Entreprise le pâtre le Worisjule 1

chapitre 22-23-24-25

 

 

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CHAPITRE VINGDEUXSIEME

 

LE TEMPS DE REVE DU TANTRISME WORISJULIEN

 

Comme le temps de rêve des Aborigènes, comme ma mer de rêve de la vallée d’Edyle, maintenant

qu’il ne me reste plus que six mois à la commandature générale et temple du saint-lascarus, dans

le maintenant en préparation du demain et en exclusif pour toi, o lecteur qui a lus « je suis l’aspirant »,

je vais t’exprimer l’art nouveau du tantrisme européen, celui des disciples de Foeh et Freya de l’égide

créatif du Sodomiaque Gomorus. Plonges toi, dés lors o lecteur, o lectrice dans un état d’extase

littéraire, ainsi que dans un somma de lecteur ou de lectrice et lis « je suis ». Je suis l’ange bleu, je

suis le saint-lascarus, Woy, Woy, Woy, je suis le Yoden, comme l’un des passage du tantrisme tibétain,

un passage shamanique, de Tantra-yoga, où l’homme après de long exercice, choisis une jeune femme instruite de ces pratiques, il habites en vase clos avec cette femme instruite, ensuite l’homme

et la femme ne partage leurs amours physique uniquement après de long mois. Comme une projection

fantasmagorique hallucinatoire que je développais sur divers objets, dont la fontaine de l’arbre Yggdrasil, ou l’horloge bifacial de l’ange et démon, qui se trouvais dans la pièce, le support de mes hallucinations, celle-ci ayant été, le fruit de la pousse de mes saut dans ma mère de rêve. En exercice

de tantrisme, dés lors je jette mon dévolus passionnel, sur les deux photos de mes muses, soit ma douce chienne Léa, et mlle Pernilla, photo d’art erothique. Ceci afin d’établir une phrase préparatoire

au profit des vertus tantriques, que ce temps de rêve, en l’attente de passer la porte du pardon de

la commandature général de agios le lascarus. Dans cet acte honorable méditatif, je le cite à toi o

lecteur et à toi o lectrice, qui dés lors que tu lis « je suis », viens également sous l’appellation de o

lecteur par soucis de répétition inutile. La danse bretonne autour du menhir à connotation phallique,

où le bienheureux phallus de Jordanie à Petra, l’un des deux obélisques de l’apogée de l’ancien

royaume nabatéen, ou je le cite encor, o lecteur, ces pierres exprime bien cet instant du cotoyement

des deux sexes, avant que les deux êtres n’en forme physiquement plus qu’un, soit « mal », soit

« femelles » du site de Man-an-Tol, prés de Morvah en Cornouailles, au sud-ouest de l’Angleterre.

Dans ce maintenant de l’instant présent, je prépare en fantasmagorie, le temps de rêve de la prière

de mon tantrisme. le tantrisme, qui demain, formera mon couple et ma relation avec l’imagerie de la

déesse mère, soit les femelles qui formeront mon entourage intime. Selon le rêve cosmique de la

création du st-lascar, le worisjule est ordré de seize femelles réservées uniquement au Worisjule,

trente deux maîtresses réservée uniquement au Worisjule, soixante quatre sous maîtresses pour

les basses besognes au ordre des maîtresses, bien que à ce jour, je ne soie pas là, toutfois je suis

le bon chemin, si le Worisjule premier ne réalise complètement le dessein, il reviens au Worisjule

prochain. Voilà la volonté du Worisjule premier ordonné à l’ordre suprême du sein rouge. Une femelle

sans homme deviens folle, c’est pourquoi elle se dois à l’homme, car l’homme sans femme vas bien.

L’homme qui entre en contact avec la femme, deviens moins bien, la femme qui à un contacte avec

l’homme vas mieux. la femme quand elle est nouvelle, à tendance à la perversion des autres femmes,

qui le voulant ou non, étant plus faibles, tombe sous la coupe de son influence, la femelle, étant psychiquement soumise au règne animal, donc plus réceptives au ondes de la dominances de l’homme, ce qui fait alors de la force de la femelle. Une femelle qui cherche l’imposition de son idéologie ou de ça doctrine, deviens une femelle faible, en l’occurrence en femelle qui trouve son dévolu dans un

mal maître, ou dominant, ayant une doctrine acceptable par celle-ci, deviendra une dominance feminine, car elle rendra heureux l’homme qui représentera cette vision des choses et le bienheureux,

lui sera invulnérable au charmes des sirènes de la doctrines d’autrui. La femelle ayant confiance en le

maître qu’elle aura choisi, celui-ci ne dois pas la laisser seul face à ça vulnérabilité, pourra suivre son

chemin doctrinal, sans s’inquiéter de brimade ou autre contrainte qui la mettrais en marge d’une société, qu’elle ne pourrais assumer seul. Sans un male dominant pour soit la remettre en place,

soit être l’objet de son désirs ou elle puisse y mettre les influences male qui seul l’émasculerais et lui

ferais perdre la beauté de ça féminité que nombreuses femelles renie afin de proclamer une indépendance éonique, que bien entendus certaine arrive, car l’exception ne fait pas la règle.

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Toutefois l’homme, n’y est pour rien, car comme la femelle c’est s’affirmer, l’homme par son coté

féminin, c’est affirmer les choses, ce qui fonde la hiérarchie masculine, de là l’homme et la femelle

fonde un tout cosmique dont personne ne peut échapper.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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CHAPITRE VINGT-TROISIEME

 

LA REJOUISSANCE DU MAINTENANT

 

Je suis le bienheureux, je ne sais pas pourquoi je t’ai raconté cela o lecteur, tous ces mots que

je viens de refeuilleté à l’instant, je suis un malade de la vie, mais je le sais.

Dans cette pièce de deux mètres sur cinq mètres, dans ce temple que je me plais à te décrire

comme l’iminiscence éternelle, comme l’un des endroits les plus propre de ce doux pays.

La seul chose qui y fait son charme, c’est que chaque êtres qui y est, ce plais à le voir comme

le paradis. Ce n’est pas moche en sois, dans la coure il y a de jolis arbre, une marre, des oiseaux

qui chante jour et nuit. Mais une prison reste une prison, toute cette fantasmagorie fais de ce lieu

un temple de magie noir. Je repense à ce barge, qui critiquai mlle Pernilla et mlle Christina, je voulais

lui demander des excuses, mais quand l’on sais que cette homme avec ces cinq points tatoué à la

main, étais là depuis plus de huit ans, à voyager du cachot à des restrictions disciplinaires, l’on peut

lui pardonner son insolence, car vivre cette misère chaque jour sans pouvoir fuir, se nourrir de la vie

des autres, ce n’ais pas gais. En fait, je le plains, c’est pour cela que je lui pardonne. Je suis bien le

Worisjule premier, je le sais, non pas que je soie fou, mais ici je n’ai rien d’autre à faire que d’aller bien.

C’est pourquoi je veux que tu comprennes, o lecteur et fils de YOBHA, que moi le Worisjule premier, est

toujours eu la vie dure. Même dans cet enfer, tu peux te réjouir du maintenant mais comprends que cet

histoire que tu lis maintenant est le reflet d’une vérité que certaine chose me sont arrivé et d’autre non.

Que ce livre est mon histoire et l’histoire d’autres personne, des vécus différents pour que le saint-lascarus gardes son secret, une compilation de vie, pour n’en faire que une, pour que naquisse une l’éternité du Worisjule, le fondement d’une histoire dont tu ne seras jamais, o lecteur en tirer la véracité

de chaque actes. De savoir si oui ou non, les choses ont été telles ou non, si les actes passé, de la lecture du présent du « je suis le o lecteur » ou le futur de cet instant présent, sans que fabulation poétique, fondement mystique, ou vérité. En ce qui me concerne, jamais personne ne connaîtras

vraiment ma vie, ma pensée, ma véritable idéologie, juste son reflet seras en l’éternité, en ces mots.

Même si j’étais P.d. ou si je ne le suis pas, dans le fond, ne te regardes pas, et si je l’étais, je serais fier

de l’être. Tu n’es qu’une fiotte o lecteur, je te le dis, juste par compassion au moment ou tu liras ces mots, j’espère que cela te touchera, car en ce moment, c’est ma réjouissance du maintenant que un jour, tu lises ces mots, et que tu te dises en toi-même, « sal enculé ». Merci de l’avoir fait o lecteur qui

lis en moi-même « sal enculé », car ici, rien n’est rien, tous et rien, le calme est La seul vertu, en ces lieux, la philosophie est née, comme étant depuis l’éternité le refuge des humbles. Comment tu prendras mes mots, à vrais dire, je m’en fou complètement, mais maintenant, je vais te parler d’Odin,

car les choses sont claire entre nous. Dans ma vie de merde, que je vois comme la plus belle à travers

mon œuvre, Odin est ma divinité tutélaire, en imagerie de temps de rêve, je le pense me voire à travers

son livre, du haut de son trône, ce livre que celui que tu lis en de valeur égale à mon être comme le sien au sien. Mais je te le dis, du haut de son trône, il veille au neufs mondes, Muspelheim, ou règne le géant Surt, sur les volcans de lave et de flammes, qui à la fin des temps tueras Frey. Nifheim, monde

des brumes et de la glace, ou règne le dragon Nidhog qui ronge Yggdrasil, Helheim, ou vont les âmes

des morts ordinaires, Jotunheim, à l’est dans les falaises prés de la côte et dans les montagnes ou vivent les affreux colosses des montagnes. En ce monde ou parmi les forces instructives et mauvaises

vit les terribles géants des Thursses du givre. Asaheim ou demeure Asgard, la force, la souveraineté et

la science, le savoir et le destin. Vanaheim, le monde des Yobhas Vanes, domaine de la fécondité, de la fertilité, de la paix et de la richesse, monde de volupté, des dons que son la puissance et la force de

la vie, dans la joie et l’abondance des biens, Vanaheim, monde de magie. Si toi, qui as lu « je suis »

déjà plein de fois, tu lis mes mots sans attention, tu n’auras pas remarqué que je t’ai pas récité neufs

mondes, mais juste six, comme pour te faire comprendre que mon œuvre cache un trésor de connaissance, qu’en une seul vie tu n’en comprendras les multitudes sens caché, comme pour te faire

comprendre que le véritable nom des douze apôtres en la bible, serais un casse tête même pour un

chinois.

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CHAPITRE VINGT-QUATRIEME

 

ODIN LA SUITE

 

Ne crains rien, o lecteur, car maintenant que tu as lus « je suis qu’une fiotte », je te pardonne tes

pêchers, car tu lis « je suis le saint-lascarus », tu comprendras que je ne peut t’abandonner à ton

sort de cette manière. je vais ainsi te conter en exclusif les trois derniers mondes ; celui de Alfheim

où là bas, règnent les Alfs blancs, domaine des eaux, que en ces temps nouveaux, nous nommons

très humblement les elfes, ces grands génies aériens, fluides et lumineux mais intimement insaisisables. Je suis presque tenté que pour le règne du cycle Worisjulien de ce nouveau millénaire

dont ce livre élanceras en la gloire du Worisjule premier de perpétuelle nouveaux cycles de philosophie,

ce perpétuant de génération en génération, par le biais de l’héritage spirituel, de nommer en cadeau aux elfes, ce nouveau nom de Julfs, afin de peut-être les avoirs en alliés, car se sont des forces, des puissances de la nature, et je suis dés lors bénéfique au bien être de mon temps de rêve et ça suite.

Eux qu’il n’y a pas si longtemps de cela, à Edenyle, lors d’une champignonade, m’étais venu la pluie

depuis les étoiles, se transformant en pluie d’elfe ou de fée folante, volant autour de moi, comme une bénédiction des cieux. Deuxième des trois derniers mondes, celui de Svartalfaheim, monde souterrain

des Alfes noires, que nous nommerons les Jolfs, nains industrieux, habiles forgerons fabriquant les

objets des sages et des prophètes, qui un jour, deviennent symboliquement des Yobha’s.

la bénédiction de Odin, leurs donnent intelligence et forme presque humaine, ce sont de redoutable

magicien et skalde runique, ils vivent dans l’ombre pour ne pas venir au soleil, ce qui les transformerais en pierre. Bien que se soie de sale bête, ils savent ce montrer vaillant et reconnaissant, quand leur instinct le leur commandes, je les ais déjà palabrer à Potlotempko, lors d’une procession shamanique

de l’entre deux, ils savent ce montrer, gentil, et méchant. Le monde de Manaheim, monde des hommes,

monde de ou, je t’écris ces nombreux mots, d’où notre lignée descend de Ask et Embla, ceux que Lodur, donna les sens, Haenir le mouvement et l’intelligence, tandis que Wodan leurs fit naître en eux

l’émotion. Ces neufs mondes, sont pour celui qui est aptes à une science, une idéologie, ou autres travaux de à bute évolutif, une basse ou une clef de sagesse, que dans chaque mondes, peut représenter un niveau de conscience, comme les Runes ou les Ogams, pouvant se positionner sur des

points énergétique, comme chaque runes au points spécifique dans le cerveau. Ce sont nos basses pour le Yoga ou toutes autres formes de spiritualité, nous ce petit peuple de petit blanc, qui avons une

fascination pour le mysticisme des autres continents. Nous autres petites blanches colombes qui mettons la misère de par exemple le colonialisme américain ou le colonialisme Australien. Le poids à

porter de la misère que nos sois disant frère blanc, ont tenté de s’imposer dans un Vaudoux qui n’est pas le leurs. Reconnaître cela, ne parait rien, le fait de reconnaître cette vérité est un grand pas sur le

chemin du sage, qui permet de ne plus vivre avec les œillères d’âne bouchant la vue des côtés.

Comprends o lecteur que le fait d’accepter les choses sans ne rien dire, ne pas reconnaître le faut publiquement, c’est ce rendre coupable, maintenant que tu as lus ces mots lis « je suis moins coupable » mais également « je suis plus clairvoyant », car tu es fils de Yobha, comme les fils de la

terre ancestraux d’Australie. Si tu as quelqu’un là bas, dis lui qu’il n’y est pas le bienvenus, dis lui que

là bas ce n’est pas chez lui, dis lui qu’il est coupable de génocide. Mais comprend o mon frère humain

 qui est victime de mes petits blancs de frère, que je ni suis pour rien de leurs actes, la seule chose

que actuellement je puisse faire, c’est de t’offrir la grâce du Worisjule, celle qui un jour, je l’espère

mèneras les êtres sous mon égides prophétique, celle du Worisjule premier. Lis également ces mots,

o mon frêre, que si le Worisjule prochain use de son titre à d’autre fin que la servitude, la Justesse et

la droiture des droits des fils ancestraux de la terre ou une autre manipulation vicieuses contraire à la

doctrine primaire dictée par le paupé universalis, c’est qu’il n’est pas le Worisjule. Les douze Scorpionors sauront le reconnaître, eux seul en seront les veritables gardiens, sous la bénédiction

de Wodan, Lugh et Ogma, qu’il en soit ainsi pour l’éternité.

 

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CHAPITRE VINGT-CINQUIEME

 

VISION GIGUERIENNE

 

Giger est un génie, pour revenir à mon précédent chapitre, que son œuvre explique pour la plus part

du temps, non pas la beauté du positif pour notre avenir, mais démontre notre amour de l’horreur absolue, de la laideur de notre société, comme un message d’espoir diabolique, qui te dis « continue

à blaiser la planète, continue à semer la mécréance, continue à semer la mécréance, continue à

forniquer en tous les sens, nous allons mourir ensemble, sur cette planète, ensemble entre frère

humain, nous allons faire et semer l’abus, car que je le face ou non, de toutes manière, tu détruits

la planètes, et moi, je suis un narcissique psychopathe schizophrène à tendance suicidaire, toutes

ces choses que je pense chaque fois que je t’offre l’un de mes nœuds de pendu. Ces œuvres expriment le reflet d’un regard de ce que nous autre, fessons de notre sexualité, ce don de Yobha

qui nous sert à nous reproduire, dont nous vivons cette amour, comme l’œuvre d’une porcherie.

Ces œuvres reflètes le pentagramme, reflètes le regard de la haine de Baphomete, face aux dégâts

contre l’humanité, ces œuvres reflètes le pourquoi ne pas en profiter. Giger est un véritable visionnaire,

un homme du panthéon européen, un artiste, le meilleur artiste après moi, à avoir vécu deux millénaires

de création en terre sainte de Hel. Giger est le reflet, comme ce livre de l’Eonisme du prochain millénaire, il est celui qui relance l’Arcangelisme, comme l’éon Rael. Le prophétisme, relance le début

de la nouvelle philosophie européenne et mondiale. Toutefois, comme tous les premiers, ils ont leurs

pères, comme tous les premiers, ils ont leurs défauts, comme chaque êtres ils ont leurs côta de mécréances. Mais à chaque débordement l’on peut apprendre pour évoluer, pour que tu comprennes

o lecteur, que tu ne dois pas prendre à la lettre les mots du livre des pâtres des pâtres, mais accepter

les commandements et l’étude afin d’atteindre ta propre vision des choses, tu te dois de perpétuer ce

ce livre, car tu lis « je suis l’un des gardiens de l’histoire ». Comprends o mon frère lecteur, toi qui a lus

« je suis », toi qui as lus « je suis qu’un con », et bien que je t’aie insulté tu as lus mon livre, te voilà sur

le chemin de la sagesse, car tu as réussis à ne pas focaliser sur mes insultes que j’ai proféré pour ton

bien, comprend que je ne suis qu’un homme, et o toi lecteur qui lis ces mots tu as lu, je suis de ce fondement. Peut être un jour, vus notre technologie, toi lecteur, tu pourras me contredire sur ce point et

dire « o nom du worisjule, je ne suis pas qu’un homme, pour toi, je suis le lecteur qui as lu je suis, et je

suis un peut extra-terrestre, car la doctrine sainte du paupé universalis, propriétaire de l’univers, m’a

donné la vision et l’opportunité du voyage astral, car je viens d’ailleurs, bien qu’a ma connaissance ce

n’est pas le cas ». Peut être que la vision Giguerienne est une sorte de prophétisme que l’on ne peut

lire par le fondement ésotérique, comme celui qui te parle du passé, du futur et du présent. Lorsque

tu rentres dans une église, comme les graffitis d’une ville, les symboles t’explique, qui sont les Anima’s

révélé de tel ou tel cité. Comme les écris dans les toilettes publiques te révèlent la nature des bas fond

de ton voisinage, l’art Giguerien, nous explique probablement que nous allons finir atomisé un jour, après une immense orgie de débauche sans fin. Bacchanales de mystère de Bacchus par des créatures perdues dans la mécréance, mais ayant un pouvoir sur le mouton, autrui et l’objet de la

raison de la fin du monde, pour une raison, naquis purement de son malin esprit, enfermer dans un

vase clos, d’une peuplade de folie. Peut-être que la vision Guiguerienne, est la prophétie de la fin du

monde, comme peut-être, n’est tel qu’une façon de dire attention en un sens iconographique. Tant de

peut-être pour expliquer la vision d’un homme qui cherche à l’exprimer, mais que comme chaque hommes, n’arrive pas à le faire dans ça totalité. Tant de peut être, pour te dire à toi o lecteur que à

ce stade de cette écris, dans le maintenant, suite à cet enchainement de symbole, dernière datte de

de l’évolution de ceux-ci, du H, de la théorie O.H.R., dans le maintenant, j’ai enfin réussi à te mettre

dans le bain profond de l’aspect conceptuel de ce livre, de cette histoire, soit ça nature de milliard de

sens, que en la lisant tu puisses comprendre, le pourquoi n’a qu’un lacet rouge et un bleu, ainsi

grâce à mes mots tu comprends, le pourquoi et le quand de ton mariage. Alors que mes mots ne te

parlent, que l’impressionisme de Rambrante, tant de symbole qui s’enchaine pour assouvir un but inutile, celui du maintenant, de satisfaire ma satisfaction, de te faire comprendre, que ma vision des

 

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choses, reste la mienne et que la tienne, est ton mode conceptuel de la mienne, que ton autrui en aura

une toutes différentes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 



21/07/2010
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