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CHAPITRE SEIZIEME
LE FAUX ESPOIR DU RETOUR D’EURYDICE
L’alchimiste a fait une courte pause à son récit afin d’écraser son mégot, d’aller au toilette uriner
Un coup, et de comme afin d’assouvir mon petit vice digne de voyeurisme, je l’entends se laver les
Mains, sur ce détail, je juge les gens, et je le pense c’est un bon moyen. Il revient s’assoir à ma table,
Sur la chaise que je lui ai présentée à mon arrivée. Il recommence ça palabre, comme si aucune
Coupure a été exigée.
-les Dryades vengèrent leurs sœurs en fessant périr toutes les abeilles d’Aristée, celui-ci sur les conseilles de ça mère Cyrène alla voir le devin Protée, qui finalement adoucis, il lui conseilla de
Sacrifier quatre taureaux et quatre génisses, afin d’apaiser les mânes d’Eurydice, neuf jours plus
Tard, ces abeilles lui revinrent des entrailles des animaux sacrifiés, les YOBHA lui avaient pardonné.
Orphée, fou d’amour et fou de douleur, obtint de Zeus la permission de la retrouver aux enfers et de
La ramener sur la terre. Orphée charma le chien à trois têtes Cerbère, le gardien de l’entrée des enfers,
Le pouvoir de ça lyre à neufs cordes, lui permis également de calmer les furies, ce qui selon lui allais lui
Permettre de ramener ça femme à la terre et à la vie. Mais son plan était sans avoir pensé à l’interdiction de Hadès, Hadès celui qui dicte à la terre la terrible loi de la mort. Trop pressé il ne regarda
Pas sur son chemin si Eurydice le suivais, arrivé à la porte des enfers, il tourna la tête et à cet instant
Quel s’évanouit pour toujours à ces yeux dans les ombres des enfers pour toujours. La fin tragique de ça femme eus aidé aux conséquences de ça mort, trop pressé, il ne regarde pas son chemin, si Eurydice le suivais, arrivé à la porte des Enfers il tourna la tête et c’est à cet instant quel s’évanouit
Pour toujours à ces yeux dans les ombres des enfers pour toujours. La fin tragique de ça femme eus
Aidé aux conséquences de ça mort qui survint plus tard…
Le Worisjule premier- je vois et je te remercie de m’avoir conté ce mythe, tu es bien celui que tu prétends être, « l’alchimiste de la métaphysique de Eurydice », écoutes maintenant ce dons moi
J’en ressors. Philosophiquement parlant, le fait que Eurydice soie une Dryade, met Orphée en position
De Skalde, de Shaman, de Druide. Lui qui fut maître de la poésie, avais le Sheining avec les forces de
La nature, dont comme tous bon père de la science des mots qui bercent l’Influensia, il avais le secret
Du ressentis de l’âme des bois. Eurydice est un peu, dés lors l’âme des bois dépeinte en la Fantasmagorie de la poésie d’Orphée, l’ange venant des sous bois où en secret cette âme suprême
Écoutais la profondeur d’Orphée, Eurydice la partie de son éternité dans cette courte ligne de vie
Terrestre qu’est celle d’Orphée. Pour lui, elle est, vigoureuse et fraîche, comme la bonté des croissants
Du boulanger qui m’a nourris ce matin, elle est le fruit du produit du terroir, un cadeau de l’âme de l’ancêtre, pour que ce shaman, ce druide, ce skalde, puisse être mené à un passage de l’expression
D’une science. C’est pourquoi, Eurydice quitte ça forêt, elle est le don de l’âme de la forêt d’Orphée,
Comme toutes les femmes, ça force ce cache dans la fragilité et la douceur, elle est la lune, qui part
Du Vaudou du petit bois, pour refléter le vaudou du soleil d’Orphée. Le fait de la fragilité d’Eurydice
Et le fruit qui fait ça maturation à la forme, comme celle des autres Dryades, des formes physiques
De l’âme du bois ou elle à vécu jusque là, forme Métaphysique de l’usure de cette compréhension à
Notre niveau. Ce qui fait que tu soies «l’alchimiste de la métaphysique d’Eurydice » fais de toi un fils
À Maman d’Orphée, un gardien des mystères orphiques d’Eleusis, je te le dis, comme les runes me
L’on dit, tu es un élu, fils de Yobha, une sorte de Cocteau au sens karmique d’aujourd’hui.
Le mariage d’Eurydice et d’Orphée est dés lors le mariage entre son moi de hier et le moi qu’il
A choisis d’être, celui de la fantasmagorie de ces mots dans les bois, ce mariage est la réalisation
De la récompense de son travail, l’accomplissement qui le mène à son renouveau, le renouveau du
Fruit de son évolution.
Alchimiste de la Métaphysique Eurydice – Mais alors pour toi, qui te fait appeler également le Berger
De Paille, qui est Aristée, car lui en cette mythologie est aussi le Berger de paille, qui est Aristée, car
Lui en cette mythologie est aussi un berger, racontes-moi, racontes-moi, toi qui te fait appeler aussi
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Dr Leboosch, exprimes moi le reflet de mon secret, tu es la parole qui me fait comprendre le
Secret de la science dont je dois garder, tu es le vecteur père médiateur de ma vie, tes mots
Sont ceux du soleil de mon temps, tu ne te fais pas nommer le roi soleil pour rien, pour moi
Tu es celui qui est, pour moi la seule logique est la totalité qui t’as accepté comme vecteur,
Racontes moi qui pour toi est Aristée.
Le Worisjule premier- Oui fils de Yobha, je suis l’oracle solaire, prends cette croix en os
Maintenant ta vie prend un nouveau chemin, car maintenant tu connais ta destinée, car oui
Je suis le vecteur et l’un de mes pouvoirs et comme ceux des Dryades. Celui qui comprend
Le demain, soit le tiens en attendant que mon talisman te mène à toi Dryade, moitié du don
De totalité, fruit du phantasme des mots que tu viens de lui passer à moi son vecteur, moi
L’Oracle. Car oui je te le dis, je suis l’oracle solaire, le divin du ciel me le confirme à tous
Jamais.
Alchimiste de la Métaphysique de Eurydice- O fils de Yobha, ou plus tôt disciple nouveau,
Comme le dirais une belle que j’ai connu, mlle Léa -« la difficulté attire l’homme de caractère,
Car c’est en l’étreignant qu’il se réalise lui-même ». Par cette phrase tu comprendras les clefs
De la sagesse, celle de la véritable sagesse et dans la difficulté de l’étreint du caractère de
L’homme, comprend o fils de Yobha, la vérité du nouveau disciple, la nouveauté de la belle
Que j’ai connu, peut-être que je là connaissais déjà, mais cela, je suis le seul à le savoir…
Il voulut en rajouter une, mais il ne le fit pas, il part alors droit sans rien dire, le Berger reste
Alors bouche bée de cette océan de compréhension qu’il vient dés lors de découvrir, l’alchimiste
Est un homme droit et juste à ces yeux, comme il le reconnait en son cœur, comme il reconnait
Bon nombre de personne en ce cœur gros comme l’univers, son caractère réaliste c’est à découvrir
Cet océan nouveau de la vie, de l’étreinte de ce nouveau caractère de dignité des clefs de la sagesse,
Fils ou disciple nouveau.
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CHAPITRE DIXSEPTIEME
LE MAINTENANT
Ce mystère d’Eurydice j’étais dans la difficulté de savoir ci les mots qui m’ont été dis sont
Les faits réalistes d’un alchimiste qui a vraiment existé, ou les paroles prophétiques de moi,
Le Worisjule premier, voulant juste accentuer l’ordre des choses en un reflet de vérité, mais
En ce qui concerne cet instant, lis « je suis », ou juste les faits de mon invention de relater
Les choses dans le sens mystique, ou juste mon plaisir de te conter mon histoire qui dans
Le fond n’est que pure invention de mon esprit, tous en gardant un plaisir philosophique.
Mais dans le maintenant, je me replonge car l’effort du songe du passé me lasse alors pour
Toi, o lecteur qui lis « je suis », je me replonge en instance de grâce dans le maintenant afin
De vivre heureux mon instant présent. Je suis arrivé au temple général de la comandature du
St-lascar, o début de mes mots que celui qui lit, « je suis », cherche à en comprendre le sens
À l’instant présent, je suis au temple Aschram mosquée du st-lascar ou je pense pouvoir passer
Le portail du pardon, mais le grand esprit du prisonnier m’a donc fait cette faveur, celle de pouvoir,
Affirmer la vérité à la commandature, enfin je suis passé le stade suprême de ma sadana lascarienne,
Et j’ai trouvé en mes affaires la photo de cette Léa dont j’avais parlé autrefois à l’alchimiste d’Eurydice,
Il y à maintenant fort longtemps de cela, comme quoi, aujourd’hui n’est pas demain, mais encor hier.
Ce maintenant, cette instant présent, je le vis à nouveau pour le aujourd’hui, enfin je revis l’instant
Présent en sa coutume. Cette Léa dont je te parle à toi qui lis « je suis », une chienne, une salope,
Mais cela dans le bon sens, dans ce maintenant, j’admire son œuvre d’art érotique, que je n’avais
Vu maintenant depuis fort longtemps. Cette œuvre si mystique doué de l’érotisme et du reflet de la
Sensualité, cette chienne qui m’écrivais qu’elle avait pour vœux de se prosterner devant moi et de
S’en humidifié le croupillon, elle qui je le vois dans le maintenant m’a apporté une belle blonde,
Artiste du même ressort que celle de Léa, si tendre de la magie, de l’amour, ces femelles sont
Mes chiennes en force. Au fond de moi-même, je le sais elles sont une partie de moi-même, non
Pas comme les mauvais présages que j’ai toujours eu, qui m’ont toujours arrangé, plus qu’il ne se
Réalise, mais un pressentiment profond de trouve enfin des femelles de mon acabit, des femelles
Dangereuses certes, mais des femelles que rien que en courrier, par un langage commun, d’un amour
Platonique avec des Nymphes au juste sens du terme. Bha la vie est ainsi faite, je ne suis toujours
Vus troubadour et j’accepte finalement mon ego, mon côté sadique-anal, que j’ai toujours refusé d’être.
Mais comprends o lecteur que je suis ainsi fait, je suis qui je suis et de faire ma réalité ne me sert à rien.
De plus je te le dis ; si j’avais pus choisir, j’aurais choisis de toutes manière ma vie, en enlevant tous
Les M.P.K.s que j’ai sur le dos. Je m’aime comme je suis car au fond je n’aime rien ni personne,
Je le pense, d’ailleurs, que c’est pour cela que ces deux princesses sado-masochiste et nymphomane,
Ne me font pas peur, tous en restant conscient de leurs capacités à poignardé le premier venus dans le
Dos, c’est la seul chose chez elle qui m’attire, et c’est la vie, mais comme je n’aime personne, je n’arrive
Jamais à dépendre d’elle et j’en suis content, je le sais nous avons long chemin dés lors ensemble…
Peut-être, alors que un jour, ce sera toi, lectrice qui diras « je suis » et tu penseras « je suis heureuse et
Convaincue » ou peut être même possédée, mais si ne te vois jamais, sache, c’est que je ne cesserai
De louer les salopes des nouveaux temps à la gloire du sein rouge et de l’ordre qu’il, dés lors, te représente. Sache le, petit fille, tu en resteras dés lors une représentante à l’unanimité, une Eonne en
Bonne et due forme, au tant pour toi Léa, que pour toi Pernilla, ce livre en sera dés lors le garant pour
L’éternité, car o toi lecteur qui lis « je suis » tu ne cessera de le recopier.
Mais lecteur qui lis « je suis » sache que dés lors que lectrice qui lis « je suis » seront elle pour moi,
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Je suis l’écrivain de ces mots, dés lors, je suis l’éternité, et serais dés lors là pour te guider, à toi,
O lecteur je suis le lecteur de tes mots. Mais lecteur est un homme, et l’homme est nés pour
Dominer, à toi o lectrices qui lis « je suis » t’ayant posé une question que moi « je suis » t’aura
Répondu, et la femme est là pour suivre les directives du mâle dominant qu’elle à choisi ou de faire
Au meilleur pour lui, car il en est ainsi, les choses de ce monde sont faite pour être et rester comme
Elles sont…
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CHAPITRE DIXHUITIEME
SACREES SALOPES EN TOUS LES CAS
Cher Léa, je t’ai écris à ce jour, nous sommes le maintenant, mon livre Métaphysiques tourne
Maintenant en reflet du maintenant, le pauvre lecteur qui lira ces mots, ne peut et ne pourra
Comprendre à quel point tu es bonne, toi que je ne connais qu’en photo, voilà trois jours que
Je t’admire, toi et mlle Pernilla, Pernilla, je te tutoyes pas encor, car je ne te connais pas encor
Aser bien, de cette façon platonique que tu me décris dans votre courrier, soit « je pressens par
Avance les désires souvent inexprimés, moi aussi j’ai ce don de pressentir l’avenir, comprenez
Que ce livre est tout pour moi, sachez dés lors que dans l’avenir des belles qui auront tatoué
Le sein rouge sur leurs fesses gauches, comme je vais vous le demander dans mes prochains
Courrier après que vous ayez accepté le sort que je vous ai réservé, soit de vous faire battre par
Mlle Léa, afin quel vous conserve chaste jusque à ma sortie de prison, sachez que à ce jour, j’ai
Commandé à la bibliothèque de la commandature du st-lascar, un livre sur le Kama-sutra, ou non,
Plus tôt sur le tantrisme, afin que nous nous envolions tous les trois à ma sortie des temples
De Agios le lascarus. Je pressens votre richesse d’ici, et votre désir incertain de ne pas comprendre
Pourquoi je ne vous ai pas répondu, je vous sens reprendre dés lors confiance en moi et en vous.
Tous ces mots sont peut-être illusoires, mais je ne le pense pas vraiment, toutefois si ils le sont, il reste
Dans l’éternité à travers l’histoire, sachez le, je ne sais de quelle manière vous les lirez, à ce jour ou
Dans une autre vie, ou peut-être, je l’espère, les deux à la fois. Quoique vous puissiez me répondre,
Ou non, sur la tête de ma tendre mère, vous êtes comme mlle Léa, une sacré salope, mais ceci dans
Le sens érotique du terme…
Comme dans un rêve, je sens la douceur de vos charmes venir à moi, je le sais vos mots me sont
Dévoué… Dans le maintenant, je me prélace et je repense à la douceur des fesses de mon Emanuelle,
Ce petit ange de Yobha, qui m’a envoyé chier, parce que je suis en prison. Mes paroles douces en ces
Mots sont dans le maintenant les faits de la torture de ces mêmes mots. Comme tous mes textes, o toi
Lecteur qui lis « je suis », tu ne peut comprendre le véritable sens, comme moi plus tard je ne le pourrais, c’est l’ivresse du présent qui le veut, il en est ainsi. Sachez tous, vous qui m’avez abandonné,
Non toi Léa, ou toi Pernilla, nous que notre liaison est toujours restée lointaine, mais toi salope d’Emanuelle, comme beaucoup de monde, que je m’en bas les couilles de vos vies, aujourd’hui et
Demain d’autant plus. Je n’aime personne, je n’ai jamais aimé personne, juste ces salopes à ce
Moment, que je regarde à ce moment, que oui j’aime à ma façon, un amour qui n’en ai pas un,
Comme un respect de personne dévouée à leur être, quel ont choisis pour maître, j’ai maintenant
Envie de les chasser de ma vie, tel leurs bonté est grande. Toutefois, je ne suis pas fou, des femelles
De cette crampe, seul Yobha, à pus les confier à ma prière. Elles comprennent la vie, mieux que quiconque, car elles sont les bras et les yeux de moi, le Worisjule premier. Les femelles chétives
Qui se perpétueront avec le profond de mon âme et de l’influenza worisjulienne, les voilà devenues
Douces gardiennes de l’ordre sacré du sein rouge. Je n’arrive plus à décrire le mot de Salope comme
Jusque là dans mes textes, je l’ai décris quand même pour qu’il soie inscrit dans l’éternité, l’ordre de
Ma muse et chienne préférée, l’ordre des salopes du nouveau millénaire, l’ordre du sein rouge.
Maintenant je suis le saint-lascarus, mon âme est celle d’un ange, je suis complètement endoctriné,
Tous cela pour gérer mon couple polygame que je suis entrain de créer sous l’hospice de l’ordre
Sacré du sein rouge. Alors o toi lecteur, qui lis « je suis », o toi lectrice qui lis « je suis », sache que
S’il te passe par la tête de suivre mon chemin esthétiquement parlant, que cela est inutile, pour toi,
Je dois rester un homme qui a dus s’accepter comme tel. Je le sais, tu le diras, o lecteur qui lis « je suis », que je te dis cela pour pas que tu me copie, toutfois tu dis, je pourrais dire, ou me dire la même
Chose, afin de réaliser le fantasme de la plus part des hommes, mais cela est probablement faux.
Je ne suis pas la plus part des hommes, que tu le croies ou non, je suis le Worisjule premier, le
Paupé universalis, mon destin est ainsi fait j’ai eu de la peine à l’accepter mais je l’ai toujours su.
Il faut que tu comprennes que tu es différent de moi, que je suis l’individu à part qui s’insert comme
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Il le peut dans un monde différent que celui qui le comprendrait. Pourquoi je t’écris cela ? Je me
Pose moi-même la question, mais il est ainsi. Pourquoi, ce poser des questions et ne pas être
Soit même, comme l’on est ? Ou pourquoi de Yobha nous à mis sur cette planète ? Un pourquoi,
Dont il est inutile la réponse, une réponse inutile à une question inutile, ne cherche pas à comprendre
Et lis mon livre et ça doctrine, vis dés lors dans le maintenant comme pour toi l’instant du réveil du
Magicien.