Entreprise le pâtre le Worisjule 1

Chapitre 19-20-21

 

 

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CHAPITRE DIXNEUVIEME

 

LE DRAGON AILE

 

Om, Om, Om, je suis le dragon rouge, Om, Om, Om, je suis le dragon ailé, so ham, je suis

L’Atman, Qu’est ce que l’enseignement ésotérique de la fraternité blanche universelle ?

Qui est maître Omraam Mikhaél Aivanhov ? Celui qui stipule bien en son livre que blanche

Est or de référence racial à la fraternité. Mais le blanche d’une vie fraternelle harmonieuse,

Respectant chaque race, chaque religion, chaque nationalité… Serpent et dragon phallique,

Dans le hier est né de mes mots, le monstre sodomiaque gomorus, le dragon du lémania aux

Sept sirènes, un nouveau mythe pour argumenter le Tantrisme de chez nous, comme celui du

Chevalier sauvant la princesse tuant le dragon. Dans le lors Celtique ou dans les traditions Germanique de la saga des Volsungs oû Sigurd acquiert les pouvoirs divinatoires sur le cœur sanguinolent du dragon Fafnir, o lecteur qui lis « je suis » lis « je suis le dragon Fafnir  et toi qui écris ces mots tu

Es Sigurd , toi qui me vois depuis ton maintenant à travers la fenêtre de Fionn». Tous ces lors de

Notre Tantrisme, je les range dans le don de Freya, au même titre que le monstre sodomiaque

Gomorus, ils comportent leurs mots à dire. Dans ce maintenant, je prie, je médite, le livre du pâtre

Des pâtres, est dés maintenant une nouvelle science doctrinale des forces notamment sexuelle pour

Mes prochains passages, ceux de la nouvelle science de chez nous. L’évolution de ma spiritualité,

En bon saint-lascar, est celle de la maîtrise des arts sexuels. Pourquoi mettre une image diabolique,

À cette acte de guérison qu’es cette art que l’on pourrait dire martial. Tous plein de mots pour faire

Monté les désires de toutes à chacun. Je le pense, la véritable clef de toute sainteté sexuelle, reste

Le fait de tenir à l’esprit que la sexualité reste un acte reproductif. Tout le charme de ce laissé tenter,

Se trouve en cette phrase. Tous l’art érotique qu’il soie littéraire, photographique, ou tous ce qui peut

Être considéré comme un art pornographique, développe le tantrisme de l’être quand il est compris

Au sens artistique du terme. Celui qui confond l’art Erotique à un simple acte de dévergondage, ne sache comprendre son fondement, car il se laisse porter en cette lettre de noblesse féminine, en laissant surgir ou naître son Anima sans pour autant le maîtriser un jour. La seul chose idiote chez

Les amateurs d’art érotique, c’est que pour la plus part, il ne sache reconnaître consciemment ce

Genre de valeur artistique. Cela fait de cet art très juge de l’intérêt à la personnalité féminine, ou

Du fait d’une personnalité responsable au sens martial du terme, ou au sens naturel du terme.

La sexualité garde par la même son sort ou lot d’art ésotérique, tous en rappelant que Foeh reste

La première rune du Futhark, et place la sexualité en premier plan de la spiritualité, guide ésotérique,

En parlant au temple Ashram Mosquée de Agios le lascarus, avec le gros Ya Sheink, celui- ci m’a

Dis que le but de l’ultimation, ou le fait de ce marié et de faire un enfant, est au minimum la moitié

Du chemin spirituel. La sexualité fais partie du début du chemin de l’Atman, d’en parler peut toutefois

Garder cet aspect là, de ça personnalité, comme acte de foie et suivre un chemin plus tôt Freyien.

Cela comporte de nombreux risque de mécréance, du fruit que cela peut monter facilement à la tête.

Mais l’avantage au Freyanisme, c’est que dés lors que celui-ci est institué en une personnalité,

il est difficile, voir impossible de le rendre négligeable, car cela donnes à l’homme ça place hiérarchique

de mâle dominant et par la même, enlèves toutes inquiétudes à la femelle, qui dés lors peut laissé porté, sans se poser de question, du bien, du mal, du suis-je belle, suis-je moche, elle peut vivre

dés lors ça vie, sans se poser de question et s’épanouir comme une fleure sauvage que l’on arrose

et féconde, elle trouve dés lors ça féminité, son rang social, etc… le problème, n’est pas la femelle,

mais la faiblesse de l’homme, la mécréance de l’homme, l’avidité de l’homme à ne pas se voir comme

un grain poussière au yeux de Yobha. La femelle ayant l’homme de référence, dois dés lors ne plus

ce préoccuper des charmes d’autrui, ci celui-ci ne peut respecter les autres hommes de son entourage,

l’homme qui ne trouve son chemin ne peut être aidé que par un semblable, comme femelle sur le mauvais chemin ne peut-être guidé au premier pas uniquement par une femelle en bonne conscience,

soumise au diktat de son homme de référence, qui ce dois d’être apte à la guider ainsi que apte à comprendre son appartenance racial. Pour d’autre cas, être capable en ce qui concerne de ce rabaissé

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devant cette image de référence de la race de celle-ci. Tous cela pour dire que nous autres hommes

nous nous devons au masculisme et érigé un clanisme hierarchique, en gardant l’œil de Yobha, de

cet océan de totalité ou, au fond, somme tous des êtres humains, toute à chacun unique…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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CHAPITRE VINGTIEME

 

LA GARDIENNE DU TEMPLE

 

Elle est là, tous les jours, elle me réveille le matin au Temple de la commandature générale,

Derrière ces habits d’uniforme, l’on peut la croire moche, toutefois, si l’on se concentre sur

sur son jolis minois, l’on y vois les traits d’une beauté raffinée. Elle porte ça chemise comme

un pleutre masculin la porterais, je pense que cela est normal, car l’habit de gardien est celui

d’un homme, bien entendu sans faire de matschisme. Je me demande bien s’il est possible

de coucher avec une gardienne de prison, en tous les cas, je lui ferais la prise du Sodomiaque

gomorus, née du worisjulianisme discipline de Freya. elle est très jolie, mais à ce jour, je n’ai pas

encor regardé ces fesses, car je n’ai pas eu le temps, mais elle surement une femelle très douce.

Je me demande si ça petite bouche suce bien un sexe comme le mien. Je là sens venir gentiment

picorer en mes mains comme un moineau ou une corneille, une chose est sur c’est une fille de source.

Est-ce elle qui demain viendra me porter le petit déjeuner. Ca présence, est celle d’une fée apportant

de la douceur dans ce monde de brute. Voilà que enfin je dévoile mon côté masculin, en dehors de

mon côté sadique annal qui toutes ces derniers temps prends le dessus sur ma personnalité.

Le saint-lascars, o nom du juste, du franc et du prisonnier, ne laisse t’il pas transpercer de mon dard,

un gentil petit scorpion ? En tous les cas, je loue l’esprit saint du grand prisonnier, de pouvoir le faire,

non pas par assujettissement à la sexualité, mais uniquement afin de captiver o toi lecteur à continuer

mon livre. Moi et ma gardienne, elle que j’aimerai pouvoir fouetté au ceinturon, juste pour défilé la

Logique hiérarchique, juste par acte gratuit. Oui j’aime diviniser les êtres du sexe féminin, car ma logique, poursuit cette entité et façon de faire ancestrale et éternelle. Omraam Mikael Aivanhov fait bien

ressortir dans son livre « la force sexuelle ou le dragon ailé », non que je fasse du prosélytisme pour ça

vision des choses qui n’est pas fondamentalement la sienne, mais qui logiquement dois être la vision

ou vision parallèle de toutes hommes européens, voir ces cultures appropriée à l’être en question

mondiale, malheureusement il n’en ai pas ainsi. En bon maître marabout de ma génération et en dévolution aux règles des traditions ancestrales. Par pure soucis de courtoisie je te dis à toi,  o lecteur qui lis « je suis », que Aivanhov suit ça logique et que moi, je suive la mienne, toutefois cet logique, étais la sienne avant la mienne, mais restera la notre en le sens du centre cosmique du terme, tous en restant propre à chacun, car o lecteur qui lis « je suis », lis donc « je suis aussi le dragon ailé pour le

perpétué… Aivanhov reste ainsi en les légendes de la glorification shamanique de Foeh, de l’imminence du Worisjule premier. Tous cela, juste pour le bonheur que m’apporte l’art érotique de Mlle

Christina, ma petite chienne, qui m’apporte comme un os, cette mlle Pernilla, qui je l’espère me racontera ça jouissance comme je le lui ai demandé. Mais revenons à ma gardienne, mignonne gardienne qui comme une dame du lac, en soucis de la divinisé. Peut être que mademoiselle un jour, vous lirez ces mots et vous comprendrez que par ceux-ci, dans l’éternité, vous serez la divine princesse

de l’ordre des gardiens veilleurs de la commandature du st-lascar. Qui peut savoir si dans quelques années ma prophétie ne ce réalise, dans le sens de votre conception, car en ma conception le fait de ces mots, l’éternise et le concrétise de ce fait. Oui la gardienne du temple est affilée à l’ordre féminin du sein rouge. Mon honneur est grand, mais faut-il dés lors le savoir, de toute mon humblesse, seul pour moi compte la valeur artistique. Pour toi, o lecteur, je te demande de perpétuer ce livre durant des siècles et des siècles, pour que mon art et mon nom, ainsi que tous ceux que cet art représente, puisse vivre dans l’éternité des références de l’humanité, Alléllouia, Amen, Osana, Ka, Ginesto !

Je suis l’Oracle solaire, celui qui ne revient qu’une fois le millénaire, je suis le Worisjule premier,

pour ta conscience pas suffisamment développée, pour atteindre des sommets Tétaniques, que seul

une de mes femelles dévouées puisse comprendre, cela au jour de ça dévolution totale et inconditionnel, celle que à ce jour, je pense avoir trouvé, mais cette fois, je le pense vraiment y être arrivé.

 

 

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CHAPITRE VINGTETUNEHIEME

 

KUMAR THE RETURN

 

 

Quand j’étais minuscule et que je ne fumais encor de la saint-c-millias, j’étais déjà un fouteur de merde,

J’étais dans une école spécialisée. là bas j’y étais avec Kumar…

Dans le maintenant, à la commandature générale du st-lascar, où je vis, dans ce maintenant où j’étudie

les Yoga’s Sutra de Patanjali, fessant ma promenade de l’après midi, dans la coure, une voix m’appelle, « Julien, Julien » je me demande alors quel est cette voix, il s’agit de Kumar.

Kumar, dans le temps, étions, lui et moi, dans la même école spécialisée, quelques fois nous n’étions

pas tendre avec, sans pour autant le molester. Il ne parlait pas bien le français, un phénomène de groupe était dirigé contre lui. Plus tard, je l’ai rencontré dans un foyer à mes 18 ans, où je devais y

rester pour ne pas aller à la prison pour mineur de Vallmont. Je ne me suis jamais reproché d’avoir été

un temps soit peut méchant avec lui, car moi aussi j’ai eu mes emerdeures qui eux avais l’âge comme

point fort. Non pas que j’aye été molesté durant mon adolescence, mais à cette époque, je trainais

beaucoup en ville, et les phénomènes de bande étaient bien rependus. Toutefois comme lui, je suis

toujours resté intègre, et l’on a finis par m’accepter. A ce jour, Kumar n’a pas changé dans son expression. Sur le moment, je me vois un peu comme lui, une personnalité à qui on donnerait le Yobha

sans confession, mais une ordure dans le fond, voilà ce qui explique ce qu’il fait ici avec moi.

Kumar, est sri lanquais, quand j’étais plus petit, avec Rupoyon fabulais ensemble sur lui, des histoires

de Kumarien. Bien que on l’embêtait, j’ai toujours gardé une énorme estime pour ce mec, car il ne m’a

jamais reproché ces choses, comme moi je n’ai jamais reproché ces choses que l’on ma fait.

depuis ma cellule, après la promenade, je lui écris une petite lettre, l’invitant à une partie d’échec,

il est dans le quartier psychiatrique, dans mon courrier, je lui conseille un avocat afin de se libérer de

ce quartier, verra t’on ce qu’il me répond. Je serais heureux de le sortir de là, et de partir avec lui dans

une histoire de pognon, par exemple le fait de vendre l’histoire, car que on le veuille ou non, Kumar

fait partie de l’alliance Yoden. Pourrais t’il collaborer à mon œuvre, traduire mes textes en sanskrit,

afin de m’aider à la réalisation de mon rêve, celui de transcrire mes textes runiques et l’histoire en toutes les écritures. En bon Worisjule, je garde toujours confiance en ma mère adoptive, celle qui m’a

toujours guidé, l’ésotérisme. L’esprit Kumarien fais partie de la prière, il fait partie de l’esprit du grand-

esprit du prisonnier, car il en est ainsi pour l’éternité. Ce rêve dont je te parle à toi lecteur qui lis « je suis », c’est de bouleversé les réseaux d’influence de aujourd’hui, ainsi recréer et rouvrir les canaux

des réseaux shamaniques ancestraux. Car oui, je te le dis, nos ancêtres se connaissait déjà tous au

moment de la préhistoire, de l’histoire, etc… Les shamans, Yogins et autre maître spirituels, usait du

voyage astral et de la méditation dans l’inconscient collectif. Plusieurs fois, je suis allé à Edenyle, cette

vallée prêt du col de Jaman, ou est ce cercle préhistorique, est de là, dans la mer de rêve je suis partis

dans les rêves d’autrui, une bonne dose d’hallucinogène dans le ventre et l’esprit. Cette mer de l’esprit,

pour toi o lecteur qui peut dés lors lire « je suis l’aspirant » est à chaque être, sous la forme qu’il le désir. Cette forme, est le point de départ à la manipulation de l’esprit. Cette mer de rêve, chez les

Aborigènes d’Australie, que si notre société étais évoluée, je nommerais des Australiens, dans leurs

traditions exprime clairement ce fait. Ce temps de rêve, avant la genèse de toute chose existe, c’est

la prière qui donne lieu à la création d’un dessein. C’est cette prière que j’ai matérialisé à Edenyle

avant de débuter totalement mon œuvre, l’œuvre sacrée, du Worisjule premier, l’élaboration du

Corpus Worisjulien et de ça doctrine à l’aube de ce nouveau millénaire. Toi o lecteur, qui lit « je suis »

et qui en fait, n’est qu’un érudite à la lecture de mes mots, sache que je te pardonne de ma compassion, car ton erudisme, n’est pas de ta faute, tu n’es pas assez évolué spirituellement pour

comprendre toutes les multitudes de sens de mon travail. En effet mon œuvre, l’histoire, compte

huit milles, trois cents septante quatre aspects de compréhension. Je suis le Worisjule premier et

je te dis à toi o lecteur qui lis « je suis », cherche le véritable Worisjule si je ne suis plus ici, car je

te dis fils de Yobha, âme de mécréance sur la voie de la sagesse, je suis celui qui est le Worisjule

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premier, je suis celui qui est peut être le saint-lascarus. Peut être que si j’ai passé une partie de mon

adolescence dans la même école que le Yogi Kumarien, est que l’ancêtre à voulus le temps de rêve

d’une futur collaboration pour lui et moi au profit de l’histoire, seul Yobha peut le savoir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



21/07/2010
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