Entreprise le pâtre le Worisjule 1

Chapitre 13-14-15

 

 

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CHAPITRE TREIZIEME

 

RESURGENCE

 

C’est alors que je me suis levé, je marche à pied nu, le long du vent, le long du temps, sur ce passé

Que j’ai alors médité, je trouve les réponses que je désir, ma mère est comme les gens, elle est folle,

Elle ne l’a jamais laissé transparaître ou probablement elle ne l’a jamais remarqué, voilà la preuve que

L’on peut très bien vivre l’esprit troublé, et en même temps être aisé, en fait je n’ai rien à regretter, j’ai

Bien vécu à comme cela, mise à part que d’en connaître un peu plus sur ma mère, ne me dérangerais

Pas, quand à mon père c’est un inconnu parmi tant d’autre, il m’a foutu la paix et cela est mieux ainsi,

Jésus lui pardonné à ma mère également, affaire classée.

De m’être levé et de marché me rend résurgent, je suis comme Mithra, né d’une pierre cosmique en

Fusion de prière, agréé de l’engrais de douce oraison, le devoir sacré du Worisjule, de son mythe et

Maintenant est né, et toi, ô lecteur, te voila devenu maintenant l’un de ces gardiens, mais toi ange qui

Passe, crois-tu que un jour le vénérable ou le cheval, ces humbles de la croix-de-l’os, iront-ils à la

Grande mosquée, afin d’honorer la Ka’aba, baiseront-ils la pierre noire en pensant à moi !

Une voix douce est belle retentis des cieux, c’est celle de l’ange bleu, il me dit ;

 

Ange bleu- O Worisjule, Grand Berger de la paille, je suis l’ange bleu, si je peux, peut-être te répondre

Ne serais ce pas te blaiser d’une larme en ton futur ? Comprends, aussi ô lecteur que au moment ou

Tu lis ces mots, je suis en ton dos, afin de surveiller ton âme quand tu lis les mots sacrés du Worisjule

Premier, car entre chacune de ces lignes, ce cache la substance insatiable de la pierre philosophale,

Car où je te dis, je suis l’ange bleu.

Le Worisjule premier- O ange bleu, cesse de partir dans le futur, laisse le lecteur de demain la liberté

De lire mon saint écris, car dis « je suis » et maintenant « je suis comme l’ange bleu », cette nuit nous

Guiderons moi et mon ange, le traitre mot de ton monde de pensée, o lecteur, « je suis comme l’ange

Bleu » car maintenant tu as lu « je suis ».

 

Ange bleu- O humble berger, Worisjule premier, pâtre des pâtres et paupé universalis, maintenant

Je te lis « je suis », je reviens de ce futur lointain, j’y ai vu un lecteur, il ne comprend pas bien ces

Nombreux mots, mais je l’ai senti frissonner, il a lu « je suis », il a dis « je suis », mais il ne comprend

Pas, car je suis l’ange bleu, et maintenant « je suis » toi ou moi o lecteur.

 

Le Worisjule premier- Alors ange bleu, dis à moi o lecteur, que maintenant moi le Worisjule, si je suis

Mort maintenant, je te vois, et si toi, l’ange bleu qui possède le lecteur, fais lui fabriquer une croix en os,

À celui que tu possèdes, ou à moi qui lis « je suis », tu auras en mon nom, l’obligation de veiller sur lui,

Jusqu'à ça maturité, car toi « je suis », maintenant prononces à haute voix « Vec Balou Taf Uria W ,

Trinitus, Trinitus, Trinitus, je suis l’ange bleu, je suis le lecteur et le Worisjule premier est je suis.

 

L’ange bleu s’en ai allé et moi, j’ai continué, comme ma tendre mère, me disant et me l’a dis, ne regards

Trop le passé, vis le futur. Dans le monde de demain, je vais peut-être regarder les expositions de Rembrandt, je vais honorer la Ka’aba, tant de chose à faire à moi, l’homme ayant traversé les enfers

Avant de connaître la résurgence de l’éveil.

Je marche, je marche, je marche, et je comprends ce que j’ai toujours su, je suis le pèlerin de ma vie,

Je suis celui qui est, celui qui est un infime grain de poussière parmi l’infinie. Mon grain de poussière,

En la grâce de Hel, moi le guerrier au stylo, suis dans mon lointain futur, une résurgence de corps

Céleste qui, te guettera, parmi les cieux, à toi, o lecteur, le jour où tu me verras sous forme de météore,

Jette une pièce dans le lac Léman en chantant notre petit chant.

J’ai alors marché, marché, marché, mais même marché ne me sert à rien, en ce monde ou tous est,

Quand tu es zen en notre époque, fais ce qu’il te plaît, oui l’évolution de notre espèce atteint ces

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Ces bienfaits plus qu’a celui qui le désir, en ma grâce, les Skaldes et les Druides, seront dans ce monde, résurgent. Celui qui pour moi est celui de demain, des humbles de la résurgence, tous

Clameront le nom du Worisjule premier, Gloire, gloire, gloire, diront ils ensemble.

Le Worisjule premier est venu pour guider les sages et les sorciers au respect des esprits,

Les esprits des eaux, les esprits des aires, les esprits du feu, les esprits de la terre, les esprits

De l’élément subtil. Grace au petit pas de cet écris, petit pas pour autrui qui demain ne sera pas

Une poubelle malsaine, Cybèle ne sera pas une marque de bac à ordure, car ma marche ne m’a

Pas mené nulle part, elle m’a permis de comprendre des choses que avant, je ne comprenais pas

Et de rien maintenant, ce qui m’importe, c’est l’indéniable fascination, le vœu du voyageur dansant

Et peut-être qu’un jour mes pas, me mèneront à la prophétesse, la dame du lac, qui ouvrira en moi,

L’animisme de l’essence de mon anima shamanique, celui ce trouvant en la renaissance de l’anima

Mundi de chaque résurgence de l’être, celle qui effleure le charisme de tout à chacun.

Le rituel de cette marche m’a donc mené à comprendre l’arme précieuse de la résurgence, la résurgence des pâtres, la résurgence de la légion Alpina, la résurgence du Worisjule premier.

Où ce cache le dragon positif, l’animal féroce, veillant sur le trésor de la pureté des gardiens

Marabouts, la piste du dragon rouge et de son ordre, que moi le Worisjule premier guide au bon

Chemin. Où ce cache t’il, lui qui est venu amener la résurgence du celui qui délivre des pêchers

Du monde, moi, le worisjule premier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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CHAPITRE QUATORZIEME

 

LE PETIT PORT PECHE

 

Maintenant, le soleil, c’est couché, j’ai marché, j’ai marché, je suis sortis de l’histoire pour

Être l’être qui écris les mots, le maître du mot dans une cellule de prison, le temple Aschram

Mosquée du st-lascar, mais le soleil lui brille dans l’histoire, dans l’histoire du livre du pâtre des

Pâtres. Je marche, je marche, je marche encor, jusque au petit port pêche à la fin des quais de

Vevey, le vent souffle sur les arbres d’un bruissement tendre, sous le crépuscule s’harmonise

Un doux son tendre de chant auditif, que je perçois comme une douce musique de chant de

Sirène. Le lac est devant moi, car oui je suis assis sur un banc en face du lac Léman, je me suis

Arrêter de marcher, le clapotis de ces eaux rythme cet ensemble musical d’interminable mais

Apaisantes percussions, qui assouplissent mon âme toute en me gardant éveillé.

Je suis un peu en état de transe, et un nouveau temps de rêve est revenu à moi.

Au fond du lac, je le sais, les légendes le disent, il y a un énorme serpent, c’est le dragon sodomiaque

Gomorus. Il y a un certain temps, je suis allé prêt du port de territet, là bas, j’ai vus une sirène, la

Lorelei, ce port est un peut ça maison de vacance, je le sais. Comment y vient-elle depuis la mer ?

Ou plus tôt par ou ? je n’en sais rien… probablement qu’elle dois utiliser un certain nombre de canaux

Afin de passer de l’embouchure du Rhein au lac Léman, quand je l’ai vu, elle m’a conté que au fond du

Lac, il y un monstre méconnu des sages, c’est comme cela que je sais l’existence du monstre Sodomiaque Gomorus, car oui seul les sages et les initiés, ont connaissance du peuple des sirènes

Du lac Léman. Ce monstre, le Sodomiaque Gomorus, est très protégé des sirènes qui gardes son secret, afin de, qu’il ne se fasse tuer par un pêcheur fou, en quête de sensation forte. Comme je lui

Ai remémoré les secrets de la rune de Ur, soit ce qui concerne l’extermination finale qu’on vécu les

Aurochs, elle qui vis en l’éternité, m’a alors révélé ce secret pour que de mon côté, je puisse veiller

À faire comprendre à l’humanité, que bien que sept sirènes du lac, veillent à ce qu’il reste calme.

Quand il apprend les méfaits de l’humanité contre la terre nourricière, il a tendance à être un peu

Impulsif, voir destructeur.

Elle me l’a bien dis, toute l’amour qu’il est capable de nous donner, à nous autres, sirènes du lac

Léman, peut se changer en haine massive, quand il se fâche.

C’est lui, le monstre du léman, le sodomiaque gomorus, les sirènes dansent autour de lui, elles chantent des chants fulgurant d’ivresse.

Quelques secondes d’attention, me permettent de me demander, si le dragon ou le chant des sirènes,

Est le plus dangereux. Dés fois, dans le futur de ce maintenant, ô lecteur alors lis maintenant, « je suis », je me demande encor, et encor, si leurs chants strident est bien égale à ça dangerosité.

Je suis enivré du chant, de ces sirènes qui danse autour du dragon phallique, que je vois maintenant assis sur le banc du petit port pêche. Une conscience supérieur me tiens afin que je ne me jette dans

Le lac, nager, plonger rejoindre les sirènes au fond du lac. Une voix des cieux, probablement celle des

Ancêtres, me dis en parole du ressentis, « O Worisjule premier, reste sur le banc, ne viens pas nous pénétrer au fond du lac, car tu es le Worisjule premier, le Worisjule des cieux, tu es la voix de l’ancêtre,

La vérité terrestre. Reste sur le banc, car l’avenir t’est voué, pour avoir la soumission des femmes de

Ton pays, tu fais partie de l’histoire comme le sodomiaque gomorus. Peut être que le jour ou tu le reverra, se seront-elles qui le charmeront de chants, et peut être, voudras t’il quitter les eaux, O Worisjule premier, comprends que les rares qui on vus le sodomiaque gomorus, sont soit décédé,

Soit devenu des êtres de grandes volontés, mais peut, y sont arrivé. Ecoutes, au fond de ton cœur,

Les vieux adages alpestres, car le défaut de l’homme, et de manger l’herbe de son voisinage.

Je me suis évanouis, dans le fond, si je peux me voir et me comprendre, je me suis dis ; sois

Je vais au songes éternel, sois je reviens à l’aspiration de la vie à l’aspiration d’un grand homme.

Je suis resté évanouis pendant des heures, je n’ai pas de montre, je ne sais pas combien de temps,

Mais quand je me suis réveillé, je suis devenu alors un autre. Le soleil alors se lève, au loin, derrière

Les montagnes françaises, c’est tôt le matin. Je suis rester évanouis toutes la nuit sur ce banc,

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En mon cœur, maintenant les choses sont claires, grâce à cette aspiration, l’aspiration de l’inspiration,

Éternel du bonhomme de paille qui as émergé de l’océan cosmique pour venir à moi, le Worisjule premier, au profit de l’histoire, celle d’une nouvel légende. Au début de ce nouveau millénaire, le

Monstre sodomiaque gomorus, m’est apparus, uniquement par la volonté des sirènes, qui voulaient

Que je l’inscrive dans les annales de l’histoire, afin qu’il puisse faire partie de la légende lémanique.

Car bien qu’il soie un monstre, le fait de son intelligence, est et étais toujours bien réel.

Une nouvelle légende, venue des confins des temps, dans ce lac, où se jette la Veveyse,

La Veveyse qui longe et passe prêt de la vallée d’Edyle, là bas se trouve le lieu mystique,

De Potlotempko, ou les sages du Yodenpo, viennent en pèlerinage et viendront encor dans les

Millénaires à venir, en la gloire des Worisjules prochains. Oui Potlotempko est dés lors, à la grâce de

Hel, le renouveau de la résurgence Arienne, le Stonheng des temps modernes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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CHAPITRE QUINZIEME

 

PRODUIT DU TERROIRE

 

Suite à cette mésaventure, je suis rentré chez moi, je suis rentré chez moi. Bien que j’aye dormis au bord du lac toute la nuit, le chant des sirènes a été pour moi si éprouvant que j’ai dormis, dormis, dormis, en rentrant dans la pièce, ceci pendant au moins 24 h. le lendemain matin, je me suis réveillé, et encor là, je suis fatigué, peut-être que cela viens du fait que j’ai trop dormis, oui dormir est une chose énormément fatiguant.

Je descends à la boulangerie, et j’avale une bonne tresse, avec des croissants, en effet, une chose est

Claire, je suis à la lettre les prescriptions de ce brave Grecque, représentant du parti ouvrier populaire vaudois, bien entendu, suivant ce que mes finances me permettent. La vraie richesse, commence par

Ce que l’homme consomme, il va de sois qu’une bonne consommation, signifie de consommer de bon

Produits, les bons produits sont notamment, ceux du terroir, manges le fruit de ta terre, O lecteur, écoutes la voix du fruit des vieux adages de chez toi, qui disent ; « O lecteur, que l’herbe du champ de

Ton voisin, est meilleur que la tienne, comprends de ces mots, ce que tu veux bien comprendre, mais

La vérité de mes mots, est ou tu veux bien la comprendre, essayes dés lors de les comprendre en mon

Sens. Les croissants de cette boulangerie, son si bon, que dés fois, je pense pouvoir tuer ma mère, pour en avoir en sois, un effet gustatif vraiment extraordinaire, du beurre qui fond au fond de ma langue, je pense même que l’état devrais les vendre uniquement sous prescription médicale, tellement

Cet art culinaire fait vœux à ces adeptes d’une dépendance accrues.

Mes mots te sont dés lors destiné, ô lecteur qui lis « je suis » si tu es apte et sage à comprendre le

Poids de mes mots, qui doivent te fondre dans les vagues de tes pensées, t’emporter comme une feuille dans le vent, car, bien que je ne soie pas le Prophète Mahomet ou bob Marley, Jesus Christum,

Ou un autre devaillons (Devata, à qui ont est dévoué, éon, en patois) Je suis comme toi, le fils de Yobha, oui je suis le Worisjule premier, je suis comme tous les noms dévoué à l’aspiration de la

Mystique de hier à demain, l’écriture guidée par la force de l’espace cosmique de totalité.

Maintenant mes croissants, sont mangés, la vaisselle est faite. J’entends la sonnette de la porte,

Je vais répondre, c’est un grand alchimiste très reconnu qui m’est venu, « l’alchimiste de la Métaphysique d’Eurydice », je le fait s’assoir à la petite table où je viens de déjeuner, ensemble,

Nous allons faire, ce à quoi il est venu me consulter, une réflexion méditative sur les acres du coma.

 

L’Alchimiste de la Métaphysique de Eurydice, est un homme comme les autres, on peut l’identifier

À monsieur tous le monde, il porte des lunettes, cheveux rasé, env. 1m 80.

Je lui sers une infusion d’alpage, de menthe sauvage, il s’allume une cigarette, je lui tends un cendrier.

 

Il commence ;

 

Le Worisjule premier- Parle moi d’Eurydice.

 

L’alchimiste de la métaphysique d’Eurydice –Il y a longtemps, j’étais au temple du st-lascarus, à un

Moment de clairvoyance, un jour, cette révélation m’a été faite, je n’ai jamais su, si cet illumination

Avais été un don du st-lascar, si une âme errante sous ça domination est venue à moi, ou si simplement cette illumination n’étais que la révélation de Yobha.

 

Le Worisjule premier- Alor…

 

L’alchimiste de la métaphysique d’Eurydice- Eurydice celle dont je connais les secrets de l’Alchimie,

Est une Eurydice, parmi de nombreuses Eurydice qui nage dans les souvenirs de la mythologie,

Comme toi, O Worisjule premier qui te mystifie par la foie de ta connaissance, cette Eurydice, c’est

Fait mystifiée en déesse, il y a de cela des millénaires, au nom des bienfaits de la science et de la

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Philosophie. Je te raconte ce qui vaut qu’à ce jour son nom, soie prononcé. Cette Eurydice est une

Dryade, à ce jour là, là plus célèbre, ces Nymphes tirent l’étymologie de leur peuplade du mot grecque

« Drus» qui signifient «chêne».

Vigoureuse et fraîche comme l’arbre dont elles ont la garde, elles peuplent les forêts de chêne qui était

Et sont particulièrement sacrée dans la religion grecque. Par mimétisme, elles ont la taille et la forme d’un tronc et de ces racines, comme les commères de Hel, elles veillent sur leurs demandes, les Dryades quittent les forêts pour ce marier, ce que fit Eurydice qui épousa Orphée, le plus grand poète

Légendaire de la Grèce, et fondateur des mystères orphiques d’Eleusis. Eurydice accompagnée d’Orphée, s’établis à Thrace, un jour alors que Eurydice jouais dans les champs avec ces compagnes,

Et le Berger Aristée qui aimait poursuivre les Nymphes, les Dryades et en particulier Eurydice, passa

Par là et la vis. Fou d’amour il se mit à lui courir derrière, Eurydice de la crainte de la fureur d’Aristée,

Partis dés lors en courant. Par malheur, elle marcha sur une vipère qui l’a mordit, elle mourut.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



21/07/2010
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