte une jolie voix, d’un lourd chant de douceur, venus de milles muses

aux chants lyriques, ce jour et un jour de l’élément subtile. Celle qui pour toi o lecteur, qui en fait est moi

« celui qui vis l’histoire », a chanté, le chant du haricotiez, en quatorze milles six cents cinquantes quatre ans, deux jours et vingt minutes, du temps du monde du maître du mots, est l’une des trois

maitresses du verbes, la Gregen imperialis, la Mangoustine ou la Schnitzel gertroilas, à chaque

lecteurs ou lectrice différent (e) en l’histoire de l’une d’elle est le chant. En l’histoire le chant à eu

valeur de cinq minutes trente deux second et vingt cinq centième pour moi, celui qui vis l’histoire

ce chant de haricotiez que cette douce voix m’avais chanté, il y a peu… La douce voix de l’une des maitresse du verbe reprends alors, « le jour de l’harmonie, ne te seras offert à toi ou à n’importe quel

autre créature de cette histoire, uniquement quand l’harmonie sera un éclair de lumière, car la porte

de ce jour de l’ombre des semaines, ne peut ce devenir uniquement dans le cœur du feu de l’immortalité, la porte de l’ombre du huitième jours, ce cache en la lumière, le huitième jour, comme

le neuvième jour, sont des jours ors de toute espace temps, comme si un temps étais possible, tu

puisse les vivres en une fraction de seconde, comme en une éternité, je te le dis, que peut être tu ne comprendra pas ces mots de maître mots, mais peut-être, toi celui qui vis l’histoire, vis-tu l’un de

ces beaux instants, ors de tous, peut être comme tu ne peux comprendre un espace temps inexistant

vis en tu, deux en un instant, le maître du mot t’y as t’il plongé à cet instant, car ces jours sont fait d’élément subtile. Peut-être le secret de l’un ou des deux de ces jours, ce cache t’il dans le secret

du chemin que tu as choisis et que le maître du mots t’as offert comme cadeau comme su-sucre à

ta lecture, dés lors est le secret comme récompense de ton choix.

Mais comprend le, le maître du mot et un homme, et toi plus qu’une âme à ça mercie, car en chaque

homme règne un loup enragé, ainsi en chaque homme règne un esprit doux et calme, ainsi en loup

enragé règne aussi l’esprit doux, et en l’esprit doux puisse régner le loup enragé, et c’est là que moi,

douce voix de chant de haricotiez, je te mène ces doux et beau mots ; et le maître du mot créa le

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neuvième jour, non pas pour ce reposer, mais pour le maudit qui à fais le mauvais choix,

celui-ci vivra en majorité, ce neuvième jour, celui des douze malédictions, celui que je te

conseille jamais de vivre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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CHAPITRE TRENTE-UNIEME

 

AU BOUT DU CHEMIN SERA LE TEMPLE

 

La voix douces et chantantes des maitresses du verbe, muse du haricotiez ont cessé comme cela,

Je ne l’explique pas à moi-même, car je suis celui qui vit l’histoire, comme je suis le lecteur.

A ce moment, sur le chemin de mon secret, que le Worisjule m’a offert, en maître du mot,

revenu d’entre les morts pour écrire les mots de mon histoire, je regarde le ciel sur mon chemin.

Ce chemin, et en celui-ci, je finis par me poser la question du pourquoi dans le ciel de mon histoire.

Les trois soleils brillent de leurs pleins et la lune aussi c’est levé, sans que comme dans le tréfonds

de mes souvenirs, dans le monde d’où le maître du mot, écris les lignes de l’histoire que je vis, moi

qui suis celui qui vis l’histoire, dans ce monde ou maintenant sept cents milliard de metrard d’année ont passé depuis que je suis entré dans cette espace temps, qui forme l’histoire. Je regarde le ciel, et

où règne trois lunes superbes, face au trois soleils et un nuage entre deux, je remarque que mon espace temps, manque une chose de mon souvenir du monde dans lequel, je vivais hier, le jour et la

nuit. Mais en mon esprit, je ne trouve la solution du pourquoi, en ce monde, il n’existe que deux temps, un des trois lunes et l’autre des trois soleils. Peut-être que le maître du mot ne veux-il pas tous simplement que mon espace temps soie divisé en deux, peut-être que je vis actuellement le huitième

jour, celui de l’harmonie. Sur ce long chemin de mon secret, alors trois nains me sont apparut, peut-être

un peu comme les Arcanges des cieux, mais ceux-ci, sont alors sortis un à un des haricots, qui longe

en monstrueuse étendue le chemin de mon secret. Le premier, tous vêtus de rouge alors me dis ;

« Je suis le nain rouge, déjà mes ancêtres du temps de Wodan, connaissait milles secrets de la magie,

je suis le père de la tribu des nains rouges, toutes nos connaissances touche à ce qui touche à la bonne fortune d’un bon commerce. La voix du sage, la voix du Worisjule, la voix du maître du mot,

me l’a fait comprendre, au loin de notre espace temps, là, dans ce monde, où tu n’étais que lecteur.

Par les runes, il m’a communiqué de te le demander ; Pourquoi a tu jeté l’or, Pourquoi as-tu jeté l’argent

que les archanges t’on donné. Ecoutes Nain rouge, je n’en sais rien, et de toutes manières je ne veux pas le savoir. sur le moment, je n’en avais pas besoin, pourquoi me les aurais-tu racheté ?

 

Nain Rouge- Con comme tu es, tu m’aurais vendu deux des jours de ta vie, pour une bouchée de

pain, je ne sais pas pourquoi le maître du mot, ne t’as pas fait garder l’or qui représentais ton dimanche,

ainsi que l’argent qui représentais ton lundi, car pour deux trois billets en papiers avec de jolis symboles

que en le monde du Worisjule tu vénérais temps, je t’aurais volontiers rendus mon esclave en ces deux

jours, quoi que j’aurais préféré racheter ton samedi.

 

Celui qui vis l’histoire- Bha si tu veux, je retourne chercher le plomb dans les haricots.

 

Nain rouge- Bha laisse tomber, les runes m’ont communiqué que le maître du mots te fessait lire

« je suis un pauvre con », quand tu n’étais qu’un simple lecteur, et je le sais, le maître du mot et

un enfant de pute, il regarde alors à gauche et à droite, et reprend, un brave homme, moi aussi

avant je lisais l’histoire et comme toi, je la vivais, je n’ose pas te parler du secret de mon chemin,

file droit le chemin et au fond tu trouveras le temple, le nain rouge alors part au milieu se cacher

dans le chant de haricot.

 

Cette fois un nain vert m’apparaît, probablement du champ de haricotiez qui borde le chemin de mon secret, bien que les haricots qui poussent à cette endroit sont jaune, les feuilles verte l’ont dissimulé avant que je puisse le voir. Il me dis ; Tu as choisis le bon chemin, fils de YOBHA, humble qui vis

l’histoire, au fond de ton chemin, il y a un temple, le temple du st-lascar. Je connais ton histoire, car

je suis le nain des prisonniers, je connaissait à l’époque le maître du mot, à l’époque ou il écrivais

ton histoire, je lui avais alors expliqué et raconté le nombre de blondasse que je me pinais, et un jour,

je me suis réveillé dans ce champ de haricot, j’étais un homme et par un chant de haricotiez, un beau

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matin, j’étais un nain de couleur verte, au milieu d’un champ de haricot jaune, je me suis réveillé

en nain asexué. J’espère que tu as choisis le bon chemin, car peut-être un jour, tu vivras le

neuvième jours, et quand tu reviendras en l’espace temps de l’histoire, tu seras alors un nain violet.

l’on manque de nain ces temps, heureusement que tu n’as pas vendu les jours des l’Archanges…

Le nain vert disparaît alors dans le champ de haricot, comme il était alors venu.

 

Alors que le nain vert a disparut, quelques pas plus loin, vient du champ de haricot, un troisième

nain, celui-ci aux habits de couleur noir, il est plus tôt répugnant, il me dis ; Je le sais, personne ne

m’aime, je ne viens que rarement en ces champs de haricots, je vis le neuvième jours en continuité

avec mes disciples, j’espère que le chemin que tu as choisis, te mènera à nous, car avec plaisir je te

chierais dessus dans mes parties de Scatophilie, tu feras un bonne esclave. Mais au bout du chemin

se trouvera le temple.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



21/07/2010
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