Chapitre 10-11-12
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CHAPITRE DIXIEME
REMBRANDT
La position Celtica Yogin m’ennui, je ne peux la tenir, est ce que cela viens du manque de concentration. Mon Karma n’est il toujours pas centré, suis-je autre que moi-même, tant de
Question sans réponse, qui me mène au dehors sur les chemins de la vie, les chemins m’ont
Mené au loin dans un musée !
Là, je vois un tableau, ce tableau à été fait par l’artiste Rembrandt, il représente une image
D’impressionisme, dont je cache le titre, afin de préserver les personnes qui y sont représentée.
Je me dis au fond de moi-même, « Ah quel grand homme », suite à ma second réflexion, « Ah quel
Enculé », cet homme doit depuis longtemps, quand il l’a peint, se dire « dans mon futur les gens
Regarderont mon tableau et ce diront que je suis un grand homme, c’est pourquoi je suis un génie ».
Comme tout artiste, un jour il à du se demander pourquoi il fessait tous cela, est-ce là qu’il c’est arrêté
D’en avoir quelque chose à foutre de la vie ? Ce jour là ? Les Libellules ont-elle des ailes bleues ?
Vas te faire foutre gros con, ou grosse conne qui lis ces mots.
Rembrandt, en fait, devais être un sal con de première, peut être pas autant que moi, car son temps
Exigeais un minimum faux-cul, pas autant que Jésus, car Rembrandt n’est pas mort sur la croix.
Une chose reste dans mon esprit, dans ma position Celtica Yogin, Rembrandt était il Yodenpotiste,
Fumait-il des joints, chantait-il frère Jaque ou Joyeux Noël, avant de faire l’amour avec ces pouliches ?
Rembrandt fessant ces peintures, ce disait probablement, au fond de lui, comme tous les meilleurs
Artistes qu’il avait le don de SJBPSPAJTEJ, nom de YOBHA en 12 lettres, ce qui lui menais la main
Pour peindre.
Connaissait-il les Ogams, par Lugh, et connaissait-il la fenêtre de Fionn ?
Pourrait-il dès lors se demander, que pour lui, peut-être suis-je SJBPSPAJTEJ, ou alors ça main.
Moi je médite sur lui, les yeux fixer et concentrer sur la fenêtre de Fionn, moi du haut du futur,
Le voyant du peindre dans le ressentis, moi le Worisjule en position « Celtica Yogin ».
Moi l’élu de ce nouveau millénaire, l’élu, le premier guide spirituel Arien de ce nouveau millénaire,
Moi qui à cet instant, comprend que le stylo bic tous rongé que j’ai à cet instant dans mes mains,
Marque des mots de toutes les futures philosophies, qui guideront les traditions de demain.
Je suis très fière d’être l’incarnation suprême du Worisjule premier, d’être le paupé universalis,
Moi le taulard que tous le monde à laissé tombé. Seul mon égo, m’aide et m’aime encor,
Si je n’aime pas les gens et si les gens ne m’aime pas, c’est la faute de SJBPAJTEJ, la thèse
De ma méditation ce trouve probable, je suis le paupé universalis.
Rembrandt à t’il connu la honte ou la haine que procure le choix de celui qui renie le poison de
La possession, en répudiant la mécréance aux prix de l’enrichissement personnelle, lui qui n’a
Eu le choix.
Suis-je le seul être du futur de Rembrandt à avoir vécu l’expérience yoguique, que je nommerai,
L’expérience de SJBPSPAJTEJ ?
L’expérience de SJBPSPAJTEJ, est elle possible dans le futur, le SJBPSPAJTEJ de Rembrandt,
Viens dés lors de son passé, comme le SJBSPAJTEJ des Worisjules prochain, venant des traits
De ma plume. En ce qui concerne Rembrandt, je n’ai pas grand-chose à voir avec lui, mis à part
Que je soie le fait que je soie autant un incompris que Rembrandt, toutefois je dessine mieux que
Lui, cela me laisse donc présager que je soie belle est bien le SJBPSPAJTEJ, mais, peut-être
Suis-je plus que cela, moi le Worisjule premier, le point culminant du SJBPSPAJTEJ de señor
Dali également, pourquoi, ce genre de chose reste un grand mystère.
Cette méditation, m’a offert un nouveau rayon de réflexion, à moi, le roi soleil. J’en suis arrivé à
Me dire que l’éclaire de lucidité qui me fait parler de toi, Rembrandt, toi de ta puissance de
Magicien, tu prends dés lors, possession de l’âme de toi, ô lecteur, ô Rembrandt comprends
Ces mots. A toi que je parle de mes mots, peut-être que ton âme primaire et réincarnée sous
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La forme d’un oiseau, celui qui, de temps à autre, vient picorer les miettes entres mes barreaux de
Cellule, ô Rembrandt réponds moi.
Réponds-moi, que je suis la puissance méditative, que je puisse me dire, en position celtica Yogin,
Que la clef de tes mots, et de ceux du magicien Dali, sont aussi dans le livre du pâtre des pâtres.
Que l’histoire est comme une bible, une histoire si intéressante que toi ô lecteur, tu en louperais
Le train entre mes lignes, ô digne lecteur, moi le Worisjule premier, je te guide par la nécromancie
Et l’odeur d’une compréhension, de, et, éternelle…
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CHAPITRE ONZIEME
L’EVEIL
Aum, Aum, Aum, so’ham, je suis Brahman, so’ham, Aum, Aum, Aum, je suis l’Atman, Aum, Aum,
Aum, A pour le plan physique, U pour le plan mental et astral, M pour le sommeil profond, je suis
Le bienheureux, j’ai repoussé Mâyâ de mon être, bientôt le seitan ne m’atteindra plus, je n’aurais
Plus aucune surimpositions illusoire, car le grain de la pureté, de la lumière de l’âme et de la
Connaissance, de la conscience pure, ainsi que l’existence omni pénétrante, peut continuer mon
Chemin de vie, afin de m’accompagner comme un tuteur des cieux, un ancêtre dans l’autre monde.
La fixité de mon esprit est revenue, quel est ce nouveau stade de l’éveil éternel, qui peut à peut, aux
Files des jours de positions « Celtica Yogin », mon esprit retrouve la paix de mon adolescence, ce
Calme de l’esprit que je croyais ne jamais retrouver, après l’avoir dûment chercher et rechercher.
J’ai finis par me dire que mes pensées filantes font partie de l’esprit adulte, ceci afin de me faire une
Raison.
Maintenant que ma méditation me permet de retrouver le cape de la stabilité du ressentis, je me dis
Au fond de ma conscience que ma nature consciente se trouve dans ma haine, celle qui a nourris
Mes derniers travaux de magie de malédiction. En effet j’ai maudit toutes créatures qui ce mettrais
À contredire l’espèce, voir de l’éteindre. Je suis le sorcier qui se trouve comme l’homme manipulant
Des produits radioactifs, mais je suis le bienheureux et Odin guide mes pas, mon âme à résisté à la
Pourriture de mes actions, je vous ai lancé de terribles malédictions, Nostradam les connaissaient,
Il les a notifiés dans ces livres comme étant la puanteur du lausanna, oui cette expression, exprime
Les 12 malédictions que j’ai projetées contre l’humanité, en réponse au déboire sexuel, ayant pour conséquence l’extinction de la race Arienne. Dés lors que je suis dans ce moment d’extase, je me
Suis dis que, au temps de plume sont là pour inscrire les conséquences de la puanteur du Lausana.
Mes malédictions poursuivront et obséderont tous ce que moi et mon âme, auras jugé bon d’être maudit, pour un minimum de milles ans, les malédictions seront perpétuée dans le rôle des Worisjules
Prochain, car moi, le premier prophète, le Worisjule premier je dis dans le livre sans nom aux pages qui m’ont été dévouée, « douze chevaliers de l’ordre du scorpion de paille, chacun formant un ordre, dont chacun des douze ordres gardera le secret de l’une des douze malédictions que j’ai professé, les douze
Chevaliers se reconnaîtront par un scorpion dessiné tatoué sur la main, ils auront pour mission de veiller
Au bien être et à la sécurité du Worisjule premier, seul le Worisjule serra leurs donné et reconnaître leurs véracités ».
A chaque moment de nouvelle incarnation ou un héritier spirituel de Worisjule viendra à prendre la
Place de celui qui sera décédé, les douze chevaliers se retrouveront à la vallée d’Edyle, avant d’aller
À la cathédrale de Lausanne, celé à nouveau le pacte incassable des douze malédictions, qui protège
Dans l’éternité le Worisjule et ceux qui auront été jugé bon par l’âme du Worisjule premier.
Cette lueur d’éveille s’est interrompue et une lumière très claire me fait un flash, le son d’une voix
Très forte de tonalité, mais à peine perceptible est à l’entente du ressentis me vient à l’esprit ;
« Hari, Hari, Hari, » ce raga à Hari m’est alors parvenu, en faite, en une partie de moi, j’essaye
D’entendre comme je le lis, la flute de Krisna qui me voue Lugh, pour ne pas trahir mes ancêtres au
Bénéfice du panthéon indien. A ce moment là, Krisna, ne dois probablement pas jouer de ça flute,
Mais il appelle Hari de son cris, pour lui dire, « le Worisjule premier est arrivé.
La position Celtica Yogin, m’est maintenant révélée, l’aspect de l’éveil sur demande, me fait venir
Un instant de paix et de solution. Au moment venu, le bienfait de mon âme à retrouvé son état de
Légitimité primaire, maintenant ma libération spirituelle, c’est devenue. C’est le point de départ pour
L’évolution, je décent du trip le plus puissant qu’une personne aye pus faire sur terre, j’ai réalisé
Mon rêve spirituel, celui de cassé les barrières de vos perceptions, je reviens comme-ci, sur terre,
Je normalise une nouvelle vision.
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Toi qui lis ces mots, tu ne peux me comprendre, l’étendue du flou d’énergie spirituel et les conséquences de ce flou sur l’humanité, cela, je le pense, que je soie le seul, à pouvoir le
Comprendre. Pour que tu comprennes quand même, quand je regarde la télé, à ce moment
Où je t’écris ces mots, toi ô lecteur que j’ai transformé en Rembrandt, répète le toi, au fond de
Toi, « que je suis me guide », ô oui, en regardant la télé, le télé-journal, maintenant chaque mots coïncide avec ma prière. Alors toi qui viens de lire « je suis », lis également, « je suis qu’un con »
Et lis en ton esprit « le Worisjule premier est l’intelligence suprême, comprend le, maintenant je dois
Quitter ma méditation, avant que l’on ne me retrouve dans ma grotte publique, loge ou cellule de
Pénitencier, oui j’écris ces mots depuis une prison. L’ont m’a mené l’histoire que j’écrivais dans la
Pièce, ici pour que je là continue. Peut être que les hallucinogènes ont contribué à l’affaire qui
M’a mené ici. Il faut que je sorte de ma méditation, avant que mon esprit quitte mon corps, que l’on
Retrouve mon corps glacé et l’esprit bloqué au Nirvana. Le sage sait aussi sortir pour revenir au monde,
Ou l’on garde les pieds sur terre, ce lieu sur la carte de la cosmologie méditative, que l’idiot nomme bêtement réalité. L’idiot à ces bienfaits, car dans son idéal, une chose est claire, il ne voit jamais
Plus loin que le bout de son nez, l’idiot est un peu de temps à autre le téléphone de Yobha.
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CHAPITRE DOUZIEME
DESCENTE AUX ENFERS
Resurgissant de ce paysage de vestige de l’éveil, ayant atteint l’état yoguique de la libération,
En revenant à la réalité de Monsieur tous le monde, un instant ce que moi j’appelle la lucidité
Et que Monsieur tous le monde appel la translucidité, je me suis remémoré ce qui m’avais
Mené à cet éveil.
Avant cet instant, quoi que j’entreprenne, j’oppresse le sentiment de satisfaction, c’est comme
Ishtar, je possède, non pas l’amour et la fertilité, mais le don de Thor, la force et la gloire en mes
Actes, j’ai le don du guerrier, de ne voir que les fait sous un angle victorieux, époque de jeune âge,
J’ai toujours été au dessus de la majorité, sans désir de me vanter. Comme Ishtar, j’ai sombré dans les
Enfers, une descente comme si l’ont vas au paradis, non pas les enfers comme le décris les Toxicomanes quand ils font un livre en sortant de leurs misères, mais l’enfer qui touche les initiés,
L’enfer où la tradition ne mets plus les pieds.
Une haine au fond de moi, m’a depuis toujours rongé, seul la sainte Marie-Jeanne, herbe de la rune
AC, herbe que Yobha, à mis à disposition de l’homme. Comme l’aurais dis tous comme moi,
le marabout et grand guide spirituel rastafari Bob Marley, seul la Marie-Jeanne peut apaiser
Cette haine, celle qui est née parce que mes parents n’ont pas eu l’obligeance de me faire naître
Normal, naître de sang pure, naître d’une seul couleur de poile.
Depuis toujours, ils m’ont fait luire, leurs êtres comme étant des gens responsables, mais en fin de compte ce sont des gens malades, des fous dangereux, psychopathe rongé par la maladie que je
Nomme syndrome du M.P.K., le fait d’identifier son ego de l’autre sexe à une personne de la même
Race, ethnie. Cette chose rends fou à la longue, rend bête et méchant. Le fait de faire des enfants en couple biracial sans assentiment Marabout est une pure folie. Le fait de penser que l’on est normal
En couple biracial, rend fou, car comme les oiseaux dans le ciel, si Yobha, nous à mis des couleurs,
Des races, c’est pour les préserver, car Yobha, est l’infinie et la vérité. Les choses sont comme elles sont, les races et les ethnies, sont faites pour se reproduire entre elle. Si l’on est d’accord, il vaut mieux
Se plaindre à Yobha, au premier créateur. Je suis né lucide, comme l’on pourrait dire un élu de Yobha,
Ma mère et mon père, ne m’ont jamais laissé transparaître aucun de leurs sentiments, mais au fond,
J’ai toujours sentis cette liqueur, qui à toujours été, ce que monsieur tous le monde appelle, l’amour
Paternel, l’amour maternel. Etant l’élu de Yobha, je ne regrette rien, au lieu de parents humains, mes parents ont été la nature de l’ésotérisme pour amour maternel et les ancêtres comme guide paternel.
En bref ce néant sentimental m’a fait naître, mise à part le rudiment de l’apprentissage de la vie, naître
Adulte. En bref, je n’ai jamais été un enfant, je suis nés plus responsable que ceux qui doivent m’enseigner ces valeurs, mais l’ancêtre ne sont pas dupe. En bon shaman, il a prévus le coup.
Le jour où tout à flancher, c’est le jour où j’ai vus mes parents à niveau, voir mes congénères, ceux
De ma génération suive ce chemin de mécréance, comme si mon frère, prends la place de celui qui
De son subconscient à toujours voulus me tuer, juste mon père.
Ce jour, la blessure de la haine de mon cœur, n’a jamais été aussi ouverte, c’est pourquoi étant aux
Enfers, je vous ai anéantis par les pouvoirs sacrés de ce que ma mère spirituel, l’ésotérisme, appel
Les malédictions, les dons de Hel, à moi l’élu de Yobha, que en langage monothéiste on pourrait
L’élu de l’Ancêtre. Toutes ces incantations maudites, ont finis par nourrir ma haine, celle qui vis et
Vivra en mon cœur jusqu’à ma mort, celle qui fait partie de ma force, lorsque je t’attaque, au point
Que je pense être entrain de pourrir de l’intérieur. Mon aura est la tente de sudation de ma haine,
En bon Berger, je me suis retrouvé en transe, mon tétane révèle son secret à mon conscient, celui
Du Dragon Rouge, je fus alors touché d’une vision, au bord de l’Hadès, du Styx ou de l’Achéron,
Buvant très peut et ne mangeant plus, le passeur Charron, de ça canne, me tape sur la tête, façon
De me faire comprendre, que ce n’est pas à moi de partir en enfer, mais aux incrédules mécréants.
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Suite à cela, à cette vision, j’ai lu la bible en entier, un grand Marabout, celui qui est le vénérable
D’Afrique, m’a aidé à retrouvé un karma stable, je me suis remémoré gentiment dans l’imagerie
Du songe de Jacob de William Black, pour monté les escaliers des anges, afin de maintenant,
Petit à petit, retrouver mon Karma stable de satisfaction. Petit à petit purifié mon corps de cette haine,
En laissant derrière moi, dans mon chemin de vie, cet oracle maudit, comme une crotte de haine,
Une énergie, fruit pourris de ma haine. Cela, je l’espère éradiquera ce mal social, qui me permettra
De retrouver la stabilité de l’hygiène raciale, la normalité des êtres, la vie du don de Yobha.